Saison 6

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Affaire Suzanne Viguier

S6 E1 Affaire Suzanne Viguier

Le 27 février 2000, Suzanne Viguier l’épouse d’un professeur agrégé de la faculté de droit de Toulouse disparaît de son domicile. La mère de famille de 38 ans ne donne aucune nouvelle à ses trois enfants. Fugue ? Accident ? Meurtre ? Le 9 mars 2000, une information judiciaire est ouverte. Une perquisition est effectuée au domicile des Viguier et les policiers découvrent que le matelas du clic-clac sur lequel dormait Suzanne Viguier - le couple faisait chambre à part depuis un an - a disparu. Jacques Viguier dit l’avoir jeté dans une décharge publique quelques jours après la disparition de son épouse. Quelques traces de sang sont découvertes dans le domicile familial.Le mari est très vite soupçonné d’avoir tué sa femme puis d’avoir fait disparaître son corps. Pourquoi a-t-il jeté le matelas ? Pourquoi n’a-t-il pas immédiatement déclaré la disparition de sa femme ? Savait-il que Suzanne avait un amant ? Le 11 mai 2000, Jacques Viguier est mis en examen pour l’assassinat de son épouse. Soutenu par ses enfants, le professeur de droit ne cessera jamais de clamer son innocence. Jacques Viguier sera finalement acquitté à deux reprises en avril 2009 puis en mars 2010. Pendant le second procès, la baby-sitter des Viguier a révélé que l’amant de la victime lui avait demandé de faire un faux témoignage pour cacher qu’il s’était introduit dans la maison familiale quelques jours après la disparition. Pourquoi ? Que cherchait cet homme ? Aujourd’hui encore, personne ne sait ce qui est arrivé à Suzanne Viguier.

Première diffusion : 3 mai 2015

Les derniers secrets de Francisco Benitez

S6 E2 Les derniers secrets de Francisco Benitez

Le 14 Juillet 2013, à Perpignan, Marie-Josée Benitez, 53 ans, et sa fille Allison, 19 ans, disparaissent soudainement. Pourtant, Allison devait participer au concours de Miss Roussillon. Elle attendait cet événement avec impatience. Huit jours plus tard, Francisco Benitez prévient la police de la disparition de sa femme et de sa fille. Il ajoute qu’il a reçu un sms de son épouse annonçant qu’elle partait avec Allison à Toulouse. Les investigations ne permettent pas de retrouver la trace des deux femmes. Des avis de recherche sont diffusés. En vain. Les enquêteurs commencent à se demander si le légionnaire n’est pas impliqué dans cette double disparition. Le 5 août 2013, Francisco Benitez est retrouvé pendu à une fenêtre de sa caserne. Comment interpréter ce suicide ? Est-ce un aveu de culpabilité ou l’acte désespéré d’un père de famille rongé par l’inquiétude ? Les enquêteurs perquisitionnent le domicile des Benitez et découvrent de nombreuses traces de sang. Des analyses permettent également de révéler l’ADN d’Allison à partir d’un prélèvement effectué dans un congélateur. Tous ces éléments accablent Francisco Benitez. Malgré cela, les filles de Marie-Josée issues d’une première union refusent toujours de croire à la culpabilité de leur beau-père. Que s’est-il passé le 14 juillet 2013 dans l’appartement familial des Benitez ? Pourquoi le légionnaire aurait-il tué sa fille qu’il adorait ? Est-il possible que le père de famille soit impliqué dans d’autres disparitions de femmes ? Où sont les corps des deux victimes ? Toutes ces questions sont aujourd’hui encore au cœur de l’enquête qui reste, à ce jour, non élucidée.

Première diffusion : 10 mai 2015

L'énigme de la mort du gendarme Jambert

S6 E3 L'énigme de la mort du gendarme Jambert

Le 4 août 1997, le corps de Christian Jambert, gendarme retraité, est découvert dans son pavillon d’Auxerre. Une carabine 22 long rifle est posée sur ses jambes. Le médecin appelé pour constater le décès conclut immédiatement au suicide. Aucune autopsie n'est demandée par le procureur. La victime est donc inhumée. Mais au fil des années, les enfants du gendarme Jambert commencent à douter. Réfutant la thèse du suicide, ils demandent l'ouverture d'une enquête pour recherche des causes de la mort. Le corps est alors exhumé pour être autopsié à l’institut médico-légal de Paris. Le médecin légiste conclut alors que Christian Jambert a été tué. Comment expliquer le meurtre de ce gendarme retraité ? Les enquêteurs cherchent des réponses dans sa vie professionnelle. L’homicide peut-il avoir un lien avec ses investigations sur les disparues de l’Yonne qui ont abouti à l’arrestation d’Emile Louis ? Il apparaît que Christian Jambert s’est investi corps et âme dans cette enquête. En conflit avec sa hiérarchie, il a traqué sans relâche le tueur en série en dénonçant publiquement l’inertie de la justice. Alors que les actes d’enquête se multiplient pour tenter d’élucider le meurtre du gendarme, le juge d’instruction ordonne une contre-expertise médico-légale. Le médecin légiste en charge de cette nouvelle autopsie conclut que le suicide est possible. Rien selon lui, ne prouve l’acte criminel. Mais les enfants de Christian Jambert refusent de baisser les bras. Ils sont convaincus que leur père a été tué. Pourquoi le cartable du gendarme contenant ses dossiers d'enquête a-t-il disparu ? Comment Christian Jambert a-t-il pu poser son fusil sur ses jambes avant de mourir ? Pourquoi a-t-il un hématome sur le sommet du crâne ? Pourquoi leur père se serait-il suicidé au moment où l’affaire Emile Louis allait enfin éclater ? Aujourd’hui encore, les circonstances du décès de Christian Jambert so

