Les meilleures ouvertures de films selon Mad_Gump

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15 minutes (presque) sans dialogue, trois bandits qui attendent le train, le bruit de l'hélice qui tourne... Lent mais superbe, captivant. Puis Charles Bronson débarque et décide de faire parler la poudre.

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Générique, la musique, faible et aiguë accompagne le nom de l'équipe technique, puis petit texte, percussions, bruitage onirique et BIM plan de Los Angeles du futur, des tours qui crachent du feu, une voiture volante, un ciel sombre, des néons, plan d'un oeil empli de feu et travelling vers les pyramides et hop on se retrouve dans une pièce sombre au faible éclairage bleuté. Des frissons.

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Itinéraire d'une plume.

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Ça dure environ une dizaine de minutes nous résumant la vie de Karl et Ellie et ça réussit à vous arracher des larmes ! Grandiose.

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Le débarquement en Normandie. Immersif, violent, parfaitement reconstitué. Du génie on vous dit.

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Ryan Gosling sème les flics puis Nightcall de Kavinski. On est direct dans l'ambiance.

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Plan- séquence de folie : première édition.

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Vie et mort d'une balle.

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Plan-séquence de folie : deuxième édition.

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Ainsi parlait Zarathoustra + éclipse = orgasme visuel.

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Vous croyez au hasard vous ? Le narrateur lui n'y croit pas et vous raconte 3 histoires insolites pour appuyer ses dires. Intrigant, cynique et annonciateur du thème central du film.

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Deux types sont filmés sortant d'un motel. Jusque là tout est cool. Puis l'un d'eux décide de revenir dans le motel et le spectateur prend conscience de l'horreur. Une intro brutale et immersive exposant directement le thème central du film : le rapport de la société américaine à la violence.

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Y'a-t-il besoin encore de parler de cette ouverture magistrale nous présentant le cruel Hans Landa ?

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Une jolie fille se fait bouffer. Terrifiant.

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Une jolie fille se fait éviscérer. Virtuose.

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"Aussi longtemps que je m'en souvienne, j'ai toujours voulu être un gangster".

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Un manoir imposant, une salle immense, Kane meurt, "Rosebud". Et l'histoire du cinéma fût marquée à jamais par Welles.

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C'est pas l'intro la plus virtuose de tous les temps mais le texte défilant dans l'espace sur la musique de John Williams puis l'assaut du vaisseau de Leïa pour moi c'est mythique.

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Plan-séquence de folie : troisième édition (dommage que le reste du film ne soit pas de ce niveau).

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Plan-séquence de folie : dernière édition (encore dommage que le film ne tienne pas la longueur une fois cette intro passée).

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Petite relecture de l'histoire de l'Amérique sur fond de Bob Dylan.

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Une station de métro. Trop blanche. Trop propre. Trop vide. Deux hommes, un dialogue de plus en plus étrange qui vire à l'absurde total ; le ton du film est donné.

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Une dissertation sue Like a Virgin et sur s'il faut ou non donner un pourboire à la serveuse. Ça a l'ai con mais Tarantino les gars, ce type pourrait rendre une discussion sur une porte de prison intéressante.