Les films les plus tristes selon Franck Walden

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Quand le cynisme affiché d'un homme sans scrupules, se transforme en humanité bouleversante... Des seaux de larmes, que j'en ai chialé.

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Pour la scène finale, que je connais par coeur et pourtant, à chaque fois, c'est mouchoir assuré. Comment est-ce possible d'avoir cristallisé avec tant de justesse, et pour l'éternité des générations, autant d'émotion muette sur une pellicule ? Un vrai miracle de cinéma.

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- Adrian ! J'ai gagné !
Moralité : la victoire est encore plus belle quand on s'est pris des dizaines de gnons dans la tronche, et qu'on a été au bout de soi-même pour vaincre l'adversité. Simple, efficace, et redoutablement lacrymal.

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Et voilà, encore une musique / scène de fin qui dévaste tout sur son passage. Brad Davis est un monstre d'acteur qui vous prend le coeur dans son poing rageur, le serre très fort, pour en faire gicler le jus qui remonte jusqu'à vos yeux. Une tuerie.

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Ici, les larmes intérieures, coulent à flot sans interruption. On pleure de rage et de haine contre la cruauté des hommes, en serrant contre soi toutes ces bêtes prisonnières d'atroces souffrances...

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Un gros nounours d'une gentillesse surhumaine, doué du don de résurrection, envoyé à la chaise électrique ? Comment ne pas être ému au tréfonds devant tant d'injustice ?

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Là, Rocky n'a pas encore gagné, mais il aime déjà très fort sa femme, qui l'aime aussi très fort, malgré sa gueule cabossée. Perdre n'est pas important, tant qu'on a l'amour.

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Variante de Rocky, mais entre deux frères, et un vieux père, tous meurtris par la vie, ha,tés par le fantôme d'une mère morte. On ne sait pas trouver les mots pour se dire les choses, alors on frappe, on frappe fort et on décharge ses rancoeurs, pour mieux se réconcilier... Un film qui tape droit au coeur.

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Une loyauté animale sans limite. Et mon coeur fond...

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Une histoire terrible, et un monde qui s'écroule. J'en suis sorti sonné.

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Peu spectaculaire, mais comment imaginer douleur plus émouvante que vivre dans la peau d'Eléphant-Man, difforme, exhibé, moqué, maltraité... oui, les hommes sont vraiment méchants.

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Variante d'Elephant-man avec un teenager, et une mère rock'n'roll. Une oeuvre sensible qui a marqué mes jeunes années.