Les meilleurs albums de 2020 selon chtimixeur

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Le genre d'album que je peux me passer en boucle pendant des heures en musique de fond.

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Le résultat est à la hauteur des 17 ans d'attente.

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Mes morceaux favoris : Le soleil se lève aussi, Freezy F, Cashus King, Missisquoi, 5 Am, Saint-Lazarus

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Je ne vous cache pas que les premières écoutes furent extrêmement difficiles : ce que j'aime avant tout chez Sylosis, ce sont la technicité et les longs passages instrumentaux, et avec ses chansons oscillant pour la plupart entre 3mn30 et 4mn00, cet album m'a initialement semblé trop formaté. Je trouvais que les chansons étaient trop construites autour du chant, alors que c'étaient les riffs qui étaient autrefois à l'origine de tout. Mais j'ai insisté, et je ne le regrette pas : quand on écoute bien, le son de Sylosis est toujours bel et bien là, et l'album a moins de remplissage que ses prédécesseurs. Josh Middleton possède toujours le même sens du riff, et maintenant que je me suis habitué à ce Sylosis 2.0, je prends du plaisir à l'écoute de tous les titres sauf Abandon. Alors oui, quelques solos à rallonge ne m'auraient pas déplu, mais je ne me boude malgré tout pas mon plaisir. Sylosis est de retour, et quand on sait que le groupe est passé à deux doigts du split en mars 2016, c'est inespéré.
Mes morceaux favoris : I Sever, Calcified, Arms Like a Noose, Empty Prophets, Apex of Disdain, Cycle of Suffering, Idle Hands, Devils in Their Eyes, Disintegrate, Shield

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Je n'étais pas trop convaincu au début, à cause des blast beats et de passages flirtant un peu trop avec le métal extrême. Mais à un moment, déclic s'est produit, et bon sang, quelle claque ! Certains bouts de chansons sont dantesques et me font headbanguer comme un jeune chevelu de 20 ans ! Alors, tout n'est pas bon, et je n'adhère pas trop au côté trop soft de Bleed into Me et Scattering the Ashes, mais quand ça le fait, ça le fait GRAVE !
Mes morceaux favoris : What the Dead Men Say, Amongst the Shadows & the Stones, Sickness Unto You, Catastrophist, The Defiant

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Un album qui lorgne davantage du côté de Eat the Day que du premier album solo sorti en 2016. Sur 4 titres, Wes Borland propose une musique planante que j'adore, avec une grosse basse et ce son de guitare claire qui me plaît tant depuis que j'ai découvert Limp Bizkit.
Ça et là, on entend l'influence de Muse, période Origin of Symmetry (In the Arms of Our Dimensional Fortress) et Angelo Badalamenti (The Hand), et ce n'est que sur Gold or Gasoline qu'on retrouve l'ambiance 80's de Crystal Machete.
Si tout l'album avait été de cet acabit, je tenais sans aucun doute mon disque de l'année, mais malheureusement, l'autre moitié du disque est un léger cran en-dessous, et pas mal de morceaux sont gâchés par une voix électronique à la Krafwerk, alors que moi, je voulais de la musique 100% instrumentale, bon sang ! Vous auriez vu ma tête la première fois que j'ai entendu cette espèce de vocoder dégueulasse...
Néanmoins, je sais que certains titres vont tourner très très souvent dans ma playlist "Wes Borland moody".
Mes morceaux favoris : In the Arms of Our Dimensional Fortress, The House is Burning, The Whale Spear, The Hand

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Très bonne surprise. Ca n'est évidemment pas du niveau du premier album, mais on n'est pas très loin de la qualité des 3 suivants. Le truc qui m'a vraiment plu, c'est qu'on retrouve le fameux groove "Evil Disco" de Wisconsin Death Trip, et franchement, avec le peu de prises de voix dont ils disposaient, le résultat est assez bluffant pour un album posthume.
Mes morceaux favoris : My Destruction, Accelerate, Hollow, All These Years, Terminator Oscillator

