Les meilleures séries de 2024 selon Romzor

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Fantastique histoire qui dépeint une Gotham contemporaine écrasée par la pauvreté, terreau fertile des criminels en tout genre. C’est dans cette précarité qu’évolue le magnifique Penguin, super vilain détestable mais tellement profond. Le mensonge est l’arme favorite du bonhomme qui va tout faire pour gravir les marches de la criminalité de Gotham, laissant derrière lui une trainée de cadavres jusqu’à cette fin où l’homme révèle toute l’étendue de son cynisme. Colin Farrell est incroyable de justesse et Cristin Milioti se révèle être une actrice bien plus imposante que je ne l’avais anticipé.

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Formidable série qui traite d'une multitude de sujet, du mal-être aux violences sexuelles en passant évidement par le harcèlement, cette fois-ci avec un protagoniste masculin. Notre héro est mal dans sa peau, un peu perdu, un peu gauche. Le trio principal est fantastique, incarné par d'excellents acteurs qui véhiculent de forte émotions et qui révèlent la profondeur de leurs personnages au fur et à mesure des épisodes. Une série tout en nuance où les personnages ne sont pas que de simples clichés facilitant l'écriture. Attention, l'engrenage ne s'enclenche véritablement qu'après le deuxième épisode.

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Une création vraiment unique tant pour les jeux d'acteurs criants de sincérité que pour les lignes de dialogues véritablement savoureuses et profondes. Une production qui met en avant une bande de pote trentenaire tout à fait crédible face à un évènement tragique. Les scènes font passer du rire aux larmes en quelques secondes, pour peu que nous soyons sensible au sujet du deuil, de la masculinité dite "virile" et plus globalement de l'amitié et de l'amour.

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Une série qui plonge dans l'univers de la bourgeoisie Anglaise tout en la reliant au trafic de narcotiques moderne. Très bien rythmée, souvent très drôle et impeccable visuellement, Théo James y incarne parfaitement cet homme d'affaire et d'action aux origines nobles. Qui plus est, bientôt 20 ans après la sortie de Skin, je suis heureux de retrouver une Kaya Scodelario (AKA Effie avant, Susie Glass ici) formidable.

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Une petite série qui se regarde sans déplaisir, principalement pour son héro Bjorn, incarné par un très bon Tom Schilling. Celui-ci vit une crise existentielle et aspire à suivre la discipline de la « pleine conscience » pour résoudre ses problèmes. Evidemment, cette révélation est entachée par un meurtre qui sera le fil rouge de toute l’intrigue. Une galerie de personnages de la pègre, souvent drôles et attachants, vient graviter autour de notre héro qui fera bien vite preuve de maitrise de sa nouvelle discipline pour prendre les rennes de son plan, voir peut-être plus.

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Les fans des épisodes repris par Bethesda en 2008 serons ravis de retrouver des références au jeu à travers des musiques, des objets, des thèmes évoqués. Tout es fidèle à l'ADN de la licence sauf à ses origines : A savoir la violence et l'immoralité. J'ai trouvé l'aventure divertissante et bien rythmée mais je n'ai plu m'empêcher de voir des décors factices bien trop propres et des antagonistes bien trop gentils. Et bordel, il y a trop de vitres non brisées. Ca ne va pas du tout !

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Réadapter la mythologie grecque à notre époque contemporaine est assez original. Tout comme le casting qui propose, outre ce glorieux Jeff Goldblum, des visages rafraichissants proposant des interprétations solides voir parfois émouvantes. Seulement quelque chose cloche. Est-ce sur une intrigue bien trop étirée en longueur ? Est-ce pour ces curieux choix artistiques définissant les différents mondes (Humains, Olympe, Enfer) ? Quoi qu'il en soit, même si je doute que cette série m'aura particulièrement marqué dans le temps, j'ai tout de même envie de suivre le développement de l'intrigue sur une deuxième saison.

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Cette deuxième saison à la série "phénomène" a le cul entre deux chaises. D'un côté nous retrouvons une impitoyable série de jeux qui une nouvelle fois montre la cruauté et l'égoïsme qui nous est propre mais qui n'apporte aucune nouveauté tant les personnages sont tantôt inintéressants, tantôt désespérément clichés. Les "épreuves" sont tout de même un peu plus intéressantes. De l'autre côté nous avons le prémisse d'une rébellion contre les organisateurs de ce jeu mais qui semble trop souvent survolées malgré une fin, certes frustrante, mais qui augure une suite différente et donc intéressante.