Les meilleures séries des années 1990 selon fan_2_mart1

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Une des séries que j'ai le plus vues... Je rentrais de chez mon pote Louis en courant pour la mater au collège, puis j'avais racheté les dvd et on se bidonnait, avec le paternel, quand j'étais au lycée et, même, un peu à la fac. Je la re-regardais aussi certains week-ends avec mon pote Michael. Bref. Et ce qui est génial dans tout ça, c'est que H est à la fois une des séries les plus nazes (le filmage sitcom laid, l'écriture boulevardière d'une lourdeur éléphantesque) mais aussi les plus brillantes, comme un hold-up permanent (les acteurs, notamment Jamel et Eric & Ramzy qui cabotinent et détournent tout en permanence); avec une collusion des registres savoureuses (le jeu scolaire digne d'AB production des filles, Béa et Clara, mais aussi le grandiose Jean-Luc Bideau, verbeux et plutôt venu du cinéma d'auteur, dans un registre d'humour noir pas si loin de Blier/Chabrol/Tavernier). En roue libre total, un accident des plus heureux; honteusement addictif.

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J'ai toujours aimé Daria, quand je tombais dessus par hasard en zappant sur MTV France. Puis, à la fac, je me suis enfilé les saisons (mais pas l'intégrale, je crois). Et force est de constater que le tout était pile-poil taillé pour mes goûts : cynisme pince-sans rire, foutage de gueule de la norme lycéenne creuse (les figures archétypales de la cheerleader et du quarterback). Et surtout, cet hommage amusé aux années grunge, entre tendresse et dérision bienvenue. Dans ma tête, même le générique est culte au point donner nom à un style musical à part (cet indie rock girly 90s aux mélodies gouailleuse, entre riot grrrl et grunge) !

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A vrai dire, une série dont j'ai du voir au plus quelques épisodes par-ci par là, sur Canal +. Mais à chaque fois, ça m'a plu, et j'avoue que je pourrais être curieux de me remater ça à l'occaze, plus exhaustivement.

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Il va falloir continuer, un jour, à mater Seinfeld, série dont j'ai chopé le coffret et maté jusque mi-chemin. Déjà parce que, même en ayant un peu vieilli et malgré la limite du sympathique format sitcom, ça demeure drôle. Et surtout, parce que la promesse de voir le tout dériver vers du méta et du vide conceptuel post-moderne bien avant la mode me fait foutrement envie.

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BOB ! L'éponge carrée (la série magique qui m'embarque, un peu comme les Simpson, quand je regarde un épisode du début, moins quand je prends la chose au milieu). J'ai quand même le souvenir d'une peluche géante et envahissante, quand même fort moelleuse.

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Saison 1 (7) & Saison 2 (6)

J'aime bien Twin Peaks, mais je ne suis pas aussi béat que beaucoup. La musique, même en ayant influencé FF7, m'a toujours semblé ringarde et ankylosé, et le tout se complaire dans une sorte d'un premier degré et demi un peu bancal (satirisant les soap tout en y adhérant, notamment dans une saison 2 à rallonge, interminables). Malgré tout, le propos demeure intéressant (l'envers psychotrope de l'Amérique), nombreuses scènes ou personnages sont véritablement marquant, la série de Lynch et Frost est peut-être la première vraie tentative de faire un film-fleuve, et pas seulement un feuilletton ou sitcom sans ambition formelle. Et les épisodes réalisés par Lynch, aussi lents, agaçants et perchés soient-ils, demeurent sidérants 30 ans après.

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Désolé Xavier, je ne t'ai jamais rendu une des saisons de cette saga, qui traîne toujours chez mon père. Sans jamais avoir adhéré/adoré Star Trek (que je connais peu), mais ayant plus qu'aimé le principe de la Citadelle de Mass Effect, je fus heureux d'en découvrir le préquel. Je ne suis pas allé jusqu'au bout, mais j'ai su apprécier la complexité philosophique et parfois anthropologique (la grandiose épisode du couple sacrificiel) d'une saga assez au dessus de la mêlée.

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Ayant vu le film jeune, et l'ayant trouvé assez ridicule, j'avais snobé la série en début de collège, malgré le bien que m'en disait mon pote Jacques Antoine. Dont acte : ayant déménagé à Paris, je tentais le coup et adhérais alors surprenamment au propos. Avec la malice d'O'Neill, l'univers aux références mythologiques sympa, et quelques épisodes délires qui sont de la bonne SF (la fameuse boucle temporelle à la Groundhog Day, les glaçantes araignées Replicant qui se démultiplient à l'infini), le tout me faisait parfois me dépêcher de rentrer du collège pour ne pas rater la chose en prenant mon goûter. Une des rares séries M6 m'ayant plu, à vrai dire.