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Le brutalcore et le métal trop extrême, ce n'est vraiment pas mon truc, et c'est avec une certaine appréhension que j'ai lancé la lecture de ce nouvel album de l'ex-chanteur de Sylosis et Heart of a Coward. A ma grande surprise, j'ai pris un pied fou à l'écoute de ces 9 titres, et cela est principalement dû aux refrains mélodiques durant lesquels Jamie Grahm excelle comme jamais. Ce chanteur hors normes a plusieurs facettes à son arc, et sa voix éraillée sur Delilah m'a pas mal fait penser à celle de Troy Sanders (Mastodon). J'ai été aussi très impressionné par la précision et la technicité des musiciens, et l'ensemble de l'album me fait penser à du Sylosis sous stéroïdes et à la sauce djent. Je ne suis toujours pas fan des passages en voix gutturale, mais le reste est tellement bon que j'arrive à passer outre.
Bref, je vous recommande chaudement ce disque bourrin de chez bourrin !
Mes morceaux favoris : Obsidian, Immersed in Ire, Affliction, Lamb to the Slaughter, Delilah

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Un bon EP de néo-métal, qui ravira les fans de Linkin Park période Reanimation et du morceau It's going down des X-ecutioners. Le chanteur a une voix assez proche du chanteur de Taproot, à la fois puissante et mélodique, et les refrains sont particulièrement efficaces. Un groupe à surveiller de près si vous aimez le néo-métal !

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Un album qui fait la synthèse de 25 ans de carrière. On entend des riffs qui auraient pu figurer sur Adrenaline, et d'autres qui n'auraient pas dénoté sur Koi No Yokan. Les morceaux s'enchaînent rapidement comme sur Around the Fur, et les cris de Chino rappellent les titres les plus virulents de l'album éponyme. Stephen et Frank sont les deux stars de ce disque, et sur The Link is Dead ou Error, Abe prouve qu'il a toujours un groove hors du commun. A ma surprise, Chino est le maillon faible du groupe : il y a désormais une fausseté dans sa voix, et ses mélodies sont dans l'ensemble moins mémorables qu'auparavant.
Si l'album est agréable à écouter, je trouve qu'il manque toutefois de morceaux vraiment mémorables.
Mes morceaux favoris : This Link is Dead, Urantia, Error, Ceremony, Ohms, Genesis

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Ce n'est clairement pas le AC/DC que je préfère : les morceaux sont courts, ils rappellent tous d'autres titres de la grande époque, et les solos d'Angus ne dépassent jamais les 15 secondes. Les chœurs sont trop mis en avant dans le mixage, et globalement, je préfère le AC/DC bluesy, sauvage et moins formaté d'avant 1979.
A côté de ça, il faut avouer que c'est rudement efficace. Brian Johnson a retrouvé une seconde jeunesse, Phil Rudd tape comme une brute, et Brendan o'Brien a enfin compris comme produire un album des Boys. Je ne sais pas ce qu'il en restera dans quelques années, mais plusieurs semaines après sa sortie, force est de constater que je l'écoute davantage que Rock or Bust et Black Ice.
Mes morceaux favoris : Shot in the Dark, Demon Fire, Realize, Code Red

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Ce groupe irlandais propose toujours un hard rock 70's qui fait penser aux Rolling Stones période Exile on Main Street et aux Guns N' Roses (c'est flagrant sur sur In Another Lifetime et la seconde moitié de Take it on the Chin). Le chanteur, avec son timbre à la Bon Scott, est assez impressionnant quand il monte dans les aigus, et le guitariste soliste joue avec un feeling qui ravira les fans de Slash. L'album m'a plus rapidement convaincu que son prédécesseur, et cela fait du bien d'entendre un groupe jouer du vrai rock à l'ancienne, avec du piano et de belles mélodies vocales.
Mes morceaux favoris : Soul Revolutionaries, In Another Lifetime, Goodbye to Yesterday, Take it on the Chin, Just Like a Silhouette

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Ce disque est plus varié que l'album sorti un mois plus tôt, mais il a les défauts de ses qualités : en effet, cela part un peu dans tous les sens, du clone de Hot Dog à d'autres choses beaucoup plus atmosphériques, et l'improvisation n°15 est assez pénible à écouter durant ses 3 premières minutes.
Malgré tout, cela reste inespéré de pouvoir découvrir toutes ces démos datant de 2002 ou 2003, et je sais que je vais écouter ces deux albums d'Eat the Day très régulièrement au cours des prochaines années.
Mes morceaux favoris : Electric Trick, Maximon Torpotron, Children of Vanity, Light as a Feather/Stiff as a Board, Your Little Life

