1. Le monde ne voit plus naître d'enfants depuis un quart de siècle. La dernière génération à avoir vu le jour, les oméga, est choyée et prend, pour une partie d'entre elle, de bien mauvaises habitudes.
    Théo Faron, cousin du gouverneur d'Angleterre, assure des cours à l'université pour des étudiants vieillissants. Sa vie tranquille est rythmée par les habitudes. Mais un beau jour, il rencontre Julian. La rencontre avec cette femme va bouleverser sa vie...


La première partie du roman, qui représente plus de la moitié du récit, prend le temps de décrire ce monde où l'avenir n'est plus. Les habitants semblent blasés, la plupart évoluant dans une sorte de torpeur, un peu comme le lecteur, assommé par une lecture pesante où rien ne se passe.


Alors que survient la seconde partie du roman, au bout de 179 pages, une vague frémissement saisit la narration. Certes, le propos offre la matière pour devenir captivant mais les lourdeurs descriptives étouffent toute excitation. C'est ainsi qu'en dépit de quelques rebondissements, la lecture se termine enfin après quelques 312 pages d'ennui.


Il y avait du potentiel mais l'écriture de cette auteure ne m'a manifestement pas évoqué grand chose.

Apostille
5
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le 12 avr. 2018

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