L'actualité sur Premières secousses
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2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
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2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
Le 10 nov. 2024
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2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
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Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
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Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
Je pouvais difficilement espérer un contenu aussi complet et accessible que celui proposé par "Premières secousses". Galvanisant autant que réflexif, ce livre collectif raconte et réfléchit les trois premières années d'existence des Soulèvements de la Terre – des premières coordinations nationales à la mise en échec de leur dissolution – avec précision et ouverture. Il m'est vraiment difficile de concevoir une meilleure réussite pour un appel à essaimer, répliquer les gestes, se saisir d'actions...
Le 2 nov. 2024
2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
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Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.
Le 18 oct. 2024
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2024 • livre de Les Soulèvements de la terre
Résumé : Hiver 2020. Au cœur du bocage de Notre-Dame-des-Landes, une assemblée fondatrice au sortir d’un confinement généralisé. Des énergies foisonnent et fusionnent : – Secousses sensibles d’une génération de jeunes écologistes qui a bien saisi que marcher ne suffit plus pour rouvrir la possibilité d’un avenir sur terre, et que des pulsions luddites inclinent à stopper la méga-machine. – Vibrations telluriques venues du tréfonds des fermes de paysan•nes en lutte, qui travaillent la terre, en prennent soin, et qui entendent désormais la défendre de toutes leurs forces, avec chevillée au corps la combativité des jacqueries séculaires. – Bouillonnement intime dans les tripes des habitant•es en colère, résolus à stopper les chantiers qui menacent d’anéantir leurs lieux de vie, à défendre corps et âme leurs quartiers ou leurs villages, les bocages, les forêts et les montagnes. – Grondement fracassant des révoltes contre l’économie qui ont vu, ces dernières années, les mouvements renouer avec la pratique de l’autodéfense et de l’offensive. Les soulèvements de la terre, c’est la cristallisation de ces énergies dans un réseau de résistance pour défendre la terre et l’eau, contre la métropole qui bétonne et le complexe agro-industriel qui empoisonne. C’est la tentative de s’organiser pratiquement pour désarmer et démanteler les infrastructures du ravage. Un livre, écrit depuis le cœur de la dynamique, pour mettre en partage les récits, les hypothèses et les paradoxes qui nous traversent. Un petit pavé éditorial jeté à la face du ministère de l’Intérieur qui croyait pouvoir nous effacer d’un trait de plume. L’esquisse d’un premier mouvement, prélude à une indissoluble résistance.