Les films les plus prétentieux selon Infinico

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(Annotation faite en 2023)
Je pense qu’il meriterai la première place de ce classement. Une réecriture de Bresson aussi à coté de son sujet c’est très grave. Comment ont ils pu penser qu’une direction d’acteur aussi rigide pour l’animal était une bonne idée. Sans parler des ralentis, des néons et de la musique extradigétique qui n’a absolument pas sa place dans le film. Bref c’est une catastrophe. Le film reste agréable à regarder si on oublie les prétentions désastreuses de son auteur.

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Annotation faite en 2023
Après deux longs d’horreur, Ari Aster décida de se lancer dans un projet mélangeant tous les styles (horreur, drame social, animation…) sans aucune sorte de cohérence visuelle afin de faire de l’esbrouffe cinématographique.
Les dialogues sont absolument vides mais se veulent profonds. Le film est d’un misérabilisime assez effarant vis à vis de son personnage principal très peu appréciable. Sans parler de la fin méta qui propose une réflexion sur la place du spectateur dans le cinéma extrement basée.

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(Annotation faite en 2021)
Rarement vu une œuvre aussi prétentieuse (bien que d'une qualité nettement supérieure à la première). Le principe de peindre la pellicule est génial et donne des visuels plutôt intéressant permettant de faire fuser son imagination ce qui semble être un des principaux intérêt du film. Malheureusement, le film tente de faire une adaptation extrêmement pompeuse de la divine comédie de dante totalement muette ponctuée par des titres et expressions telles que "hell itself" ou une citation d'un poète (Rilke) "existence is song" qui représente tout ce que je déteste au cinéma à savoir faire éclore des citations pour donner des allures métaphysiques à de la peinture sur pellicule. Ce qui est pompeux aussi c'est de penser avoir réussi a adapter une œuvre littéraire aussi importante en 6 petites minutes de peinture et penser que cela est une adaptation réussie juste parce que on a mis des citations et que l'on apporte une pseudo dimension métaphysique à l'œuvre originale.

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(Annotation faite en 2021)
Je vais me faire des ennemis encore une fois mais le coté assez masturbateur qu'a Orson Welles à apparaitre dans son documentaire et à narrer son histoire avec de long monologues qui n'en finisse pas et qui ne raconte au final pas grand chose m'a profondément dérangé.

Voici deux citations qui serviront à exemplifier mon propos: "l'auteur de fake, un livre sur un faussaire, faussaire lui même est l'auteur d'un faux" (une allitération sur le même mot c’est quand meme le summum de du foutage de gueule) ou encore "les œuvres sculptée, peintes écrites épargnée depuis des millénaires mais tous disparaitra dans les guerres et s'envolera avec les dernières cendres de l'univers, c'est une évidence: nous devons tous mourrir "pleurer les artistes morts du passé vivant... tous nos chants étouffés sauf un qui continuera à s'élever."

Ensuite le sujet du documentaire à savoir Elmyr est insupportable et très hautain dans sa manière de parler et occuper l'espace: "Hop un Picasso fait en 1h dans le feu" avec un air condescendant tel le génie du siècle.

Un documentaire qui malgré deux ou trois anecdotes tourne en rond n'approfondi rien sur le sujet et qui se donne des airs métaphysiques et pompeux autant sur le thème, les dialogues (très creux) que la mise en scène même si cette dernière est incroyable dans les 20 dernières minutes.

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(Annotation faite en 2021)
Outre le traitement très superficiel et assez ridicule des deux sœurs, le message végan est amené avec beaucoup de maladresses et des procédés très pompeux tels que par exemple faire apparaitre au montage sans transition un cheval qui court au milieu d'une scène pour faire du symbolisme sur rien. Il est peut être moins prétentieux que les précédent (et sans doute moins bon que les deux du dessus) mais la communauté qui l'idolâtre et le hisse au sommet des films dans genre ne facilite pas l'image prétentieuse qu'il renvoit
(cela vaut aussi pour titane)

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(Annotation faite en 2021)
C'était mauvais et les blancs entre chaque phrases ne rend pas le film agréable à voir surtout que les dialogues ne sont même pas bien écrits (ex: "l'amour ... ça se joue... euuh... ça se joue...différemment quoi. Tu comprends? Ouais j'comprends ouais" (plan suivant le mec galoche une vieille obèse sans raison pendant dix minutes). Bref c'était nul et un peu trop prétentieux pour ce que c'est.

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(Annotation faite en 2021)
Un film vu au cinéma. Les dialogues sont plats et sans intérêt oscillant entre un " bonjour madame vous êtes belle" répété jusqu'au forcing par un vieux poète torturé envers une gamine ou encore des "regarde la voiture" ou "regarde la neige" comme si l'auteur voulait insister sur le coté contemplatif alors que ce n'est pas nécessaire de le laisser transparaitre dans les dialogues tant cette intention est visible. Le tout est dicté très lentement avec aucun relief ni émotion dans l'intonation. La photographie est immonde avec des plans mals cadrés et des zooms style story snapchat (le zoom sur le chat est particulièrement laid). Le tout filmé en noir et blanc (ce que je trouve très prétentieux soit dit en passant) pour se penser auteur de niche avec un montage abominable qui fait durer certains plans inutilement et en coupe certains de manière trop abrupte (cela vaut également pour la bande son). Une fin nanardesque et un film très prétentieux dans les intentions de l'auteur tant sur la photographie que les dialogues ce qui le rend encore plus mauvais.

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(Annotation faite en 2023)
prétentieux: « Qui prétentend être ce qu’il n’est pas »
Nous avons donc ici un film qui se prétend féministe mais qui donne un très mauvais exemple de ce que dois faire une femme pour améliorer sa place dans la société. Car c’est bien connu que simuler d’etre alcoliser et trainer dans les boites tous les soirs pour montrer que tous les hommes sont des violeurs c’est vraiment le comportement à suivre quand on est une jeune femme vulnérable.
Un film qui donne un coté « Pop et coloré » à un sujet extrêmement grave (le viol) et qui catégorise tous les hommes comme d’immondes connards.
Aucun problème avec la généralisation pour rendre son propos universel sauf lorsque cette généralisation est completement fausse et dangereuse. Regardez plutot Scandale ou Barbie qui ont une meilleure approche (plus nuancée) du féminisme de mon point de vue.

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(Annotation faite en 2023)
Un « hommage au cinéma » qui se contente de faire éclore des citations de grands classiques sans jamais se demander si ces dernières sont pertinantes (je ne parle pas de celles sur le joueur de jazz ou chantons sous la pluie). Est ce que cela en fait un film prétentieux? Absolument. Les 20 dernieres minutes sont ridicules.