Les meilleurs albums d'Alice Cooper selon pixadoh

Annotation :

Un album varié, long en bouche, qui malgré cela forme un tout cohérent. Très sous-estimé sur SC. Des chansons évidentes mais plaisantes ("enough's enough", "no man's land", "I love america"); d'autres qui apportent à l'atmosphère pesante ("da da", former Lee Warmer"); et une fin d'album en forme d'apothéose ("Scarlet and Sheba"-trait d'union entre le Alice Cooper band et le Furnier d'après Dada-, "fresh blood"(SO Bowiesque).

Et "Pass the gun around".
Ce solo de guitare.
Ziggy revenu pour exécuter la suite de "Moonage daydream" mais personne ne l'a remarqué, même pas Alice en train de cuver.

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J'ai hésité à le mettre en 2. Mais en vrai, il est drôlement complet.

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Il y a du grand là-dessus ("eighteen", "black Juju"), "de l'immense ("second coming", "the ballad of Dwight Fry") qui m'a fait placer la bête un poil trop haut au début. Ca reste un grand cru Cooper.

Annotation :

A l'instar de "Dada", un album qui a pris du galon au fil des écoutes. Sous-estimé lui aussi.

Un tiercé gagnant d'entrée ; "It's hot tonight"- j'aurais aimé l'entendre reprise par Iggy celle-là -, la chanson éponyme, "road rats" (y a que moi qui entend les Black Keys et leur "lonely boy" ?), la grande "king of the silver screen", la pathétique "I never wrote those songs".

Et la funèbre "my god" : comme "dada" le meilleur pour la fin.

Pas plus haut au classement car il y a quelques moments plus faibles mais c'est l'Alice Cooper que j'aime, celui qui habille des chansons variées autour d'une atmosphère particulière - de celle qui te laisse un arrière-goût amer dans la bouche.

Annotation :

C'est le genre d'album que je cache à mes potes fan de "trash" et "hey stupid"...sinon ils vont le mettre dans le barbecue à notre prochaine grillade.

Par contre, je le mettrais bien entre les mains de celui qui kiffe cette période punk/post -punk (oui, j'en ai pas 36).

C'est court, sans matière grasse ajoutée ni véritable point faible (bien qu'on peut se demander ce que "leather boots" fout là) et en symbiose avec l'esprit ambiant.

Et puis il y a Clones (mais qui au final fait un peu d'ombre au reste)

Donnez-lui une chance. Commencez par oublier le nom de son fabricant, ça peut aider. Ou alors commencez par cet album d'Alice, tiens. Bon, le problème, c'est qu'on y arrive plutôt en dernier. Perdu d'avance ?

Annotation :

Un album pop-punk survitaminé du Coop'. Une production top, notamment les guitares et batterie pas trop gonflées aux hormones (Qui a susurré "trash" dans le fond ? Hey you stupid !)

On perd en originalité ce que l'on gagne en énergie. Par contre, faut me virer "Novocaine", faut pas exagérer.

Big up to "Detroit City"(le genre de chanson que tu brailles dans ta caisse en faisant du air cuivre même si t'es ni de Detroit, ni Ziggy, ni les autres zigues), "bye bye baby", "spirit rebellious", "this house is haunted" (5 comme celle-là et "welcome to my nightmare" finit au top de ma liste).

Le reste est de très bonne facture et, à ma grande surprise, ne perd pas de son charme malgré les écoutes répétées.

Annotation :

Album très varié du Coop' dont la chanson-titre trompe sur le contenu de l'album, teinté de touches psyché-jazz-pop.

On ne dira jamais assez à quel point Vincent furnier est un grand chanteur, capable de passer de "school's out" à "blue turk" ou encore à la fabuleuse "alma mater"(un crossover improbable entre Paul Mc Cartney et Julian Casablanca voire Mike Patton).

Annotation :

Top des notes sur SC. Une production parfaite (trop ?). Un concept. Des intouchables ("welcome to my nightmare", "the black widow", "department of youth", "Steven")

Alors, pourquoi pas plus haut ? Dur à dire, disons qu'il me touche moins. Trop lisse, peut-être. Ou j'aime le Coop' quand il est imparfait, justement.