L'actualité sur Je ressemble à une cérémonie

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Pasiphae

a attribué 7/10 au livre

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Lectures 2022 - liste annotée

Je ressemble à une cérémonie

2019 • livre de Julia Lepère

Résumé : Au centre de ton visage je défais la poussière, me donnant la caresse exiguë que les arbres refusent Je ressemble à une cérémonie que les fleurs encerclent que les lumières cernent que les paroles oublient Le premier livre de Julia Lepère, qui frappe par la précision de ses images, la justesse de son souffle, la tenue de son vers, tourne autour de la figure de Mélusine, qui donne son titre à la partie centrale : la parole poétique apparaît comme une puissance de métamorphose, capable d’insuffler à la plus fragile déclaration amoureuse l’envergure cosmique d’une prière chamanique. Tirant en partie sa puissance de l’imaginaire médiéval, c’est une voix dans le même temps charnelle et abstraite, incandescente et rituelle, qui se donne à lire dans ces pages. (4eme de couverture)

Adrien Meignan
Je ressemble à une cérémonie

2019 • livre de Julia Lepère

Résumé : Au centre de ton visage je défais la poussière, me donnant la caresse exiguë que les arbres refusent Je ressemble à une cérémonie que les fleurs encerclent que les lumières cernent que les paroles oublient Le premier livre de Julia Lepère, qui frappe par la précision de ses images, la justesse de son souffle, la tenue de son vers, tourne autour de la figure de Mélusine, qui donne son titre à la partie centrale : la parole poétique apparaît comme une puissance de métamorphose, capable d’insuffler à la plus fragile déclaration amoureuse l’envergure cosmique d’une prière chamanique. Tirant en partie sa puissance de l’imaginaire médiéval, c’est une voix dans le même temps charnelle et abstraite, incandescente et rituelle, qui se donne à lire dans ces pages. (4eme de couverture)

DanielO

a recommandé le livre

et lui a attribué 8/10

Je ressemble à une cérémonie

2019 • livre de Julia Lepère

Résumé : Au centre de ton visage je défais la poussière, me donnant la caresse exiguë que les arbres refusent Je ressemble à une cérémonie que les fleurs encerclent que les lumières cernent que les paroles oublient Le premier livre de Julia Lepère, qui frappe par la précision de ses images, la justesse de son souffle, la tenue de son vers, tourne autour de la figure de Mélusine, qui donne son titre à la partie centrale : la parole poétique apparaît comme une puissance de métamorphose, capable d’insuffler à la plus fragile déclaration amoureuse l’envergure cosmique d’une prière chamanique. Tirant en partie sa puissance de l’imaginaire médiéval, c’est une voix dans le même temps charnelle et abstraite, incandescente et rituelle, qui se donne à lire dans ces pages. (4eme de couverture)

DanielO

a écrit un statut à propos du livre

“Poésie à la fois lumineuse et tourmentée, charnelle et abstraite où les références à l'imaginaire médiéval foisonnent. Je ne peux que vous recommander ce premier livre de Julia Lepère.”

Blanchefleur321

C,est tres beau, sublime. L,amour aux references a l,imaginaire medieval a l,air bien mysterieux.

Le 1 nov. 2020

DanielO

@Blanchefleur321 : l'imaginaire médiéval incarné dans Mélusine

Le 1 nov. 2020

Blanchefleur321

Oh la la Je lis en ce moment des recits qui racontent son apparition Une fee ou unr femme forte qui pose ses conditions a ceux qui sont sous sa protection. Une femme-fee, femme nature a secrets multiples, femme de courtoise et de l,art de bien parler

Le 1 nov. 2020

HerrK

a recommandé le livre

, lui a attribué 8/10 et l'a ajouté à sa liste

Poésie déclassée

Je ressemble à une cérémonie

2019 • livre de Julia Lepère

Résumé : Au centre de ton visage je défais la poussière, me donnant la caresse exiguë que les arbres refusent Je ressemble à une cérémonie que les fleurs encerclent que les lumières cernent que les paroles oublient Le premier livre de Julia Lepère, qui frappe par la précision de ses images, la justesse de son souffle, la tenue de son vers, tourne autour de la figure de Mélusine, qui donne son titre à la partie centrale : la parole poétique apparaît comme une puissance de métamorphose, capable d’insuffler à la plus fragile déclaration amoureuse l’envergure cosmique d’une prière chamanique. Tirant en partie sa puissance de l’imaginaire médiéval, c’est une voix dans le même temps charnelle et abstraite, incandescente et rituelle, qui se donne à lire dans ces pages. (4eme de couverture)