L'actualité sur Mémoires d'un vieux con
Les dernières actions
a recommandé le livre
, lui a attribué 5/10 et l'a ajouté à sa liste
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
Le 29 août 2020
1 j'aime
a écrit
sur le livre
, lui a attribué 4/10 et l'a ajouté à sa liste
Le 29 août 2020
1 j'aime
1975 • livre de Roland Topor
Résumé : « Les jeunes m’ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n’a pas le temps de s’attacher à eux. ». Ainsi s’exprime le narrateur anonyme des Mémoires d’un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu’il n’écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d’O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni… ne seraient devenus ce qu’ils sont. Les Mémoires d’un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d’un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !