Les meilleures séries originales Netflix selon H Bazé

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Zerocalcare est auteur de bande dessinée autobiographiques. Ses contributions au neuvième art sont déjà d’excellente facture (allez les lire !). Ici, il propose un contenu inédit dans lequel lui et ses amis de toujours, Sarah et Secco, affrontent la vie, ses joies et ses peines (la vie quoi !).

Déjà, rien qu’avec ce petit synopsis, vous devriez avoir envie de vous plonger dans ces six épisodes d’une vingtaine de minutes ; mais ce n’est pas tout. La série fonctionne exactement comme les bandes dessinées, Zero nous raconte sa vie et toutes ses introspections (qui sont aussi quotidiennes qu’absurdes – d’autant plus que sa conscience se matérialise sous la forme d’un tatou vaguement philosophe et qu’il se considère lui-même comme une victime du système et, surtout, un gros looser).

Je ne vais pas rentrer davantage dans l’histoire pour éviter de gâcher l’intérêt principal de cette série (à savoir, sa toute fin), mais je ne peux que la conseiller. Courte, efficace, drôle et réfléchie, c’est exactement ce dont on a besoin.

Dernier petit point, Zerocalcare double lui-même tous les personnages (sauf le tatou) pendant les cinq premiers épisodes. Si c’est déroutant au début, ça en devient vite très drôle (surtout avec les vieilles variations qui font des sons électros un peu dégueu).

Terminée : 1/1

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N’étant pas du tout gamer, je ne connaissais rien au monde de League of Legend. Je n’ai donc pas commencé « Arcane » pour retrouver un univers connu, mais bien parce que les critiques et d’autres conseils m’y incitaient.

Bien m’en a pris.

Le premier mot qui vient à l’esprit est sublime ! La maestria technique et esthétique de cette série est à couper le souffle. Tout est parfaitement maitrisé, chaque détail est léché, travaillé. On aurait pu croire que la bande annonce rassemblerait tous les meilleurs plans, mais non… ils le sont tous.

L’histoire et le scénario sont assez classiques et auraient sans doute mérité d’être un peu plus approfondis, mais c’est aussi très fonctionnel. On n’a pas le temps de s’ennuyer. Certains twists permettent également de s’échapper et de plonger dans ce monde dont on attend la saison 2 qui, on l’espère, confirmera l’excellent départ de cette série…

À jour : 1/1

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En cours (5/6)

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En cours (2/3)

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Je n'aime pas le cyclisme. Je ne comprends pas qu'on puisse regarder ce sport à la télévision. Je préfère les sports d'équipe.

Ca, c'est ce que je pensais encore il y a un an. Depuis, on m'a vivement conseillé la série et j'ai cédé. J'ai cédé parce que j'étais vraiment contraire au début. Force est de constater que Netflix m'a vraiment scotché sur le coup.

On a beau savoir les résultats (ou du moins le vainqueur final des deux éditions présentées), on est pris à 100% dans le suspens installé par la série. Le fait que plusieurs équipes aient accepté les caméras même dans leur intimité est passionnant et nous permet de comprendre comment fonctionne réellement ce sport et pourquoi c'est un sport d'équipe (si, si). D'ailleurs, certaines équipes qui avaient refusé changent d'avis pour la deuxième saison au vu du succès.
Ajoutons à cela la qualité des images (et la beauté des paysages), la violence de certaines chutes qui vous glacent le sang et la réelle émotion qui se dégage de nombreuses scènes... "Tour de France : Au cœur du peloton" est plus qu'une réussite et j'espère qu'ils la continueront longtemps (une saison 3 est prévue pour juin 2025, je la regarderai - et je suivrai davantage le Tour 2025 aussi).

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J'adore les BD de Zerocalcare et sa première série m'avait marqué. Quand j'ai su qu'il en sortait une autre, j'ai naturellement été très excité.

Et j'ai été comblé.

L'humour et la construction des personnages sont toujours aussi truculents, pareil pour toutes les réflexions sociologiques et politiques proposées.
La seule différence entre la première série et celle-ci (et qui justifie les notes différentes) est que le sujet a moins parlé à mon histoire personnelle. Elle est très puissante et extrêmement intéressante, mais la première m'avait littéralement mis à terre.

