Les films à voir en 3D selon Zhibou

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conjugué au HFR, une immersion totale dans la terre du mileu.

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La 3D permet de sculpter l'espace. L'horizon devient presque palpable.

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L'imagerie de l'horlogerie et des mécanismes divers est magnifiée par le volume.
Le train qui arrive en gare nous plonge dans le même contexte que les spectateur du fameux film des frère Lumière.

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l'immersion absolu, inutile de revenir dessus.

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Redécouvert récemment pour la première fois en 3D, et se place aisément dans cette liste tant il est généreux. Autant dans les effets pop-corn que dans l'enrichissement de certaines scène.

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La preuve que la 3D peut (doit) être un outil de mise en scène. Sam Raimi se sert du format pour pousser plus loin ses talents de conteurs.
À titre d'exemple, le passage du noir et blanc à la couleur est ingénieux, aidant l’œil du spectateur à faire la transition en douceur grâce à des particules qui s'éparpillent hors du cadre.

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Contesté pour son écriture, le film retrouve certaines faveurs par son esthétique qui perdrait de sa saveur sans le relief.

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Une 3D plus discrète au niveau du spectacle pur, mais qui pourtant renforce les tics de mise en scène de Spielberg. Les plans qui traversent vitres, miroirs, et verres en sont d'autant plus pertinents.

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Le court métrage est déjà un exploit technologique en soi. Amenant la souplesse des CGI à l’esthétique de l'animation 2D traditionnelle. La 3D sert donc à mettre du volume à ceux que l'on croirai être pourtant "que" du dessin à la main.

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Les décor minimaliste à base de Neon donne un 3D très géométrique permettant de bien mettre en valeur les exploits des "programmes" du film.

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Un film que l'on a tendance à oublier dans la filmo de Snider. C'est dommage tant la mise en scène poseuse (i.e. plein de slo-mo) est magnifiée par le volume.

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Un conversion faite avec sérieux (et des moyens) qui permett de prouver encore une fois à quel point James Cameron est un cinéaste surdoué de l'espace.

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Idem que le voisin du dessus, mais appliqué à Spielberg.
Puis le réalisme des dinosaures n'ayant rien perdu de leur superbe, c'est une joie supplémentaire de les voir prendre du relief.

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Film d'exploitation totale, la 3D va dans ce sens. les piranha, membres, et autres giclées de sang se font un plaisir de jaillir hors de l'écran. Du relief de Park d'attraction qui fait son job.

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Exemple typique du film qui ne vaut rien sans la 3D. Le scénario est aussi plat que la grotte est immersive. La claustrophobie de certains passages atteint des sommets tant on est emprisonné dans l'image.
Ça vaut bien 3 points sur le total de ma note.

Annotation :

Je n'ai pas vu le film avec le nouveau relief moderne (qui je suppose rend bien), mais la version anaglyphe originale. Une mention spéciale donc.