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Il s'agit sans trop d'hésitation de leur meilleur album depuis Supremacy en 2006. Hatebreed joue vite et fort, les refrains restent en tête, et le morceau titre n'a pas grand chose à envier au cultissime I Will Be Heard.
Par contre, j'avoue ne pas être du tout fan des solos qu'on entend ça et là. Cela donne l'impression que le groupe chercher à faire du Metallica période Ride the Lightning, et je me demande ce qui a bien pu leur passer par la tête.
Malgré tout, c'est une bonne surprise après quelques albums qui n'auront pas franchement marqué les esprits...
Hatebreed is back!
Mes morceaux favoris : Weight of the False Self, Instinctive (Slaughterlust), Wings of the Vulture, The Herd Will Scatter

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Un album instrumental sur lequel l'ancien membre de Megadeth montre qu'il est toujours un merveilleux guitariste. Les fans de Joe Satriani et surtout Steve Vai seront aux anges, même si j'avoue ne pas être trop fan des passages de jazz fusion.
Mes morceaux favoris : Flame Runner, Moonchild, Django, The Kid, Maiden Voyage, I Have No Idea

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Un disque court mais rudement efficace ! Alors qu'il y avait pas mal de déchets sur les deux précédents albums, Body Count nous propose ici 8 nouvelles chansons que j'écoute toutes avec un réel plaisir, deux reprises métal de classiques d'Ice-T, et une autre de Motorhead.
L'influence de Slayer et d'Hatebreed se fait pas mal ressentir tout du long, et il y a même une petite touche de djent sur le morceau-titre. Quant à la chanson avec Amy Lee, je m'attendais à la détester, et si elle est en-dessous du reste, elle reste relativement plaisante.
Bref, c'est du bon, et le retour en forme de Body Count se confirme album après album.
Mes morceaux favoris : Bum-Rush, The Hate is Real, Thee Critical Beatdown, Point the Finger, Carnivore, No Remorse, Another Level

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J'aime beaucoup Kairos, mais Quadra est probablement le meilleur album de Sepultura depuis Roots. Le groupe brésilien joue avec une intensité étonnante pour des types de cet âge, et Means to an End n'a pas grand chose à envier aux meilleurs titres de Chaos AD. Je regrette juste que l'album s'achève par un titre bien fade avec une chanteuse dont je n'avais jamais entendu parler.
Mes morceaux favoris : Means to an End, Last Time, Capital Enslavement, Isolation, Agony of Defeat, Guardians of Earth

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Un peu répétitif, mais agréable tout de même en musique de fond.

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Lost Society tourne la page du crossover thrash et propose désormais un métal plus moderne qui lorgne pas mal du côté de Trivium, mais pas que. J'entends ainsi l'influence de God Forbid période Constitution of Treason (Deliver Me), Pantera (Mark upon your Skin) et Slipknot (Blood on your Hands).
Je pensais vraiment que ce revirement stylistique allait me déplaire, mais à ma grande surprise, j'adhère complètement, et seule la collaboration avec Apocalyptica me pose problème.
Bref, c'est une agréable surprise, et j'espère que cette prise de risque permettra au groupe finlandais de toucher un plus large public.
Mes morceaux favoris : Deliver Me, Artificial, Mark Upon Your Skin, Worthless, Nonbeliever, Outbreak, Pray For Death, No Absolution

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Moins de titres marquants que d'habitude. Il y a même 2 ou 3 trucs vraiment médiocres, ce qui est assez rare chez Satch. Donc, au final, même si ça s'écoute, je dirais que c'est son album le moins réussi depuis 2006.
Mes morceaux favoris : Nineteen Eighty, Spirits Ghosts and Outlaws, Shapeshifting, All for Love, All My Friends are Here

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Environ la moitié des morceaux sont très bons. Les autres sont un cran en-dessous, et je n'aime pas du les deux titres qui flirtent avec le death metal.
Mes morceaux favoris : Night of the Witch, False Prophet, Children of the Next Level, Symptoms, Dream Deceiver, WWIII

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Instrumentalement, j'aime beaucoup le côté 80's totalement assumé. Niveau paroles, ça n'est toujours pas ça, et certaines phrases sont inadaptées à la musique. Si les paroles ne sont pas aussi atterrantes que sur le précédent disque, Calogero semble toujours s'adresser de manière nunuche aux ménagères de 30-40 ans, et il enchaîne les banalités.
Dans l'ensemble, cet album est malgré tout une bonne surprise, et je regrette juste qu'il y ait un gros tiers de chansons dispensables.
Mes morceaux favoris : La rumeur, Celui d'en bas, Mauvais perdant, Centre ville, Vidéo

