Critiques de Les braves gens ne courent pas les rues

Raskolnikov
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Quand l'horreur s'imisce brutalement dans le quotidien

La force d'O'Connor est d'introduire l'horreur dans un quotidien peignant les moeurs du Sud auquel le lecteur s'accoutume en quelques pages. On adhère ou pas à l'interprétation religieuse proposée :...

le 29 août 2011

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