Les jeux vidéo qui ont changé votre vie selon Loky5

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Le Saint des Saints : Tetris, un de mes premiers jeu tout court avec Super Mario. J'y ai voué un culte sans pour autant être capable de le maîtriser ; une sorte de Rubik's cube vidéoludique.
- Game Boy

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Premier jeu d'aventure, qui m'a suivi tout un été, enfant, et me hante depuis. Le mariage entre Secret of Mana et Final Fantasy, la croisée des 2 mondes, à mettre un chouième devant Zelda, même si la version SNES, très différente, aurait pu avoir sa place ici.
- Game Boy

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La bombe ! Top1 de mon Top10 !
J'ai une relation très particulière avec ce jeu. La découverte d'un nouveau genre pas encore démocratisé en France. Mais surtout la rencontre avec la langue japonaise puisque mon cousin l'avait payé très chère et fait switcher sa SNES pour y jouer, avec l'aide d'un de ses amis qui nous a expliqué petit à petit l'histoire et les subtilités de ce masterpiece. Résultat, 3 ans d'avance sur la masse qui découvre et adule FFVII alors que tous les mécanismes existaient déjà, même la narration y était tout aussi soignée. Quand à la 3D du VII, elle ne me manque pas du tout et a très mal vieillie. Voilà pourquoi le VI est intemporel et un cran au dessus (les trolls rageurs passez votre chemin)
- Super Famicom

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Sorti dans la même fourchette que Civilization II, Age of Empire et Heroes of Might & Magic II ; il a fallu faire un choix, mais 1996/97 a été une période très orienté jeux de stratégie.
Alerte Rouge avait quelque chose en plus, bien que je suis moins fan de l'univers, il était plus proche de la réalité que les autres C&C, ce qui a attiré les faveur de mon père avec qui je jouais. Sans parlé des cutscenes avec acteurs qui rendez le jeu plus immersif et vivant qu'aucun autre, dans cette réalité alternative.
Mais c'était aussi ma première expérience en multi en ligne sur la plateforme GOA à l'époque, où avec un pote on avait une bonne réputation en 2vs2.
- PC

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Bientôt 20ans et toujours aussi étincelant. La crème du jeu de rôle tactique, où chaque unité à ses propres mécanismes, de la micro-gestion qui peut faire la différence. Un énorme jeu d'échec complexe et personnalisable. Il ne m'en fallait pas plus pour devenir un incontournable. J'y ai passé des heures, sur ces suites et ses semblables (Tactics Ogre, Fire Emblem, Disgaea...) mais son histoire shakespearienne, son design attachant, et ses musiques mélodieuses me font toujours vibrer. Quant au portage amélioré sur PSP, un véritable petit bijoux.
- PSOne / PSP

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La quintessence du jeu de rôle. Jamais on ne retrouvera une mélange aussi harmonieux entre richesse scénaristique et phase de combat. BG c'est l'Aventure avec un grand A là où Diablo, son concurrent direct, n'offre que du défoulloir et de la compétition. Encore récemment des sociétés l'ont compris, fort de cette nostalgie, et tentent un revival du genre.
Ma période Dungeons&Dragons sur table a très nettement marqué ma perception de la Fantasy ; et Baldur's Gate y a laissé son empreinte.
- PC

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Ce n'est pas mon Zelda préféré (Link to the Past pour être précis, mais ça aurait fait redondance avec Mystic Quest plus haut) ; et j'aurai pu citer Mario 64 à la place.
Bref, tout ça pour dire que la Nintendo 64 a marqué les esprits avec ses jeux avec des environnements en 3D, d'autres préféreront le challenge d'un Tomb Raider sur Playstation. Tout colle à la perfection et pour la première fois la profondeur de la 3D permet à Link de sauter, grimper, viser à l'arc ; il fallait analyser visuellement chaque recoin pour se sortir de difficiles donjons : plus de vision du dessus en mode observation de souris (d'autre dirons mode god) mais une immersion incroyable pour un jeu d'aventure. On ne peut pas nier qu'Ocarina of Time était la surprise de toute une génération.
- Nintendo 64

