Les meilleurs albums de 2023 selon Tchitchoball

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Pfiou compliqué à noter celui-là tant les californiens varient les influences. Du metalcore à Chopin en passant par Daft Punk. Je n'ai pas tout apprécié mais le voyage a le mérite d'être assez unique. Reste à voir comment ils parviennent à défendre un album concept de la sorte sur la scène.

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Et ben chapeau !
On retrouve davantage la recette Mass dans cet EP mais tous les curseurs sont poussés d'un cran par rapport au premier effort cette année. En plus les thématiques sont davantage variées. Pas grand à chose à jeter et toujours aussi efficace et bourrin.

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Content de réécouter du QOTSA depuis le temps. Je me rends compte que je suis passé à côté du précédent album d'ailleurs. Et bien que je préfère les débuts plus hard rock avec l'influence de Oliveiri, le groupe parvient toujours à livrer des compos solides et variées. Certains titres sont un peu mou et redondants à mon goût mais globalement l'album s'écoute très bien. J'aimerais bien les voir enfin sur scène.

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Et ben sacré album ! Je ne mets pas plus car la sauce punk ne prend pas vraiment sur moi, mais je dois bien reconnaître avoir été impressionné par l'énergie et l'efficacité globale de l'album. Joli retour du groupe (que je connais très peu et m'intrigue désormais).

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Post Malone poursuit sa jeune et pourtant prolifique carrière. Et curieusement j'accroche toujours bien à son timbre, sa mélancolie, son personnage. C'est assez éloigné de ce que j'ai l'habitude d'écouter (en mode guitare acoustique au coin du feu). Mais il y a toujours un petit plus, et notamment dans cet album deux efforts remarquables avec Something Real et surtout Laught it Off.

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Et ben c'est très sympa ce rock psyché sauce turque !
J'en redemande, c'est addictif.

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Plutôt séduit par ce dernier album de Shaka Ponk. Le dernier de leur carrière à priori. Le groupe fait le choix de s'éloigner des influences électro pour proposer quelques morceaux rock davantage engagés et en français pour la plupart, façon Noir Desir. Bien que la subtilité ne soit pas toujours au rendez-vous, j'aime bien ce virage qui offre quelques titres taillés pour la scène pour je l'espère un dernier concert de folie avec eux.

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Un album mineur sur le papier me concernant. Dans la lignée des précédents albums en fait puisque je n'ai pas été transcendé par le groupe depuis Wasting Light. Mais c'est bien par les paroles, les thématiques abordées et les conditions particulières (la perte de 2 êtres chères) dans lesquelles Dave Grohl a enregistré qui m'a attrapé. L'émotion est palpable. Il en résulte tout de même un bel album.

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On sent que le groupe se cherche et peine à se renouveler et sortir de sa zone de confort avec le son de basse de Mike Kerr si particulier qui nous a bien secoué il y a près de 10 ans déjà. L'album n'est ultra marquant et sa petite trentaine de minutes demeure une proposition assez limitée avec peu de prises de risques à mon sens. Mais juste pour Mountains of Midnight ou Tell me When it's too late, le groupe a toujours toute mon attention.

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Du pur Mass dans le son massif, brute de décoffrage et simpliste (mais efficace). Mouss qui rabâche mais qui garde un sens de la tournure toujours appréciable. Dommage que ce soit si court. Et puis je souscris aux tentatives innovantes mais c'est un semi échec sur le rap harcore de Mass Veritas et sur le feat Musette du closing pour moi. Mais je sais que le concert sera bien quand même !

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Force est de constater que depuis qu'il ne tourne plus avec Ryan Lewis, on a perdu un flow et une patte artistique unique qui a fait le succès de leur collaboration. Cela n'empêche cependant pas à Macklemore de poursuivre sa route de son côté et dans la lignée de son Gemini on alterne entre hip hop et pop dance mainstream. Mention spéciale à son tubesque 1984. Rien de transcendant ou de mémorable mais un album qui s'écoute plutôt bien.

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Un album mineur pour un groupe de cette importance, c'est indéniable. Cependant, on a enfin une prod digne de ce nom (comme pour Hardwire en fait) et les amateurs de midtempo (coucou Load et Reload), seront aux anges. Hélas la claque Lux Aeterna se révèle être une exception et les titres un tantinet longuet vont s'enchaîner pendant 1h15. Rien de bien honteux. Mais étant fan des premiers albums, on ne pourra qu'être mitigé devant le résultat, à l'image de l'ending de 11 minutes Inamorata qui peine à captiver tout du long malgré l'ambition du titre.