Les films à la meilleure photographie selon Gandoulfe

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Les tons sombres, les lumières dures et fortes, le peu de couleur (mais parfaitement utilisées). Une photo des plus mélancoliques et poétiques que l'on puisse trouver dans le monde du cinéma.

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L'editing, qui laisse (largement) le temps au spectateur d'admirer chaque mouvements, lumières et détails, met particulièrement en valeur ce travail photographique atteignant la perfection.

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Photographie somptueuse pour les scènes intérieures (l'extinction de HAL 9000, la scene finale avec le parquet lumineux, les plans du visage dans le casque,etc.). La beauté et la maitrise des images contrastent, sans l'atténuer, avec l'horreur et la tension qu'elles représentent.
Les scènes dans l'espace, je trouve, sont sublimement cadrées et n'ont pas vieillies.

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Les sépias jaunis de l'époque, Alain Delon avec un chapeau et un long Coat, des intérieurs tamisés, des lumières douces et contrastées à la fois, des châteaux et Paris dans la brume, sous la pluie, sous la neige: des plans qui sont des peintures mémorables.

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Photo à la fois claque esthétique et extrêmement naturelle. D'une mélancolie et d'une beauté sans nom.
R. Deakins a su se renouveler sans s'écarter de son style habituel. Son plus beau travail selon moi (ce qui n'est pas peu dire).

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Envoûtant. Fascinant. Parfait.

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Le plus extraordinaire des noirs et blancs, mystique et envoûtant.

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Des compositions absolument somptueuses, ce film a su profiter du passage au format 16:9 !

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Lubrezki est un genie. La photographie est la plus immersive que j'ai expériencée, avec une proximité entre le spectateur et les acteurs extrêmement audacieuse. Lubriezki nous livre la photo la plus humaine et réaliste que j'ai personnellement jamais vu.

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Ouahouahouaaaaaaah... Photo pas très tape à l'oeil mais tellement minutieuse... Dans le style d'un Road to Perdition, mais avec un perfectionnisme encore plus grand.

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Lumières tamisées tangibles sur les visages rendent palpable l'image et y plonge le spectateur. Un travail de maître.

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C'est gris et ces bruns m'hanteront toute ma vie.

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Voici la preuve que Lubrezki, les lumières naturelles, et les grands angles (et oui, même pour les close ups):
Ca ne fait qu'un.

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Cette fois-ci, ce n'est pas tant la lumière ou les teintes de couleurs qui font la force de la photographie du film, mais un cadrage absolument parfait, rendant chaque plan iconique.

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Dans la veine de There Will be Blood, mais en plus superficiel et pas tout à fait en accord avec le sujet et l'ambiance du film. Lorsque les thématiques de There Will be Blood étaient froides et sans pitié, celles de Road to perdition le sont beaucoup moins...
Mais bon, photographie magnifique dans tous les cas!

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Roger Deakins, comme d'hab. Le jeux sur les lumières à la Wallace Corporation, et partout en général, le cadrage, les tons très forts mais toujours naturels et réalistes: le travail titanesque d'un génie.

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Roger Deakins, ce type est un génie. Les mouvements longs et doux de la caméra sont envoutants, tout comme les lumières et les couleurs. Une photo que l'on pourrait décrire comme naturelle et perfectionniste à la fois.

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Impossible de savoir comment, en plus d'être un accomplissement technique majeur, ce film est magnifique.
Lubrezki est un génie.

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Photo si douce, unique. Hoyte Van Hoytema est rentré, pour moi, dans la cour des grands, ayant confirmé sa maitrise dans Interstellar et Dunkirk.

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La caméra la plus à l'aise que j'ai jamais vu dans un espace obscur et clos. On s'étonne de chaque plan tant ils paraissent tous impossibles à réaliser.

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Bradford Young, le futur de la photo?
Excellente balance entre gros plans sur les visages et les plans d'ensemble. Bon après travailler avec D. Villeneuve rend forcément la photo géniale tant il la met en valeur dans son cutting et ses idées son géniales.
Chaque plan est une peinture.

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Ces plans séquences et ces grands angles...

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Avis aux fanatiques de compositions minimalistes et de sépias décolorés, ce film est pour vous.

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Si Kubrick avait fait un documentaire.

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Les couleurs surtout sont magnifiques dans ce film, elles sont vives et douces comme on en a rarement vues !

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Vous êtes sûrs que ce film est sorti en 1979? Photographie ultra avant-gardiste.