Les meilleures bandes originales de 2016 selon Alex _

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LE score de 2016, l'héritier légitime de Hook et War Horse. On y redécouvre un John Williams merveilleux, sublime, en pleine forme, d'une finesse et d'un panache époustouflant ! L'une de ses plus grandes réussites !

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Mais d'où Wintory puise-t-il toutes ses inspirations ? Ce Abzû est une pépite ! Mention spéciale au phénoménal "Their Water Were Mingled Together".

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Danny Elfman paraît plus que jamais inspiré, c'est mignon, énergique, et pas lourdingue !

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Je ne partais pas spécialement confiant, car dans le jeu, les meilleurs titres sont peu mis en avant au profit d'autres, plus anecdotiques, qui sont utilisés lors du passage du joueur dans les quelques villes, stations services, hôtels que propose le jeu. Plus tard, en regardant de plus près la track list, je me suis rendu compte que la quasi-majorité de ces musiques de remplissages n'ont pas été composé par Yoko Shimomura, mais par d'autres compositeurs... Au final, sur les 96 titres disponibles, 77 sont de Shimomura, plus les 6 somptueux Arrangement Piano.

De son côté, la compositrice n'a également pas été inspiré par la composition des musiques d'ambiance. Des titres comme "Lurking Danger", "Cindy" ou encore "Relax and Reflect - Pensive" brillent par leur transparence. Mais là où la BO de ce Final Fantasy XV excelle, c'est dans l'accompagnement des moments clefs du jeu, c'est-à-dire les thèmes de combats, de boss, ou de personnages importants. Des titres comme "Veiled in Black", "Apocalypse Noctis", "Hellfire" étonnent de part leur virilité, et d'autres, à défaut d'émouvoir (il faut dire qu'avec un scénario pareil, difficile de marquer le joueur...), d'autres viennent titiller agréablement l'oreille de l'auditeur, comme "Luna", "Prayer de Luna", "Noctis", "Valse di fantastica", etc...

En bref, une BO de qualité, qui selon moi mérite sa place parmi les meilleures BO de l'année 2016, malgré son inconstance et son occasionnelle inconsistance dans ces titres de remplissages.

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Très charmant.

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Critique ici : https://www.senscritique.com/album/Fantastic_Beasts_and_Where_to_Find_Them_Bande_Originale/critique/109953900

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Une BO d'Ennio Morricone suffocante et anxiogène. Une pure tuerie ! En revanche, l'idée de mettre des dialogues du film dans le CD me laisse perplexe...

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On regrettera (éventuellement, si on est ronchon) le manque de nouveaux thèmes, néanmoins cela fait vraiment plaisir de voir Elfman en forme.

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Un ensemble, certes en manque de maturation, mais qui reste d'une grande tenue !

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L'année 2016 s'achève finalement très bien pour Desplat !

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La meilleure BO que Desplat ai composé depuis... 1 ans. Oui, déjà ! Every Thing Will Be Fine, ça date tout de même de septembre 2015 !

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Les mêmes qualités et les mêmes faiblesses que la BO du jeu original.

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Tom Tykwer fait son come-back, sans Reinhold Heil cependant, après un Cloud Atlas assez magnifique, et le résultat est atmosphérique et dépaysant. En ce qui concerne le style, pas de doute, on a vraiment affaire à Tom Tykwer, en effet la première piste "Mr. Clay", atmosphérique à souhait, rappelle fortement "Cloud Atlas Opening Title" en raison de la guitare (du moins je suppose qu'il s'agit d'une sorte de guitare), et le "Prelude : The Highest Point" de Perfum : Story of a Murderer avec ses choeurs féminins ensorcelants.

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C'est avec La Tortue Rouge que je découvre Laurent Perez Del Mar et je suis agréablement surpris ! Car il s'agit d'une joli poème musical, très expressif, dont le style me fait un peu penser à du Austin Wintory. A ranger dans la même catégorie que A Hologram for the King, la catégorie des scores atmosphériques.

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The Huntsman : Winter's War est un descendant un peu bâtard de Snow Falling on Cedars et Maleficent. L'ensemble s'avère assez rapidemment poussif, et l'absence de climax n'arrange rien. Du Newton Howard joli mais routinier.

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Brian Tyler s'améliore ! Cela n'impêche pas quelques pistes électro disgracieuses, mais quand même !

Entre un "Now You See Me 2 Fanfare" qui s'approche d'un style classique, la présence des bois au début de "300 Seconds" et un "The Big Finish" énergique et rock, je pense que l'on est en mesure d'affirmer qu'il s'agit de la meilleure BO de Brian Tyler, parmi ses plus récentes, voire sa meilleure-tout-court !

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Un bon travail de Zimmer, même si l'aura de John Powell manque un peu. Ce n'est ni fin ni original ni spécialement fouillé, mais ça fait le boulot.

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De jolies passages, mais le tout est bien trop sage, discret et académique.

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Un peu décevant. Le début est très bien, mais ça vire assez vite à l'anecdotique, et finalement les moments de bravoure sont peu nombreux.

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Du Elfman sympathique mais routinier. De plus, les albums surdécoupés ont tendances à m'insupporter.

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John Debney picore un peu partout, de Williams à Powell en passant par Newton Howard, mais sans atteindre le niveau de qualité que l'on peut attendre de tels compositeurs.

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Une BO qui oscille entre mélodies émouvantes comme James Newton Howard sait les composer et sound-design moche... Le plus frustrant survient quand les deux sont mélangés, "Published - Marry Me" en est un bon exemple.

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Une BO pour piano composé par un Lorne Balfe qui ne nous semble reconnaissable que lorsqu'il utilise ses immondes - mais heureusement rares - synthétiseurs.

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Il est maladroit, mais il essaie de faire mieux Djawadi ! Pourquoi maladroit ? Parce que son "Light of the Seven", en dépit de ses 10 minutes sans temps morts, souffre d'un gros problème d'orchestration dans sa deuxième partie. Mais ce n'est pas grave, sachons apprécier l'effort !

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Alan Silvestri, Jerry Goldsmith et David Arnold semblent avoir été les principales sources d'inspiration de Marco Beltrami. Et pourtant... pfff... qu'est-ce qu'on s'ennuit !

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Ramin Djawadi fait des efforts et cela s'entend ! Notamment dans ses thèmes, ses orchestrations. Peut-être devrait-il arrêter de travailler pour des blockbusters sans intérêts...

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Un ensemble aussi entrainant qu'impersonnel et répétitif.

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Voici un très bon point, même si All the Way est une partition que l'on pourrait qualifier "d'alimentaire", JNH a laissé de côté ces horribles pulsassions électroniques que l'on entend dans 75% des musiques de thrillers politiques d'aujourd'hui. Rien que pour ça, merci !

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Une déception ce Danish Girl. Le style de Desplat, élégant et enlevé, est une fois de plus présent, néanmoins les divers pistes ont du mal à réellement marquer l'auditeur malgré leur beauté, somme toute évidente.

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Un ensemble qui manque de cohérence et de consistance.