Première diffusion : 17 mai 2015

Guet-apens au collège

S6 E4 Guet-apens au collège

Jeudi 25 septembre 2003, Clément Roussenq, un père de famille de 55 ans, principal du collège Virebelle à La Ciotat, reçoit dans la nuit un appel téléphonique. Son interlocuteur lui signale un problème d’amarres sur son bateau en mouillage au port de la ville. Clément Roussenq quitte alors en urgence son logement de fonction. A son retour, il est mortellement poignardé sur le parking de l’établissement scolaire. Le principal semble être tombé dans un piège. Qui pouvait lui en vouloir ? Très vite les enquêteurs découvrent que Clément Roussenq avait changé de comportement depuis quelques mois. Il semblait inquiet et souhaitait quitter La Ciotat. Plusieurs pistes sont immédiatement suivies. Des élèves sont placés en garde à vue. Des jeunes de la cité voisine sont également soupçonnés mais aucun élément matériel ne permet de les relier à l’assassinat. Les policiers interrogent les professeurs du collège. Ils découvrent que les méthodes de direction de Clément Roussenq ne plaisaient pas à tout le monde et que de nombreux conflits perturbaient la vie interne de l’établissement. Aujourd’hui, les investigations se poursuivent. Aucune des pistes n’a été refermée définitivement. Pour la première fois, les filles de Clément Roussenq évoquent le meurtre de leur père. Elles reviennent sur les moments forts de l’enquête et sur leur espoir de connaître un jour le nom de l’assassin.

Première diffusion : 24 mai 2015

Le mystère de la femme découpée

S6 E5 Le mystère de la femme découpée

Le 26 février 2003, des sacs poubelle contenant des morceaux de corps humain sont repêchés dans le Pas-de-Calais au bord du canal de l'Escaut. Les experts concluent que le corps a été découpé à la scie. Très vite, la victime est identifiée. Il s’agit de Janine Sopka, une femme de 59 ans résidant à Saint-Hilaire-sur-Helpe. Au cours de leur enquête de voisinage, les gendarmes apprennent que la victime multipliait les aventures amoureuses sans lendemain. Les enquêteurs recherchent les hommes avec lesquels Janine Sopka entretenait une relation. Ils s’intéressent à l’individu qui a dîné avec elle au restaurant le soir de sa disparition mais ils ne parviennent pas à le relier au meurtre. Les gendarmes découvrent lors d’une perquisition chez la victime les courriers d'un mystérieux correspondant rencontré par petites annonces. Ils croient l'avoir identifié en la personne du directeur de la scierie proche du domicile de Janine Sopka. L'homme est immédiatement placé en garde à vue. Mais une autre piste se dessine. Et si la victime avait croisé la route du dépeceur de Mons, un tueur en série belge jamais identifié ? Ce criminel aurait tué et découpé à la scie 5 femmes entre 1993 et 2001. A chaque fois, le tueur en série déposait des sacs poubelle contenant des morceaux de corps dans des lieux aux noms évocateurs (chemin de l'Inquiétude, rue du Dépôt, rivière Haine, rue de la Trouille...). Et Janine Sopka a été retrouvée sur le passage de la Hachette. Serait-ce la signature de ce serial killer ? Janine Sopka connaissait-elle son tueur ? A-t-elle fait une mauvaise rencontre ? Tous ceux qui ont travaillé sur cette enquête espèrent qu’un jour ce meurtre sauvage sera élucidé.