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Un album instrumental à la Satriani, sorti par le guitariste de tournée de Scott Stapp. Bien qu'agréable à écouter, il s'avère assez répétitif au niveau des mélodies et des licks utilisés.
Mes morceaux favoris : Shadows, Groove City, Pepper, Ambience

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Un album qui fait un peu la synthèse de sa carrière, avec quelques arrangements par-ci par-là qui rappellent sa période "rock indé". Le souci, c'est que les chansons ne sont pas très inspirées, en tout cas, bien moins que sur le disque de 2016.
Bref, c'est correct mais sans plus.
Mes morceaux favoris : To Live, Stumble on my Way, Heartbroken, Day After, Hurts to Be Alone

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Un disque homogène pas désagréable, mais qui démontre que la jeune quadréagénaire est désormais incapable d'écrire un tube. Il y a plus de hooks et moins de mélodies qu’auparavant, et l'influence hip-hop de son mari se fait ça et là ressentir. Je trouve aussi qu'il y a un peu trop d'invités, mais par contre, je salue Alicia Keys pour avoir réussi à me faire aimer un morceau de reggae !

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J'aime bien quand les mecs font du Deftones, mais alors dès que le chanteur se met à gueuler, c'est épouvantable. On a l'impression d’écouter deux groupes totalement différents, et je ne comprends pas pourquoi ils n'ont pas opté pour un style bien clair.

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Plus j'écoute cet artiste, moins je trouve que sa voix ressemble à celle de Johnny Hallyday. OK, ils ont le même vibrato, mais en terme de timbre, c'est tout de même assez différent. Ce deuxième album nous montre que Michel Mallory a toujours une incroyable faculté pour écrire des textes simples mais profonds. Musicalement, il y a quelques morceaux rock, moins de country, et malheureusement, un peu trop de balades et de violons dans les arrangements. Ça manque aussi d'un gros tube évident. Mais bon, ça reste solide et bien plus appréciable que tout ce que Johnny a pu sortir à la fin de sa carrière.
Mes morceaux favoris : Rester le même, Spécialiste, Mal barré, La dame aux yeux verts, Je joue

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L'album m'ennuie moins que le précédent, mais je n'ai toujours pas l'impression d'avoir affaire à un vrai groupe. La plupart des chansons s'assimilent à des parties qui se succèdent les unes aux autres de manière aléatoire, et il y a toujours un moment où le rythme s'emballe furieusement. On identifie ainis très aisément les riffs amenés par Max Cavalera, et il faut bien avouer qu'aussi sympathiques soient-ils, ils ne s'intègrent pas du tout aux morceaux.
Il y a malgré tout un titre d'une lourdeur extrême que je vais sûrement écouter pendant des années, et 3 autres morceaux que j'aime beaucoup.
Mes morceaux favoris : From a Crowded Wound, Inner Calm from Outer Storms, Deconstructing Self-Destruction, Dream Gone Bad

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Les beats de No I.D. sont bons, mais l'album se révèle assez répétitif à la longue, à cause du manque de refrains et du flow monotone de Logic. Ce dernier n'a pas grand chose à dire, et enchaîne les banalités. Il y a même des titres où on a l'impression d'entendre une parodie du Kanye West des années 2000...
Mes morceaux favoris : No Pressure, DadBo, GP4, Open Mic\\Aquarius III, Celebration, Soul Food II

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Un album avec du très bon, de l'insignifiant, et beaucoup de morceaux qu'on n'écoutera quasiment jamais après le mois de décembre 2020. Macca s'amuse, expérimente, et si j'adore les deux titres acoustiques, je ne suis gère convaincu par ses morceaux pop/rock.
Je ne suis pas non plus trop fan de l'interminable morceau instrumental qui ouvre l'album, et encore moins de celui où il chante avec une affreuse voix grave (Women and Wives). Je continue à penser qu'il lui faut un producteur exigeant et intransigeant pour qu'il donne le meilleur de lui-même, mais cela n'arrivera plus, donc je me contente de ces quelques titres bonus à ajouter à ma longue playlist McCartney...
Mes morceaux favoris : When Winter Comes, The Kiss of Venus, Find my Way