Toutes les informations"Ce que la présence de cette femme a apaisé en moi, ce n'est pas la soif charnelle d'un voyageur, c'est ma détresse originelle. Je suis né étranger, j'ai vécu étranger et je mourrai plus étranger encore. je suis trop orgueilleux pour parler d'hostilité, d'humiliations, de rancœur, de souffrances, mais je sais reconnaître les regards et les gestes. Il y a des bras de femmes qui sont des lieux d'exil, et d'autres qui sont la terre natale."
Parti sur les routes en 1665, le narrateur de cette... Voir plus