Les films à ne pas voir en famille selon Corus

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Nombreux inserts pornographiques. Au programme et en gros plan : masturbation, éjaculation, pénétration.

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Scènes pornographiques

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Viols, nécrophilie et pédophilie.

Annotation :

La version uncut contient des inserts pornographiques

Annotation :

Sexe, nudité, scatophilie, sadomasochisme

Annotation :

Certains thèmes abordés par ce film sont sulfureux : SM, Cam-Girls.
Il y a 2 scènes de masturbation dans lesquelles nous pouvons voir le pénis en érection de Peter Vack.
Julia Fox se dénude légèrement (sous-vêtements, poitrines nues) et se masturbe lors de la scène final.

Annotation :

Le titre annonce la couleur. Film tourné par Joe D'Amato avec des très nombreuses scènes pornographiques rajoutées à la demande de son producteur.

Annotation :

Probablement un des films d'animation les plus trash de l'histoire du cinéma. Le nombre d'abominations ecoeurantes que cet OFNI propose sont bien trop nombreuses et dégueulasses pour pouvoir les énumérer.

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Monica Bellucci se fait violer dans un tunnel. La scène d'une dizaine de minutes est insoutenable.

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Produit avec un budget dérisoire avoisinant les 10000$, Reise nach Agatis est un film Allemand dans lequel un couple sadique séquestre et tue des jeunes filles.
Dès les premières minutes, la mise en scène vient gâcher l’introduction en utilisant à outrance des gros plans tremblotants. Marian Dora use et abuse des ellipses donnant par moment l'impression de regarder un documentaire géographique voire animalier.
Le personnage de Rafael est relativement bien cratérisé (obsédé et dégoutant), mais les autres sont mis de côté. Sa femme Isabelle a l'air d'avoir des pulsions sexuelles étranges (voir la scène durant laquelle elle se masturbe pendant que son mari viol leur proie), mais ça n'est pas suffisamment développé. Peut être qu'en exposant les raisons pour lesquelles ce couple s'adonnent à ces atrocités, cela aurait pu donner plus de profondeur aux personnages. On ne fait que survoler leur psychologie.
La scène de mutilation finale n'est pas mauvaise même si on voit aisément certains trucages qui me font systématiquement sortir du film (le couteau tout mou essayant désespérément de découper le téton de la pauvre victime).

Annotation :

Vu juste après Philosophy of a Knife (Andrey Iskanov, 2008).
Plus "romancé" et donc moins documentariste que Philosophy..., Camp 731 retrace les abominations commissent par le camp secret Japonais, durant la seconde guerre mondiale.
Le film s'attarde sur les expérimentations faites aux prisonniers afin de développer des armes bactériologiques et à l'endoctrinement des jeunes recrues.
Certaines scènes de la version uncut, difficilement soutenables, serraient fort heureusement de nos jours totalement interdites.
Au programme : tortures réelles sur des animaux, nudité infantile suivi de l'extraction de ses organes et tout un tas d'autre joyeusetés trop longues à énumérer se chargeront de retourner l'estomac des spectateurs les plus avertis.

Annotation :

Peloche déviante et malade venue du pays du soleil levant.
Le jeu excessivement mauvais de certains acteurs vient à certains moments casser le délire cradingue de cette proposition (mention spécial pour Barbara, la SDF).

Annotation :

Nudité, fellation incestueuse, scène saphique, gore, nécrophilie, urophilie.