L'actualité sur La Légende de la mort
Les dernières actions
1902 • livre de Anatole Le Braz
Résumé : “Œuvre prodigieuse et définitive”, La Légende de la Mort reste à ce jour le travail de collectage le plus complet de toutes les traditions, légendes, contes, dictons, superstitions et croyances sur la Mort jamais effectué en Bretagne. Comme le note Claude Seignolle dans la préface d’une précédente édition, “nombreux étaient les chercheurs, patients et attentifs à l’âme bretonne, qui puisèrent à pleins carnets dans la connaissance populaire : La Villemarqué, Souvestre, Sébillot, Luzel, Le Braz enfin… On pouvait alors trouver dans les villages une profusion de sachants qui propageaient, de bouche à oreille, de pures connaissances venues des temps celtiques, à la trame encore intacte malgré les interprétations et les déviations apportées par la religion chrétienne”. Cet ouvrage, fondateur des littératures de l’imaginaire, en est le plus convaincant témoignage. Enfin, cette édition est complétée par l’indispensable appareil critique du grand spécialiste, Georges Dottin, qui y compare l’ensemble de ces traditions avec leurs pendants dans les cultures des différents pays celtiques.
1902 • livre de Anatole Le Braz
Résumé : “Œuvre prodigieuse et définitive”, La Légende de la Mort reste à ce jour le travail de collectage le plus complet de toutes les traditions, légendes, contes, dictons, superstitions et croyances sur la Mort jamais effectué en Bretagne. Comme le note Claude Seignolle dans la préface d’une précédente édition, “nombreux étaient les chercheurs, patients et attentifs à l’âme bretonne, qui puisèrent à pleins carnets dans la connaissance populaire : La Villemarqué, Souvestre, Sébillot, Luzel, Le Braz enfin… On pouvait alors trouver dans les villages une profusion de sachants qui propageaient, de bouche à oreille, de pures connaissances venues des temps celtiques, à la trame encore intacte malgré les interprétations et les déviations apportées par la religion chrétienne”. Cet ouvrage, fondateur des littératures de l’imaginaire, en est le plus convaincant témoignage. Enfin, cette édition est complétée par l’indispensable appareil critique du grand spécialiste, Georges Dottin, qui y compare l’ensemble de ces traditions avec leurs pendants dans les cultures des différents pays celtiques.
1902 • livre de Anatole Le Braz
Résumé : “Œuvre prodigieuse et définitive”, La Légende de la Mort reste à ce jour le travail de collectage le plus complet de toutes les traditions, légendes, contes, dictons, superstitions et croyances sur la Mort jamais effectué en Bretagne. Comme le note Claude Seignolle dans la préface d’une précédente édition, “nombreux étaient les chercheurs, patients et attentifs à l’âme bretonne, qui puisèrent à pleins carnets dans la connaissance populaire : La Villemarqué, Souvestre, Sébillot, Luzel, Le Braz enfin… On pouvait alors trouver dans les villages une profusion de sachants qui propageaient, de bouche à oreille, de pures connaissances venues des temps celtiques, à la trame encore intacte malgré les interprétations et les déviations apportées par la religion chrétienne”. Cet ouvrage, fondateur des littératures de l’imaginaire, en est le plus convaincant témoignage. Enfin, cette édition est complétée par l’indispensable appareil critique du grand spécialiste, Georges Dottin, qui y compare l’ensemble de ces traditions avec leurs pendants dans les cultures des différents pays celtiques.
1902 • livre de Anatole Le Braz
Résumé : “Œuvre prodigieuse et définitive”, La Légende de la Mort reste à ce jour le travail de collectage le plus complet de toutes les traditions, légendes, contes, dictons, superstitions et croyances sur la Mort jamais effectué en Bretagne. Comme le note Claude Seignolle dans la préface d’une précédente édition, “nombreux étaient les chercheurs, patients et attentifs à l’âme bretonne, qui puisèrent à pleins carnets dans la connaissance populaire : La Villemarqué, Souvestre, Sébillot, Luzel, Le Braz enfin… On pouvait alors trouver dans les villages une profusion de sachants qui propageaient, de bouche à oreille, de pures connaissances venues des temps celtiques, à la trame encore intacte malgré les interprétations et les déviations apportées par la religion chrétienne”. Cet ouvrage, fondateur des littératures de l’imaginaire, en est le plus convaincant témoignage. Enfin, cette édition est complétée par l’indispensable appareil critique du grand spécialiste, Georges Dottin, qui y compare l’ensemble de ces traditions avec leurs pendants dans les cultures des différents pays celtiques.
1902 • livre de Anatole Le Braz
Résumé : “Œuvre prodigieuse et définitive”, La Légende de la Mort reste à ce jour le travail de collectage le plus complet de toutes les traditions, légendes, contes, dictons, superstitions et croyances sur la Mort jamais effectué en Bretagne. Comme le note Claude Seignolle dans la préface d’une précédente édition, “nombreux étaient les chercheurs, patients et attentifs à l’âme bretonne, qui puisèrent à pleins carnets dans la connaissance populaire : La Villemarqué, Souvestre, Sébillot, Luzel, Le Braz enfin… On pouvait alors trouver dans les villages une profusion de sachants qui propageaient, de bouche à oreille, de pures connaissances venues des temps celtiques, à la trame encore intacte malgré les interprétations et les déviations apportées par la religion chrétienne”. Cet ouvrage, fondateur des littératures de l’imaginaire, en est le plus convaincant témoignage. Enfin, cette édition est complétée par l’indispensable appareil critique du grand spécialiste, Georges Dottin, qui y compare l’ensemble de ces traditions avec leurs pendants dans les cultures des différents pays celtiques.
Le 5 mars 2022
1 j'aime
1902 • livre de Anatole Le Braz
Résumé : “Œuvre prodigieuse et définitive”, La Légende de la Mort reste à ce jour le travail de collectage le plus complet de toutes les traditions, légendes, contes, dictons, superstitions et croyances sur la Mort jamais effectué en Bretagne. Comme le note Claude Seignolle dans la préface d’une précédente édition, “nombreux étaient les chercheurs, patients et attentifs à l’âme bretonne, qui puisèrent à pleins carnets dans la connaissance populaire : La Villemarqué, Souvestre, Sébillot, Luzel, Le Braz enfin… On pouvait alors trouver dans les villages une profusion de sachants qui propageaient, de bouche à oreille, de pures connaissances venues des temps celtiques, à la trame encore intacte malgré les interprétations et les déviations apportées par la religion chrétienne”. Cet ouvrage, fondateur des littératures de l’imaginaire, en est le plus convaincant témoignage. Enfin, cette édition est complétée par l’indispensable appareil critique du grand spécialiste, Georges Dottin, qui y compare l’ensemble de ces traditions avec leurs pendants dans les cultures des différents pays celtiques.