Les films avec les meilleurs monologues selon Mogadishow

Annotation :

Ils se comptent sur les doigts d’une main les films avec plus d’un monologue culte.
Le classic de Spike Lee en fait partie. Si tout le monde ne manquera pas de citer celui d’Ed Norton, entré au Panthéon du cinéma, ma préférence va à celui de son père, interprété par Brian Cox, plein d’émotion et d’espoir paternel.

Annotation :

Ça commence par un dialogue, ça dérive en monologue, ça se termine en massacre. Mesdames, messieurs je vous présente Christoph Waltz dans le rôle d’Hans Landa.

Annotation :

Jouer un coach c’est évidemment du pain bénit rayon monologue. Al Pacino, habitué du format, le prouve une fois de plus avec cette séquence mythique de l’Enfer du Dimanche devenue malheureusement un classic de LinkedIn.

Annotation :

S'il existe un grand monologue dans le cinéma de science-fiction, ce sont les derniers mots de Batty, en partie réécrits par Rutger Hauer.
Sa performance subtile est bouleversante de par sa délicate évocation des souvenirs, des expériences et des passions qui ont guidé sa courte existence.

Annotation :

Le monologue furieux biblique de Jules Winnfield dans Pulp Fiction est une grosse claque et vous savez pourquoi ? Parce que Tarantino l’a largement réécrit.

Autre monologue tout aussi culte mais trop souvent oublié : Christopher Walken et l’histoire de la montre du père de Butch, interprété par Bruce Willis. Le genre d’histoire familiale difficile à transmettre.

Annotation :

« C’est une bonne situation ça scribe ? »
Et allez hop, c’est parti pour l’un des monologues les plus mythiques du cinéma français, par ailleurs largement improvisé jusque dans les réactions des autres comédiens, Jamel en tête.
Édouard Baer n’a jamais fait mieux.

Annotation :

Parmi toutes les qualités déployées par Adam Sandler dans Uncut Gems, il y a aussi cet incroyable monologue dans lequel il explique à Kevin Garnett comment il "gagne".
Ce discours nous offre un aperçu du fonctionnement de l'esprit d'Howard ; bien que ce soit principalement des balivernes destinées à justifier son addiction au jeu, il est étrangement motivant et permet de mieux comprendre comment le personnage s’enfonce progressivement.

Annotation :

On l’oublie trop souvent mais Jack Nicholson apparaît à peine 15mn dans le film et pourtant, sa perf est inoubliable en particulier grâce à la scène de l'interrogatoire mené par Tom Cruise, où Nicholson laisse éclater sa rage dans un monologue mythique. Une prestation tellement forte qu'elle a été retenue dans le classement AFI 2003 des 100 plus grands héros et méchants du cinéma américain.

Annotation :

Le monologue d’Alec Baldwin est un modèle de masculinité toxique qui imprègne le reste du film, et fait un travail efficace pour en communiquer très rapidement les enjeux.

Annotation :

Le monologue final d’Andrew Garfield a ceci de fabuleux qu’il nous rappelle que Mark Zuckerberg n’est pas tant un anti-héros qu’un authentique vilain. D’ailleurs la suite nous le rappelera IRL bien amèrement.