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DaoC, c'est à la base une idée simplement géniale : 3 grandes civilisations médiévales européennes baignées dans leurs légendes respectives, qui s'affrontent sur un champs de batailles. Les chevaliers du Graal, les hargneux Vikings, et les mystérieux Celtes. Il n'en fallait pas plus pour qu'il devienne mon premier MMORPG (après La 4ème Prophétie), puit d'inspiration eternel pour WoW (que j'ai bcp moins apprécié).
J'y ai pas mal joué, perdu bcp de temps surtout, avec mes potes aussi, chacun à son rythme. Ceci étant, j'y ai vécu d'excellents moments, j'ai partagé mon compte avec mon père, financier de mon abonnement, sans pouvoir jouer simultanément ; de plus sombre aussi, l'addiction est un problème bien réel, et il a fait des dégâts : on prenait moins le temps de faire des choses en dehors du jeu c'est dommage.
- PC

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Ce n'est pas forcément un jeu ultime, mais un excellent défouloir pour tout fan de rock qui se respecte. GHIII c'est avant tout une playlist classic rock, mais pas seulement, qui déchire. J'y ai (re)découvert énormément de légendes du rock (d'où le titre), des rythmes endiablés, et une difficultés croissantes et diabolique. Il m'a fallut bcp d'heure d'entrainement, en solo, mais aussi avec des proches joueurs eux aussi pour arriver à aller titiller le mode expert. Avec le temps et l’engouement, j'ai custom ma guitare à l'effigie de Metallica (j'ai d'ailleurs exercé plus souvent sur Guitar Hero Metallica) puis une Logitech haut de gamme pour jouer comme un pro. Puis est sorti Rock Smith chez la concurrence, je me suis équipé d'une vraie basse électrique, ampli et accessoires, prêt à conquérir le monde ! Et je me suis aperçu que j'étais un gros naze... une raclée qui m'a fait mal aux dents. La vie est dure parfois, mais je me suis bien amusé.
- PS2 / PS3 / Xbox360

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Ma dernière claque en date (juin 2016). Ca faisait un moment que je ne m'étais pas plongé à fond dans un jeu, et il aura fallut que the Talos Principle réveille mes instincts (j'ai chassé chaque succès, 2.5 runs en 60h pour faire le 100% avec les 3 fins, chose que je ne fais jamais...).
Le principe est relativement simple, une série de niveaux qui proposent des casse-têtes en 3D et à la première personne. Il faut donc parcourir chaque "salle", observer, trouver et comprendre chaque mécanisme pour arriver à ses fins. Puis on découvre des éléments cachés, des bonus, qui demandent bcp de réflexion et de réfléchir hors-cadre, et là, les choses se corsent.
Mais Talos ne s'arrête pas là, il y a une histoire et pas mal de documents, souvent incomplets (Wikipédia est ton ami) qui traite de la robotique, l'intelligence artificielle, l'humanité et le spécisme. Il a donc une vertu culturelle non-négligeable, mais optionnel. Et étant dans une période où je renoue avec les bases de la philosophie, ce jeu, que dis-je, cet œuvre tombe à pique !
- PC

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Un point & click dans le lot, c'était obligatoire ! Après d'excellents moments sur le 486 familial, affichage 4 couleurs, sur Monkey Island ou Indiana Jones ; la révolution est venu du Mac de mon cousin. Kyrandia, c'était plus qu'une simple aventure. Déjà parce qu'il n'était pas simple, mais aussi parce qu'il fallait se taper le dessin de la carte sur des feuilles A4 qui recouvraient totalement le sol pour sortir de ce satané labyrinthe. Bref, le jeuvideo en mode hard avant 20ans Demon's souls. C'est le genre de détails qui marque.
- MAC

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J'ai eu une longue love story avec Ridge Racer. Elle a commencé lorsque ma famille a offert une Playstation japonaise en 1994 pour l'anniversaire de mon cousin. Avant le jeu de course en 3D c'était uniquement en arcade, Daytona USA principalement, et à la maison tu avais le bon vieux Outrun... Mais la PS1 à tout changé ! Un super jeu d'arcade à domicile, du drift compliqué, des musiques électro, un boss de folie ! Puis la série a été boudée car elle ne se renouvellait pas assez, les gens voulaient de la simulation de conduite et de la customisation. Gran Turismo et Need for Speed ont tout rafflé, RR a tenté un virage mais s'est crashé dans le mur à plusieurs reprises. RIP Ridge Racer !
- Playstation & Arcade