J'attends tout de même la troisième avec plaisir...


Terminée : 1/1

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Je l'attendais depuis très longtemps (même si je n'ai jamais lu les comics) et je n'ai pas été déçu !

C'est joli, amusant, sombre et intelligent. Du grand Neil Gaiman !
Les acteurices sont toustes très intéressant·es et performant·es. Certains scènes et certains dialogues sont succulents. Cela faisait longtemps que je n'avais plus binge-watché une série comme ça... un régal...

La saison 2 n'est pas confirmée, mais je l'espère vraiment !

À jour (1/1)

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En cours : 5/6

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Magnifique série qui traite merveilleusement, sous couvert d'un graphisme difficile et d'un humour décalé, de nombreux problèmes de notre société.

Finie (6/6)

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Excellente série d'animation tout en cohérence et qualité (autant esthétique que narrative). À la fois drôle, tendre et équipe, on suit avec attention et intérêt les aventures du jeune Jimmy, devenu le premier humain à porter le titre de "Chasseur de Troll".

Certes, l'on pourrait déplorer les nombreux clichés de série d'animation, mais de nombreux sont également évités portant cette série aux rangs de chef-d’œuvre. Merci Maitre del Toro !

Finie : 3/3

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La révélation Netflix de 2020 est un bijou esthétique.

Les sept épisodes passés en compagnie de Beth / Anya Taylor-Joy (stratosphérique) sont un chouette moment à découvrir le monde impitoyable et patriarcal des échecs (honnêtement, quand on y connait rien - comme moi, qui l'aurait cru ?!).

La qualité principale de cette série est certainement sa photographie ; léchée et contemplative, la création de Scott Frank et Allan Scott nous emmène dans un dédale d'images poétiques et apaisantes...

Finie : 1/1

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En cours (2/3)

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Je n’ai pas lu le manga ni vu l’anime. Je n’avais donc qu’une vague idée de ce que racontait cette série (je ne vis pas dans une grotte quand même). Je n’étais pas sûr d’être réellement intéressé par cette histoire de pirates fantaisistes, mais j’y ai été. Et j’en suis bien content.
La série prend le temps de s’installer et c’est important. Je ne sais pas combien de tomes sont adaptés dans cette première saison, mais j’imagine qu’on est encore au tout début. Et tant mieux, au moins on ne va pas trop vite.
Les acteurs et les actrices se donnent à fond et le jeu proposé est loin d’être nanardesque. Ca se voit aussi dans les décors et les chorégraphies des combats. Quand on sait que c’est une des séries les plus chères jamais produites, on comprend mieux et on salue l’envie de Netflix d’avoir investi dedans.
En fait, on sent que Eiichiro Oda, le mangaka, est impliqué dans l’adaptation et qu’il veille à ce que ce soit cohérent avec son monde. Et ça fait plaisir.
Je regarderai sans doute la deuxième saison quand elle sortira tant j’ai pris du plaisir avec l’équipage de Luffy.

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J'avais beaucoup aimé la première saison de Dark et était donc tenté par cette série créée par les mêmes personnes.
Malheureusement, je savais en commençant qu'elle n'avait pas été reconduite.
Je m'y suis tout de même lancé.

Bien m'en a pris.

Certes la série n'est pas parfaite. Elle prend du temps à s'installer et part dans certains délires particuliers (sans parler de la fin) ; mais à partir d'un moment on se prend à avoir besoin de connaitre la suite et de comprendre les secrets et de ces personnages.

Sur la toute fin, la série prend une autre dimension... dommage, une saison 2 aurait été intéressante...

Palme particulière à l'ambiance pesante et angoissante du début avec ces paquebots perdus au milieu de l'Atlantique.

Annotation :

Une série documentaire pour les fans du club qui n'apporte rien si ce n'est de belles images.

Finie : 2/2

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À jour (2/2)

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Netflix s'attaque à une adaptation très libre des aventures du Gentleman cambrioleur et c'est très chouette. Omar Sy incarne un fan des aventures d'Arsène Lupin qui, pour découvrir la vérité sur un fait divers qui a secoué sa famille des années avant, s'inspire de son héros préféré pour s'en sortir de toutes les situations.

