Les films avec les meilleurs dialogues selon riqdthavrri

Annotation :

"Écoute vieux, tu commences à faire chier avec ta torche, ça fait depuis le début que tu m'emmerdes, tu m'as déjà fourré la gueule là-bas ! Ça va suffire maintenant ! Tu n'as que ça à faire toi ! Excusez, hein, je suis arrivé énervé. Je sais bien tout n'est pas de votre faute, mais j'ai l'impression qu'on m'a donné les deux CLOWNS de l'IAD, là, hein, le FOND DU PANIER !"

"Chaque chose arrive en son temps, tu vas pas me dire toi ce que moi je dois raconter."

"Je rame. Je rime et je rame comme tartine et boterham."

"Chef, ou tu sors ou j'te sors mais faudra prendre une décision."

"Tiens, mets tes lunettes va couillon. Tu verras peut-être plus clair la prochaine fois…"

"Dis, on t'a jamais appris à manger avec la bouche fermée, toi ?! C'est à toi qu'je cause, hein ! J'ai l'impression d'être à côté d'un camion poubelle qui travaille moi, ici ! Connasse, va… C'est excessivement énervant d'entendre quelqu'un qui mange des CHIPS pour celui qui n'en mange PAS !! COMPRIS ?!! Éducation minimum, han ! J'vais taper ça à l'abattoir, ça va être vite fait, t'sais."

"Va te faire refaire hein, alien ! Heureusement qu'elle est partie, sinon elle aurait pris l'agrafeuse dans la gueule, hein…"

"T'es épais comme un câble de frein à main."

"Ben alors, t'es pas en classe verte toi ? M'semblais bien que c'était toi, avec ton accent de chanteur de rap, là, hip-hop ! Et cette manie que tu as de cracher partout comme un lama ! C'est excessivement énervant !"

"Hé, achète des cotons-tiges, il te demande pour la deuxième et la dernière fois si tu peux pas sortir pour téléphoner à ta poufiasse !!"

"La première c'est pour te faire la leçon, p'tit con ! La deuxième c'est pour le principe ! Et la troisième c'est parce que jamais deux sans trois !"

"Je sais que j'plais pas à tout le monde… Mais quand je vois à qui j'plais pas, j'me demande si ça me dérange vraiment…"

"Un petit clic vaut mieux qu'une grande claque !"

"Tu vois Charlotte, si aujourd'hui tu ressembles plus à Albator qu'à Candy, c'est parce que ta maman... Elle flûte !"

"C'est mon engin que tu regardes, là ?"

"Pistolet tchèque semi-automatique. Ça t'arrête un bus scolaire en pleine course, p't'être même un avion ! Je sais pas. J'ai jamais essayé…"

Annotation :

"Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence."

"J'aime pas trop les voleurs et les fils de pute."

"Je vous conseille d'éviter la mousse au chocolat du patron."

"À la ferme.
- À la ferme ? Quelle ferme ?
- À la ferme ta gueule toi ducon, espèce de crétin."

"Eh, la choucroute ! Si tu veux une saucisse…"

"C'est ça, la puissance intellectuelle ! Bac+2, les enfants."

"Je déteste les animaux préhistoriques partouzeurs de droite, bordel ! C’est de la merde. Mélanger comme ça partouze et politique… C’est mieux de faire les choses dans l’ordre !"

"J'ai les bonbons qui collent au papier."

"Tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire « monde de merde » ? C’est pas que tu es indiscret, c’est juste que tu es un con."

Annotation :

"Tu m'aides pas, là ?
- Non, pas là, non."

"Bon écoute-moi, Bernard… Je crois que toi et moi on a un peu le même problème. C'est à dire qu'on peut pas tout miser sur notre physique… surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c'est 'Oublie que t'as aucune chance. Vas-y, fonce.' : on sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher."

"J'sais pas ce qui me retient de te casser la gueule, là…
- La trouille, non ?
- Ouais ça doit être ça."

"Je ne vous mets pas mon poing sur la gueule, je pense que ce n’est pas nécessaire ?
- N-n-non."

"J’ai pas accroché la porte j’ai ripé ! Ne parle pas de ce que tu ne connais pas ! Mais qu’elle est conne aussi celle-là !"

"Bah écoutez j’suis pas fou, tenez, y'a écrit 'Saint-Lazare'. C’est mes yeux ou quoi ?
- J’crois que ça doit être vos yeux.
- Ah ouais… C’est mes yeux, ouais."

"Christiane ! Oh, mais c'est fou ça, mais t'as tellement changé, on t'aurait jamais reconnue !
- Ben d'ailleurs on t'a pas reconnue."

"J’étais dehors en train de regarder les étoiles, et malencontreusement quelqu’un a ouvert un volet, je l’ai pris dans la figure."

Annotation :

"La marche des vertueux est semée d’obstacles que sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l’œuvre du Malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité, se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !"

"Si Butch se réfugie en Indochine, je veux un gonze dans chaque bol de riz prêt à lui plomber les molaires."

"Si vous le voulez bien, on se taillera des pipes plus tard, les enfants."

"C’est à une demi-heure d’ici. J’y suis dans dix minutes."

"Quand tu t’es pointé tout à l’heure, est-ce qu’en entrant tu as vu un panneau qui indiquait une « décharge du negro crevé » ? Est-ce que tu as remarqué, oui ou non, devant chez moi un écriteau disant « décharge de nègres » ?
- Non, pas du tout.
- Et tu sais pourquoi tu l’as pas vu cet écriteau ? PARCE QU’IL Y EN A AUCUN !! Et s’il y en a aucun c’est que j’ai pas envie de planquer des cadavres de noirs !"