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Gamin, pendant les grandes vacances, il y avait un centre de jeux avec flippers, coin dozers, bandit manchots, arcades, etc... Et s'il y a bien un jeu sur lequel j'ai passé des heures, c'etait bien Super Sidekicks 3, (on avait eu successivement le 1 et 2 avant). Il avait la particularité d'avoir un écran énorme, 2 sièges confortables, d'offrir des parties gratuites en cas de victoire et surtout un énorme bug entre la borne et le jeu qui nous permettait d'avoir des crédits infinis avec une seule et unique pièce de 10 frs. Et avec avec tout ça, un tableau des highscores entièrement dédié à ma gloire !
- Arcade

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L'effet de mode le plus tenace. 20ans et toujours vivant.
Team rouge Dracofeu ! j'ai passé des heures à Bourg Palette à suivre ce rival et entrainer mes créatures. Et je n'étais pas le seul, puisqu'avec une poignées d'autres joueurs, et pendant plusieurs années, nous avons échangés nos petits monstres que ce soit sur nos cartouches officielles, ou sur nos émulateurs avec les roms traduites des versions inédites. Je me souviens avec monté une LAN exprès pour un été avec un pote. Malheureusement, et c'est aussi un élèment qui a changé mon regard sur ce RPG light aux mécanismes génialissimes, ce sont les suites qui ont trop augmenté le nombre de Pokémons. Impossible de m'y remettre dans le contexte actuel, et pas l'envie de monter les échelons 1 à 1.
- Gameboy

Annotation :

Certainement pas un grand jeu, tout juste bon à la limite, je le concède. Time Crisis, c'est une jeu d'arcade assez mal transmis sur PSOne : il fallait une télé avec un super temps de réponse, sur cathodique, chose impossible, et avoir une chance de cocu pour ne pas voir ses tirs déviés en pleine partie, obligeant les joueurs à recalibrer plusieurs fois. Et à vrai dire, House of the Dead est bien plus fun. Mais j'en gardais un bon souvenir en arcade, et j'avais la chance d'avoir une Playstation japonaise qui composait bien avec certaines des télés que la famille possédait. Le petit plaisir coupable, guns en main, qui m'a permis de mettre le feu lors d'un test en magasin. Super souvenir !
- Arcade & PSone

Annotation :

Je ne suis pas très foot, mais j'aime l'ambiance des grands événements. CdM98 c'était l'apothéose en France forcément ! C'est à partir de là que nous avons joué à la plupart des Fifa (moins PES je dois l'admettre). Nous passions nos mercredi après midi avec mon frère à (re)jouer les matchs de la compétition. Puis par la suite, avec nos potes, on organisait des tournois/pizza, des fois nous parions même un peu d'argent. C'était le bon vieux temps, avant que le jeu de foot devienne une institution et perde ce côté jeu d'arcade pour s'orienter sur la simulation sportive. Là j'ai perdu le fil, bien que j'ai réussi à mettre la main sur une version japonaise de PES 2006 où j'ai pu faire une saison de J.League et les match de la coupe du monde en solo dans mon coin a faible niveau de difficulté.
- PC & PSone

Annotation :

Pas grand chose à raconter sur ce bon vieux compagnon de route qu'est Unreal Tournament.
Il était de sortie à chaque LAN que nous organisions entre potes (5/6 joueurs) chaque mois, dans la cave sur des tréteaux. Toutes les parties avaietn des team équilibrées, en one shot kill, et pas mal de custom des perso, et c'était partie pour la nuit avec chacun ses propres soda et confiserie. Personnellement, la technique du lapin est la seule que je maitrisais car n'étant pas super fan des FPS, mais le moment partagé entres amis, ça n'a pas de prix.
- PC

Annotation :

