L'actualité sur Le Vent dans les roseaux
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livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".
livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".
livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".
livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".
livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".
livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".
a attribué 6/10 au livre
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livre de Wendell Pierce
Résumé : "Mr. Pierce, qu'avez-vous fait aux heures les plus sombres de la Nouvelle-Orléans ?", m'interrogeait ce gamin du futur. Je lui répondrai que le désastre Katrina m'a révélé les choses et les gens que j'aime. Il m'a révélé quel garçon j'avais été, quel homme j'étais, et celui que je voulais devenir. Il m'a fait revenir chez moi, à la Nouvelle-Orléans, pour honorer mes ancêtres et les habitants de ma ville natale, les morts et les vivants, en donnant tout ce que je pouvais pour relever et reconstruire notre chère communauté. 29 août 2005. La tempête Katrina frappe La Nouvelle-Orléans et dévaste tout sur son passage, privant des milliers d'Américains de leurs foyers. Plus de 1500 personnes perdent la vie. Quelques temps après s'élève une voix des décombres : celle de Samuel Beckett au travers de Wendell Pierce interprétant un Vladimir prophétique. Vladimir : J'ai cru que c'était lui. Estragon : Qui ? Vladimir : Godot. Estragon : Pah ! Le vent dans les roseaux. Car alors que tout s'est effondré, Wendell Pierce joue cette pièce au milieu d'un paysage apocalyptique, parmi des spectateurs effondrés à qui il veut offrir une catharsis, un répit. S'il est connu pour ses rôles d'inspecteur Bunk dans The Wire et du tromboniste Antoine Batiste dans Treme, on sait moins qu'il est également un artiste et un homme engagé, qui a grandi à Ponchartrain Park, première banlieue afro-américaine construite après la seconde guerre mondiale. Dans Du vent dans les roseaux, Wendell Pierce livre un récit poignant et passionnant sur sa Nouvelle-Orléans, en nous plongeant dans son histoire familiale. Des champs de cannes à sucre aux lois ségrégationnistes de Jim Crow, il dépeint l'élévation sociale qui a été la sienne et dessine en creux le portrait de la lutte des noirs américains contre la discrimination, passée et présente. S'autorisant des digressions truculentes où il revient sur son expérience d'acteur, il nous offre du même coup une véritable ode à l'art qui "nous apprend qui nous sommes et nous dit qui nous devons devenir".