"J'irais pas jusqu'à dire qu'il est gros : disons qu'il a un sérieux problème de poids."

Annotation :

"Je ne vois pas trop l’intérêt de ressembler à un homme."

"Je ne vois pas trop l’intérêt de ressembler à une femme."

"Ça fait un peu Jaquadit a dit 'pas de charcuterie'."

"Pourchasser un nazi avec des juifs ? Quelle drôle d'idée !"

"Voilà Dolorès, cadeau ... de Noël ! Non je dis Noël, c'est par rapport à mon prénom.
- Oui, j'avais compris.
- Et sinon... Il y a aussi les boules…
- De Noël ?
- Oui !"

"Une dictature c'est quand les gens sont communistes, déjà. Qu'ils ont froid, avec des chapeaux gris et des chaussures à fermeture éclair.
- D'accord. Et comment vous appelez un pays qui a comme président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète, une seule chaîne de télévision et dont toute l'information est contrôlée par l'État ?
- J'appelle ça la France, mademoiselle. Et pas n'importe laquelle : la France du général de Gaulle."

"C'est l'inexpugnable arrogance de votre beauté qui m'asperge."

"Shut up ! Kiss my ass !
- D'accord, faisons comme ça."

"Hahahahaha, sacré Hubert ! You are so french !
- Nahahaha, toi aussi !"

Annotation :

"Cette chanson, 'Like a Virgin', tu veux que je te dise de quoi ça parle ? Ça parle d'une fille qui est mordue pour un mec qui a une super queue. Cette chanson, c'est une métaphore sur les grosses queues."

"Si tu me flingues en rêve, tu me demandes pardon en te réveillant ?"

"J'ai descendu deux-trois flics. Et toi, t'as tué du monde ?
- Juste des flics.
- Pas des vraies personnes ?
- Juste des flics."

"Est-ce que t'aboies tout le temps, petit roquet ? Ou est-ce que tu mords ?"

"Merde, les gars… Si vous tapez sur ce péteux jusqu'à ce soir, il vous avouera que c'est lui qui a bousillé le pont de la rivière Kwaï, sauf que ça prouvera de la COUILLE !!"

"Pourquoi 'Monsieur Pink' ?
- Parce que t'es une pédale, ok ?"

Annotation :

"Y'a pas de mal à se moquer des abrutis. Ils sont là pour ça, non ?"

"Vous faites peine à voir. On dirait un cheval qui a raté une haie. On vous abattrait sur un champ de course."

"J'pouvais pas savoir, moi. Elle me dit : « C'est Marlène Sasseur. » Avouez que c'est confusant."

"Il s'appelle Juste Leblanc.
- Ah bon, il a pas de prénom ?
- Je viens de vous le dire : Juste Leblanc.
- …
- Leblanc c'est son nom. Et c'est Juste son prénom.
- …
- Monsieur Pignon, votre prénom à vous, c'est François, c'est juste ?
- …
- Eh bien lui, c'est pareil : c'est Juste.
- …"

"Et voilà, on a les droits, houuu, ... et pour pas cher, à mon avis, il a marché ! Il a marché à fond le gars !"

"Va te faire foutre, tiens !
- Toi aussi, va te faire foutre ! Oh, mais quel connard celui-là... Aux chiottes l'OM ! Haha, quel connard ..."

Annotation :

"Vous êtes myopes des yeux, myopes du cœur et myopes du cul !"

"'Ça dépend'... Oui, ça évidemment, on vous demande de répondre par 'oui' ou par 'non', alors forcément : 'ça dépend', ça dépasse…"

"Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j'étais à deux doigts de m'agacer."

"Je n'aime pas dire du mal des gens, mais effectivement elle est gentille."

"Mais je vous en prie ! Figurez-vous que Thérèse n'est pas moche ! Elle n'a pas un physique facile, c'est différent !"

"AH PUTAIN D'TA MÈRE, SALOPE, DONNE-MOI ÇA !"

"MAIS TU PÈSES UNE TONNE, SALOPE !"

"Je vous présente toutes mes confuses."

"J-j-j-j-j-j-j'arrive, chouchou…"

Annotation :

"Tes amis ont un taux de mortalité très élevé."

"J'ai vu trois de ces cache-poussières tout à l'heure. Ils attendaient un train. Il y avait trois hommes à l'intérieur des cache-poussières. Et à l'intérieur des hommes y'avait trois balles."

"Vous devriez apprendre à vivre comme si vous n'existiez pas."

Annotation :

"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."

"Le monde se divise en deux catégories, mon ami : ceux qui ont la corde au cou et ceux qui la leur coupent."

"Le monde se divise en deux catégories : ceux qui passent par la porte et ceux qui passent par la fenêtre."

"Quand on tire, on raconte pas sa vie."

"Dis donc toi ! Tu sais que tu as la tête de quelqu'un qui vaut 2000$ ?
- Oui, mais toi tu n'as pas la tête de celui qui les encaissera."

"Un, deux, trois, quatre, cinq, et six. Six, le chiffre parfait.
- Je croyais que trois était le chiffre parfait.
- Oui, mais il me reste six balles dans mon revolver."

" Tu veux me faire une farce, avoue-le ?
- Ce n'est pas une farce, c'est une corde. Dépêche-toi de passer la tête là-dedans, Tuco."