Les premiers épisodes sont réalisés par Louis Letterier et ça se voit. C'est fluide, joli et très efficace. Les deux derniers ne le sont pas. Et ça se sent aussi. La réalisation et la photographie sont correcte, mais nettement moins flamboyante qu'au début. Pareil pour le scénario où l'on sent l'envie de faire quelque chose de plus construit sur la fin (avec plus de "suspens" ?) et ce n'était peut-être pas si nécessaire...

Mais de toute façon, le capital sympathie d'Omar Sy (et son jeu d'acteur plus que convaincant) est tel que regarder la série reste un plaisir constant...

On attend la deuxième partie avec impatience...

En cours : 1/2

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J'ai lu (il y a trois ans) le premier tome du comics (sur trois). C'est avec ce postulat de base que je suis parti et que j'ai lu les premières critiques. Celles-ci n'étaient pas mauvaises, mais déploraient clairement le côté édulcoré de la série par rapport au matériau de base.

Du coup, j'ai hésité.

Finalement, j'ai essayé et les quatre premiers épisodes furent "difficiles" (peu de rythme, acteurs moyens, etc.). J'ai persévéré et bien m'en a pris. J'ai littéralement bingé les quatre derniers.
Les acteurs ne deviennent pas excellents en un coup, mais on rentre parfaitement dans l'histoire et on a envie d'en savoir plus...

Un bon choix de série pour passer agréablement le temps.

En cours : 1/2

Annotation :

Une série amusante et sympathique, bien qu'un brin répétitive.

Finie : 3/3

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À partir de la saison 3, la série est distribuée par Netflix.
Ce n'est donc pas une série originale Netflix, mais c'est seulement à ce moment-là que la série devient réellement cohérente et pas seulement un spin-off des films.

Finie : 8/8

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Premier spin-off de la série "Chasseur de Troll", cette série nous présente trois extraterrestres (deux héritiers royaux et leur garde du corps) débarqués sur Terre après un putsch sur leur planète natale.

Les personnages, complètement décalés, sont très réussis et mixent parfaitement le drôle et le touchant. Le scénario, bien qu'assez simpliste, fonctionne plutôt bien.

Mais surtout c'est l'animation qui sera vraiment réussie. On sent vraiment la patte del Toro qui apporte une grande attention à l'esthétisme... très agréable.

Finie : 2/2

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Très rapidement propulsée au premier rang des séries les plus vues, Squid Game s'est vite imposée comme LA série de 2021 !
Si au début elle ne m'intéressait pas (je dois reconnaitre être assez hermétique au cinéma - et par extension aux séries - asiatiques ; je ne sais pas pourquoi, c'est tout...), j'ai finalement décidé de la regarder... essentiellement pour me mettre à la page (je suis professeur et mes élèves en parlaient beaucoup).

Au terme des neuf épisodes, je suis assez mitigé. La série a énormément de qualités (un très beau jeu de couleur, des acteurices convaincant·es, des scènes sèches et brutales quelques surprises scénaristiques), mais elle pêche également par un classicisme assez simpliste. En effet, malgré quelques surprises sur l'évolution et la fin de certains personnages, la majorité de l'intrigue est comprise dès le début et beaucoup de twist sont éventés dès leur évocation (pareil pour le choix de Seong Gi-hun dans le dernier épisode, c'est terriblement évident).

La grande question que pose cette série, c'est son succès.
Je n'ai pas été une seule fois mal-à-l'aise en regardant la série. Les exécutions sèches et brutales ne me font pas grand chose - je sais que je regarde une fiction.
Mais se dire qu'une série basée sur la violence gratuite et "méritée" (ils sont endettés et sont considérés comme des moins que rien), sur les choix moraux discutables ait eu autant de succès (et un succès aussi viral) pose réellement question sur notre société...

En bref, Squid Game est une série correcte, ni mauvaise ni excellente, mais qui sera surement étudiée en tant que phénomène de société et de miroir de notre fonctionnement humain.