Première diffusion : 31 mai 2015

Le destin brisé de Gaëlle Fosset

S6 E6 Le destin brisé de Gaëlle Fosset

Le 27 avril 2007, Gaëlle Fosset est retrouvée morte dans son petit pavillon de Saint-Germain-la-Campagne en Normandie. La jeune femme qui n’avait que 21 ans a reçu 66 coups de couteau. Le crime atroce dont a été victime Gaëlle Fosset est incompréhensible. Très vite, les enquêteurs ont le sentiment que la jeune femme a volontairement ouvert la porte à son agresseur. Ils interrogent le compagnon de Gaëlle avant de le mettre totalement hors de cause. ​Les investigations se poursuivent. Des amis sont entendus ainsi que des voisins mais aucun élément ne permet de faire progresser l’enquête. Les habitants du village paniquent et craignent un crime de rôdeur. Des analyses biologiques permettent d’isoler un ADN masculin sur le pantalon de jogging que la jeune femme portait le soir du meurtre. Les enquêteurs vont interroger près de 600 personnes et procéder à des comparaisons d'ADN. Ils apprennent qu'un ami du couple a eu un comportement étrange au moment des faits. Et les analyses génétiques révèlent que c'est son ADN qui a été retrouvé sur le bas du jogging. Mais aucun autre élément matériel ne permet de le relier à la scène de crime. Crime passionnel, voisin déséquilibré, crime de rôdeur ? Depuis 6 ans, les enquêteurs traquent sans relâche l’assassin de Gaëlle Fosset. Les parents de la jeune fille attendent toujours de connaître la vérité. Ils témoignent, espérant que la médiatisation de l’affaire pourra contribuer à son élucidation.

Première diffusion : 7 juin 2015

La mort dans les flammes

S6 E7 La mort dans les flammes

Le 1er juin 2011, les pompiers interviennent pour éteindre un incendie dans un magasin de farces et attrapes à Louvroil dans le Nord. Ils découvrent au fond du local, le corps calciné de Jean Moritz. Le décès de ce commerçant réputé dans la région pour les feux d’artifice qu’il organisait semble tout d’abord accidentel. Mais l’autopsie révèle que la victime était morte avant que ne débute l’incendie. Jean Moritz a été roué de coups. Son tueur a ensuite mis le feu au magasin dans l’espoir de détruire les preuves de son crime. Les investigations révèlent que Jean Moritz, père de 8 enfants nés de trois unions différentes, avait une vie sentimentale compliquée. Est-il possible que sa vie amoureuse tumultueuse soit à l’origine du meurtre ? Les enquêteurs découvrent également que le monde professionnel des artificiers est un milieu très dur où la concurrence attise les conflits. Le meurtre peut-il avoir un lien avec le métier de la victime ? L’enquête confiée à la police judiciaire de Lille a connu de nombreux rebondissements. Plusieurs individus sont encore sérieusement suspectés. Epaulés par leur avocat, Me Emmanuel Riglaire, ténor du barreau de Lille, les fils de Jean Moritz connaissent parfaitement le dossier. Ils n’ont jamais cessé leur combat pour que la vérité éclate sans craindre d'évoquer tous les aspects de la personnalité de leur père. Les proches de la victime ont accepté pour la première fois la médiatisation de l’affaire en espérant que l’émission suscite un nouveau témoignage qui permettrait l’élucidation du meurtre.

Première diffusion : 14 juin 2015

Meurtre sur l'A31 : l'affaire Xavier Baligant

S6 E8 Meurtre sur l'A31 : l'affaire Xavier Baligant

Le 18 juillet 2011, Xavier Baligant, âgé de 29 ans, prend la route avec ses deux enfants. Il quitte l'Ardèche après une semaine de vacances pour retourner chez lui à Nivelles, en Belgique. Vers 2 heures du matin, le jeune père de famille s'arrête sur une aire de repos de l’A31. Ses fils âgés de 4 et 7 ans dorment alors paisiblement sur la banquette arrière du véhicule. Quelques minutes plus tard, un patrouilleur de la société d’autoroute découvre le corps de Xavier Baligant gisant dans une mare de sang devant l’entrée des toilettes. Froidement abattu, il a reçu 4 balles de gros calibre dans la poitrine et dans la tête. Les enfants, sains et saufs n’ont rien vu. Ce meurtre sur l’aire de Malvaux, à une trentaine de kilomètres de Nancy est particulièrement étonnant. Il n’y a aucun témoin et l'arme du crime est un fusil utilisé par l'armée suisse dans les années 50. Est-il possible que Xavier Baligant ait été abattu après avoir été le témoin involontaire d’un trafic illégal sur cette aire de repos ? Pourquoi les chauffeurs routiers qui dormaient dans leur camion à quelques mètres du meurtre disent ne rien avoir entendu ? Les gendarmes s’intéressent également à l’entourage de la victime et plus précisément au conjoint de son ex-épouse. Ils se demandent si cet individu n’aurait pas, par jalousie, commandité le crime. Près d’un an après les faits, la tuerie de Chevaline en Haute-Savoie présente d’étranges similitudes avec le meurtre de l’aire de Malvaux. A chaque fois, les victimes sont des touristes. Dans les deux affaires, les armes utilisées sont des armes de guerre anciennes. Alors simple coïncidence ou auteur similaire ? La famille de Xavier Baligant revient sur les différents moments de l’enquête. L’ex-femme de la victime exprime sa souffrance et son incompréhension d’avoir été soupçonnée. Tous veulent la vérité.

Première diffusion : 21 juin 2015