A prendre en exemple

Alexandre Soljenitsyne s'est battu toute sa vie pour que sa vérité éclate, pas un seul moment il n'a relâché son souffle pour autre chose.

Si un seul d'entre autres prétend avoir défendu la véracité de quelle que nature que ce soit en ayant eu le temps de prendre une mi-temps : il s'essoufflait pour reste aux oreilles des autres ou alors il pensait plus qu'au maximum fournir...... un minimum sur un quelconque sujet un peu plus épineux que les pics vociférant de l'Histoire.

Il n'a jamais cessé de chercher, rechercher, retravailler, retrancher jusqu'à ce qu'il n'y ai plus que l'essentiel à comprendre pour....... comprendre, en vérité, ce qu'il y a d'important, et donc de l'unique à avoir pour avoir....... la vérité..... devant soi.

Les deux grands péchés capitaux de Soljenitsyne auront été :

- la gourmandise, de multiplier, multiversaliser les sources jusqu'à en etre malade pour appuyer une présentation plutôt qu'un propos de ce fait.

- et donc l'envie, de faire, d'avoir fait, sans avoir la courage d'établir une conscience personnelle sur la question juive, l'honneur lui aurait simplement demandé de le faire pour son simple pays.

En somme, le défaut en lui même de ce livre est d'être une préparation intellectuelle à la révolution juive de Russie, et celui de son successeur d'être une réécriture copiste de l'après : sans aucun lien, constatation, conclusion : espérant que d'autres le fasse à sa place, plus tard, n'ayant pas l'énergie, la force de faire plus que mieux.

Ce livre reste quand même un de mes préférés même si je lui enlèverait jamais ce reproche qui reste très amère aux anfractuosités de mon mental.

Ce bouquin (ces) montre bien le travail titanesque qu'il faut abattre pour ne serait-ce se rapprocher un temps soi peu de la vérité d'un vaste sujet toujours très d'une ampleur métaphysique universelle.

Merci de l'avoir lu, c'est tout ce qu'il demandait.