À jour : 1/1

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Le voyage dans le temps est un sujet complexe.
Si "Bodies" (adaptation d'un comics non-lu) commence parfaitement avec du suspens, des cliff-hangers palpitant et un très bon mystère, reconnaissons que la série s'enlise vite dans les poncifs de la thématique et de la difficulté de la traiter.
Il n'y a pas trop de contradictions, mais on sent la corde s'user à certains moments (surtout quand on arrive vers la fin). D'ailleurs, la résolution, si elle est "cohérente", est un peu trop simple.

Quant à l'ultime scène, on la regrette, car elle offre la production la possibilité d'une saison deux (qui, à mon sens, n'est absolument pas nécessaire). Mais bon... c'est le capitalisme...

Finie : 1/1

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"Avatar" est de loin une de mes séries préférées. J'adore les dessins, j'adore les personnages et j'adore l'histoire (certes, j'écrirais certains détails différemment, mais globalement je valide tout).
Je n'ai jamais vu le film de M. Night Shyamalan et je ne le verrai sans doute jamais. Quand cette série a été annoncée, j'ai d'abord eu peur. Je ne suis pas friand des adaptations en prises de vue réelles. Je trouve les résultats souvent très en deçà de l'original (voire carrément horrible). Cependant, les critiques établissaient quelques liens entre la production d'Avatar et celle de One Piece. Je me suis donc dit que Netflix investissait réellement dans cette série et j'ai essayé.

Bien m'en a pris.

Ce n'est pas la série du siècle, loin de là même ; mais elle fonctionne. Elle fonctionne d'autant plus quand on connait et qu'on est fan de la série. Certains choix d'adaptation sont intéressants et bienvenus et le rythme est bien présent tout au long des huit épisodes.

Je regarderai la suite avec plaisir, un plaisir nostalgique, mais un vrai plaisir tout de même.

Mais d'abord... je vais me refaire tous les dessins animés...

À jour : 1/1

Annotation :

Chouette dessin animé pour enfants qui nous emmènent sur Isla Nublar au moment de Jurassic World premier du nom.

Sans casser trois pattes à un canard, la série est plutôt sympathique. Arrivé à la moitié de la première saison, on se demande juste quand et où on se situe par rapport au film. Lorsqu'on comprend que les deux œuvres se passent en même temps, mais que les héros de la Colo sont juste de l'autre côté de l'ile, les suspicions s'envolent et on profite gentiment de la suite.

La troisième saison (je ne vois pas comment ils proposeraient beaucoup plus) sortira dans une dizaine de jour (mai 2021), on verra ce que ça donne...

EDIT S.3 : une saison cohérente avec les événements précédents... toujours aussi sympathique, toujours sans aucune prétention... on s'amuse bien, on stresse un peu (mais pas trop, parce qu'on sait que...)... bref, un bon moment.
Seul bémol, cette propension dans Jurassic World de créer des dinosaures hybrides toujours différents et toujours plus féroces... par contre, avec le Scorpius Rex (antagoniste principal de cette saison), on obtient un chouette clin d’œil au premier film... rien que pour ça, ça vaut le coup...

EDIT S.5 (fin) : La fin de cette série est égale à elle-même. Sympathique, mais sans prétention. On regrettera la couche de bonne moralité, mais on s’y attendait… il faudra juste tester l’épisode interactif, ça peut être amusant…

Annotation :

En cours (1/3)

Annotation :

En cours (1/2)

Annotation :

Après le cinéma, c'est au tour du monde des séries de s'emparer de l’œuvre de Jacques Lob et Benjamin Legrand.

Alors qu'elle avait tout pour plaire, en particulier une Jennifer Connelly exceptionnelle, la série se met vite à patiner et enchaine les longueurs et les intrigues grossières. Le personnage de Layton, bien qu'intriguant au début, se révèle assez vide insipide, tout comme une série de personnages secondaires.

Finalement, après un long passage à vide (de six épisodes sur dix quand même), la série reprend un second souffle et assure la tension nécessaire pour donner envie de la terminer. La toute fin de la saison agit comme un véritable cliffhanger et donne envie (malgré un énorme scepticisme) de connaitre la suite...


En cours : 1/3

Annotation :

Une mini-série terriblement décevante, surtout vu le potentiel de base.
Seul le jeu des couleurs vaut quelque chose.

Finie : 1/1

Annotation :

En cours (1/2)