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Poésies

livre de Léon-Paul Fargue

Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

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livre de Léon-Paul Fargue

Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

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Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

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livre de Léon-Paul Fargue

Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

Kahelle

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livre de Léon-Paul Fargue

Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

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Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

Hypnhaus

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Mjolnir37

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Poésies

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Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

Chourabrou

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Résumé : «Sur Fargue, les anecdotes abondent, plus ou moins amusantes, plus ou moins improbables. Certaines, qu'il a connues sinon provoquées, l'ont sans doute diverti, mais le personnage qu'elles faisaient de lui l'attristait franchement, sur le tard : Ce ne sont que taxis abandonnés avec des ardoises importantes, propos qui n'ont jamais été tenus, bonnes intentions transformées en machiavélisme... écrit-il dans Dîners de Lune. Les anecdotes seront effacées. Les poèmes sont là, dans toute leur réalité. Mais si Fargue nous est extraordinairement présent à travers eux, sa vie telle qu'elle fut reste bien cachée. Point de drame éloquent, peu d'activité notable au service d'une cause publique, nulle fonction. Les lettres qui nous instruiraient – elles sont nombreuses, souvent pathétiques – ne changeront pas, je crois, la figure de ce destin où les échecs, les hésitations, les bizarreries de l'homme sont autant de façons de ne pas quitter le domaine profond, celui d'où naissent les poèmes. Ce domaine personnel, Fargue n'a pas à le chercher ; il lui est donné dès sa jeunesse, dès l'enfance ; il est sa propre vie, dont son cœur et son esprit n'épuiseront jamais les richesses – souffrance et joie, solitude et tendresse. On ne guérit jamais de sa jeunesse, écrit-il.» Henri Thomas.

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