L'actualité sur La Surprise de l'amour - La Seconde Surprise de l'amour
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livre de Marivaux
Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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Résumé : « La Surprise de l'amour » est la première grande pièce de Marivaux (1722). Elle est demeurée l'une des plus célèbres. Les deux futurs amants, Lélio et la Comtesse, se sont retirés chacun de leur côté, après avoir subi des revers amoureux. Un valet, une servante, un ami commun, le Baron, complètent la distribution. Mille incidents ou aventures rapprochent ou éloignent tour à tour les deux misanthropes, jusqu'à la réunion finale. « La Seconde Surprise de l'amour » est de 1727. Le schéma est le même : une Marquise, jeune veuve, se complaît dans la tristesse. Le Chevalier a perdu celle qu'il aimait. Les deux éplorés communient dans la mélancolie. Un Comte est aussi amoureux de la Marquise. Une suivante et un pédant ne peuvent s'épouser que si leurs patrons en font d'abord autant. Ruses, stratagèmes, jalousies, dénégations retardent pendant trois actes le mot final, qui est enfin prononcé. Les deux comédies diffèrent par les caractères masculins, le recours aux circonstances extérieures (dans la première) ou au langage intérieur (dans la seconde). Sur le ton de la conversation des « gens d'esprit », se joue ainsi le destin des personnages. Un langage exact reflète toutes les réactions imprévisibles de la rencontre avec autrui. Quant au thème, Marivaux le définit ainsi : « Chez moi, l'amour n'est en querelle qu'avec lui seul, et finit par être heureux malgré lui. » Et encore : « Il s'agit de deux personnes qui s'aiment pendant toute la pièce, mais qui n'en savent rien elles-mêmes, et qui n'ouvrent les yeux qu'à la dernière scène. » Dans le refus de l'amour, il y a un secret et intense besoin d'aimer, de retrouve
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