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J'ai même pas du voir la première saison en entier, vers 20 piges, mais j'ai trouvé ça sympa. Le Parrain chez les psy.

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ça j'ai pas mal grandi avec, surtout à partir de mes années lycée, même si j'avais regardé avant. Mon frère et ma sœur aimaient beaucoup. Mais bizarrement, malgré le commentaire d'un frère que j'écoutais alors religieusement, je n'ai jamais réussi à regarder en VO, préférant la VF à laquelle je suis habitué depuis tout petit. Bon, malgré des dialogues plutôt cools et un sens du gag sympatoche, il faut avouer que les dernières saisons traînent en longueur et péripéties romantiques sans grand intérêt. Une série qui a posé les jalons du sitcom (en pompant Seinfeld, ok) pour la décennie à venir.

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A l'instar de C'est arrivé près de chez Vous, ce type d'humour noir un peu bête et méchant a, à la fois mal vieilli et est devenu un réservoir culte à punchlines.

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Bien sûr c'est drôle, et la satire est souvent bien sentie. Les épisodes sont individuellement remarquablement scénarisés (oserais-je écrire qu'Arrested Development n'a rien inventé ? apparemment oui). Mais bon, forcément sur la longueur...

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Manga quand même un peu surcôté mais j'avoue que la césure surprenante entre western gagesque et SF d'un coup bien plus dramatique est quand même assez chouette.

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Un des premiers animés diffusés sur Canal + quand j'étais au lycée. C'état sympa sans être transcendant, cette histoire de prof un peu voyou qui essaie de faire bien, maladroitement. Pour le coup, sans doute mieux que le manga papier encore, au style graphique quand même pas dingue.

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Animé maté pendant mes années facs et... je comprends pas ce qu'on lui trouve de si génial. Le tout est sympathique, mais souvent assez cliché, avec un espèce de coolitude vaine, des emprunts au cinéma de genre pas bien malins. Et l'OST jazz tant vantée est très moyenne là aussi. Aucune haine mais faudrait que je pige, un jour.

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Pour le meilleur et pour le pire (surtout) la création d'un format court, tassé, avec des épisodes de quelques minutes, entrecoupées de génériques et de jingle. Des observations sur la vie de couple, comme du stand-up lambda. Déjà, la présence sympathique de Dujardin (et Lamy, pas en reste).

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Ma mère matait ça (en même temps, en tant que cadre parisienne branchée et relativement célib', ça semblait taillé pour elle). Et j'ai connu plus déplaisant, même si j'étais bien sûr, à 14 ans, pas non plus captif au plus haut point.

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Ouais, je sais pas, c'est burlesque et un peu idiot, mais ça se laisse entrevoir en fond visuel sur Gulli (big up à Raf)

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Je sais pas si j'ai retenu grand chose de cette vulgate scientifique, moi qui en très peu l'âme, mais pour quelques souvenir d'enfance avec mon cousin.

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Petit hommage à l'ami Adricool, je sais pas trop ce que tu deviens, peut-être es-tu devenu le maître de (l'under)world

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Mouais, quand même pas bien terrible. Assez plat et répétitif, et la prétendue sur-intelligence du Caméléon reste à prouver.

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Ma nounou me faisait des plateaux repas devant cette série, quand j'étais en primaire. C'était quand même pas dingue. Et quel bourgeois j'étais, bordel !

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Je suis vraiment de la génération pokémon, et j'ai poncé Bleu. Mais même là, ce dessin animé me semblait quand même assez médiocre et enfantin...

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Comment commencer en mode coolos-ringardos recalé de chez Spike Lee et finir en donnant une claque aux Oscars en mode badass

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Là encore, je devais subir de temps en temps cette niaiserie du fait de ma "demi-soeur", quand elle monopolisait la télécommande. A dix-douze ans, je trouvais déjà ça puéril et ridicule, moi qui, attention, jouais déjà à Final Fantasy ou Heroes of Might and Magic depuis des années. Bref, cette série est devenue culte depuis, mais mon souvenir peine à comprendre pourquoi.

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Encore plus nul que Buffy (dans mon esprit, c'est qualitativement comparable, déjà). Apparemment, cette fois y a des doutes pour personne.

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Mon grand frère était fan, comme beaucoup de nos âges. Il avait donc mis des posters dans notre chambre. Perso, j'ai toujours trouvé ça lourd et bêtement vulgaire.

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Ok, Franny est sympathique, mais c'est globalement assez naze (dans ce déluge, les remarques pince sans-rire du majordome sont presques drôles) et la love story déférente avec le bourgeois passe quand même mal...

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J'ai vraiment pas du regarder beaucoup. J'avais une prof d'anthropo à la fac qui se disait fan (OMG)

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Ma belle-mère regardait, mais perso, la caméra rotative permanente ne me donnait pas seulement le tournis, mais aussi envie de vomir.