Max Ducos n’a pas son pareil pour dessiner la mer et ses étendues de sable. Déjà dans Le garçon du phare et Le mystère de la grande dune, j’avais été séduite par son trait si caractéristique, véritable invitation au voyage. Je confirme mon admiration pour le talent d’illustrateur de cet artiste qui donne vie à la mer grâce à un jeu de couleurs qui en révèle toute les nuances.
Dès la couverture, le lecteur est invitée à l’observation de la mer qui, dès l’aube se pare d’une multitude de reflets. Chaque page invite au lâcher prise et à la contemplation. Prendre le temps ! Un programme idéal en cette période estivale, moment de l’année le plus propice pour ralentir. Ici on suit le rythme des vagues et de la marée de l’aube à la tombée de la nuit, suivant les personnes qui ne font que passer ou prennent le temps de s’installer pour profiter des plaisirs simples que la plage et la baignade ont a offrir.
Avec Marée haute Marée basse, Max Ducos invite à la reconnexion au travers de l’observation et au relâchement. Au fil des pages, on se sent alors déjà en vacances. C’est un coup de ❤ !
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