Le choix de la version est délicat. Bien sur j'ai commencé et largement maîtrisé tous les épisodes depuis celui sur SNES (sauf double dash sur Gcube) mais j'ai choisi celui sur Wii pour l'ajout d'une feature importante : le mode online. Le fun c'est ce qui caractérise la série, Nintendo ne s'est pas trompé dessus et surement la seule valeure sûre de la Wii. Pour y jouer avec ton frère ou tes cousins, même si l'écart de niveau est important, M.K ça défoule et met tout le monde sur le même pied d'égalité ; d'où sa notoriété. Et ce mode Online, c'est tout simplement du fun non stop une fois tes proches partis ! Quand tu le désires, tu prends 10min et hop tu détruit plusieurs japonais et americains un peu trop sûr d'eux, et te voilà requiquer pour la semaine. Magique !
- Wii

Annotation :

C'est encore une fois toute une série que je tiens à saluer ici. Le II sur SNES nous avait bien bousillé les mains, le I joué sur arcade (!), le 3rd Strike zappé au profit du Alpha 3 (zéro 3 en version japonaise que j'avais à l'époque) avec sa composante RPG pour customiser ton perso. Jusqu'au revival du IV que je trouve particulièrement bien réussi et visuellement au top. Le petit détail en plus qui m'a fait sélection le IV au détriment des autres versions : j'ai pu me procurer plusieurs sticks arcades (bas de gamme il faut l'avouer, je ne suis pas un gros joueurs) dont un stick à boule et boutons sanwa super agréable qui me permets de joueur (mal) mais avec le plaisir inimitables des bornes.
- PS3

Annotation :

Voilà un jeu qui sort de l'ordinaire : plus un film interactif qu'un véritable jeu. Il faut remonter à la 3DO pour en avoir un dans le même esprit. Et quand je dis film, Quantic Dream à mis le paquet avec la motion capture d'acteurs, pour atteindre ce résultat assez dément. Nous ne sommes pas entièrement passif, puisque l'on incarne plusieurs personnages, dans un polar assez sombre où il va falloir trouver le coupable parmi les personnages jouables ou non et si t'es vraiment bon, sauver l'enfant enlever.
Et il faut le dire, ça vaut le coup, la maniabilité, pas toujours au top est suffisamment simple pour attirer tout type de gens même non joueurs, et l'histoire est super bien tenue, avec de multiples fins. L'un des avantages principaux réside dans le fait que l'on peut rejouer l'aventure (ou certains points) pour modifier le cours des événements. Un must play !
- PS3

Annotation :

PazuDora, c'est le chaud et le froid en même temps ! D'un côté c'est un super match-3 sur mobile avec des personnages issues de diverses mythologies et des dragons à foison, qui évoluent et réclament bcp d’investissement en temps de jeu. Super prenant ! C'est beau, c'est cool, c'est japonais. Parfait. Et à un moment, il y a eu un tournant : trop de contenu payant et qui réclamait encore plus de temps... j'étais arrivé à un budget d'env~ 30€/mois ça devenait de la folie... mais parallèlement, en comparaison, vu le temps de jeu et l'intérêt que j'y portais, ce n'est extraordinaire. Un crash de ma tablette et une mise à jours bugguée a eu raison de mon plaisir. Au revoir P&D ! et bonjour à tous les autres petits jeux que j'avais délaissés et qui prendrons ta place, mais si possible pas dans mon porte monnaie (comme star Wars Galaxy's Heroes ou Fantasy War Tactics)
- Android

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Une perle française qui devrait être offerte à tous les collégiens qui étudient la Grande Guerre. Un jeu d'utilité publique, volontairement simple afin de le rendre très accessible. Encore une histoire interactive, plus orientée bande dessinée franco-belge, qui raconte les principales batailles françaises de 14/18 pour en célébrer (si on peut le dire ainsi) son centenaire, au travers plusieurs personnages dont une famille alsacienne. Artistiquement c'est très joli en tout point, la musique est magnifique. Et plutôt que de porter l'accent sur les combats, même si l'horreur de Verdun par exemple y est très bien retranscrit, le jeu s'attarde plus sur l'humanité des soldats, au travers des descriptions des petits objets cachés et des lettres du front. Ce genre de détails inédits, issue du travail de milliers de personnes passionnées est une mine d'or.
Avant Valiant Hearts, je n'avais aucun attrait pour cette période de l'histoire. Maintenant quelque chose à changé.
- PS4