J’étais dans une librairie d’occasion lorsque je vis ce titre qui a éveillé ma curiosité, les oiseaux se cachent pour mourir. Je l’avais déjà entendu, avide de littérature que je suis, et je me dis pourquoi pas essayer ?
Il reste pendant au moins un an à prendre la poussière, je n’osais pas entamer une lecture aussi grande (3500 pages). Et puis un soir, je commence. Et je ne finis jamais.
Cendres de roses. Nostalgie. Australie. Amour. Tout ça ne sont que des belles réminiscences dans ma mémoire qui ne s’effaceront jamais. Je l’avais lu il y a 5 ans et j’ai voulu le relire il y a un mois : je l’ai fini en deux semaines, étant incapable de lâcher ce livre. Je le recommande énormément, en espérant qu’il vous soit aussi grandiose qu’il l’a été pour moi.