L'actualité sur Dix questions sur l’antispécisme
Les dernières actions
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
a recommandé le livre
et l'a ajouté à sa liste
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
a recommandé le livre
, lui a attribué 8/10 et l'a ajouté à sa liste
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
Très bon petit bouquin pour aborder le sujet. Le but n'est pas de convaincre, mais de présenter et d'apporter les arguments principaux de ce courant politique.
Le 3 févr. 2023
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
a écrit
sur le livre
, l'a recommandé et lui a attribué 10/10
Ne faisant pas collection de cookies, le renvoi vers un autre site m’ennuie.
Le 24 juin 2022
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
a attribué 7/10 au livre
et l'a ajouté à sa liste
2021 • livre de Jérôme Ségal
Résumé : Fin des animaux sauvages dans les cirques, actions militantes devant des boucheries, remise en cause de l’élevage – que ce soit en raison de sa part importante dans l’émission de gaz à effet de serre ou au regard de la déforestation en Amazonie pour nourrir le bétail de soja –, prise en compte des risques sanitaires liés à l’exploitation animale (zoonoses comme la covid-19), vidéos dénonçant la réalité des élevages et des abattoirs… tout ceci donne du crédit au mouvement dit « antispéciste ». Le mot « spécisme » n’est entré dans les dictionnaires que récemment, il y a à peine plus d’un an, mais son usage se répand rapidement pour désigner des discriminations fondées sur l’espèce, exactement comme le racisme et le sexisme révèlent des discriminations systémiques respectivement fondées sur la race ou le sexe. Les antispécistes luttent donc pour que l’appartenance à une espèce ne soit pas un critère pour des considérations éthiques différentes. Une des conséquences de l’antispécisme est le véganisme, vu comme refus de participer à l’exploitation d’animaux sensibles, capables d’une expérience subjective de la vie. Cet ouvrage concis et percutant permet de comprendre les liens de ce mouvement avec des courants de pensée comme le socialisme, l’anarchisme et le féminisme. Il appréhende son rapport avec l’écologie, les religions et la critique du capitalisme, et finalement aborde la question de la convergence des luttes, mais aussi d’une redéfinition de la place de l’humain sur notre planète.
a envie de lire le livre
et l'a ajouté à ses listes
et