Les meilleurs albums de 2024 selon chtimixeur

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Un album au-dessus du précédent, sans toutefois atteindre les sommets d'On An Island. On retrouve ici le grand David Gilmour, notamment sur les solos de de Scattered et A Single Spark. Sa guitare m'émeut et me transporte toujours autant. Et la voix de sa fille s'allie à merveille à la musique de son père sur les deux morceaux où ils collaborent ensemble. S'il s'agit du dernier disque de sa carrière, c'est une magnifique sortie.
Mes morceaux favoris : Between Two Points, The Piper's Call, les solos d'A Single Spark et Scattered, Luck and Strange, Dark and Velvet Nights

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Un album de folk solide, comme toujours avec Fionn Regan. Je me suis surpris à l'écouter encore et encore...
Mes morceaux favoris : Headphones, Farewell, Teix Mountains, Blood is Thicker Than Wine, O Avalanche, Anjai

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Encore un bel album merveilleusement produit. Foreign Spies me fait penser à du Jean-Michel Jarre et elle est devenue instantanément ma chanson favorite du groupe.
Finalement, Radiohead ne me manque pas plus que ça, et j'espère que The Smile continuera à nous proposer des albums au même rythme lors des prochaines années.
Mes morceaux favoris : Foreign Spies, Instant Psalm, Colours Fly, Zero Sum, Bodies Laughing, Tiptoe

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Moins accessible que le premier. L'album manque de 2 ou 3 tubes évidents, mais vous serez néanmoins récompensé si vous insistez. Les passages orchestraux sonnent quant à eux divinement bien. Merci Abbey Road !
Mes morceaux favoris : Read the Room, Wall of Eyes, Under Our Pillows, I Quit, Friend of a Friend, Bending Hectic

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7.5/10
Un disque varié et plus rock que le précédent. A l'exception de Vilified, les morceaux sont moins heavy que ceux d'Alice in Chains, mais Jerry Cantrell n'a rien perdu de son talent d'écriture, et la production de Joe Barresi est comme toujours au top.
Bref, c'est un bon cru et probablement son meilleur album depuis Black Gives Way to Blue en 2009.
Mes morceaux favoris : Vilified, Echoes of Laughter, It Comes, Held Your Tongue, Off the Rails

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7.5/10
Sans conteste son album le plus réussi depuis The Cool. Lupe's back!
Mes morceaux favoris : Samurai, Til Eternity, No. 1 Headband, Cake, Palaces

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Un bon cru. Le disque est varié, ça groove à mort, les refrains sont accrocheurs, et j'ai tout particulièrement apprécié les hommages à Prince (Bundle of Joy) et Stevie Wonder (Spirit in my Heart).
Mes morceaux favoris : TK421, It's Just Another Fine Day (In This Universe of Love), Bundle of Joy, Spirit in my Heart, Human, Heaven, Stuck in the Middle, Honey

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Qui eût cru que Pearl jam avaient encore un album de cette qualité en eux, après 18 années globalement poussives ? Quelques mois après l'album des Rolling Stones, Andrew Watt a encore fait des miracles !
Mes morceaux favoris : Scared of Fear, Dark Matter, Waiting For Stevie, Wreckage, React Respond, Running

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Le projet de Slash le plus intéressant depuis 1991, rien que ça !
Le blues lui va comme un gant, la production est top, et il il parvient à respecter les chansons originales tout en leur apportant ce fameux son de guitare reconnaissable entre mille.
En tout cas, ça fait du bien de l'entendre sans ces Conspirators qui manquent cruellement de feeling et le tirent vers le bas depuis 2012.
Mes morceaux favoris : The Pusher, Hoochie Coochie Man, Crossroads, Oh Well, Living for the City, Killing Floor

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Je n'en attendais absolument rien, et au final, je prends un vrai plaisir à écouter cet album fun et dansant. Les deux 20/20 ont très mal vieilli, et son disque de 2018 est inécoutable. La surprise n'en est donc que meilleure ! Mon seul reproche concerne le nombre de titre bien trop élevé : 18 titres en 2024, c'est juste aberrant.
Mes morceaux favoris : Imagination, Play, My Favorite Drug, No Angels, Infinity Sex, Paradise, Alone, Fuckin' Up The Disco, What Lovers Do

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Du néo-métal fun et qui dépote comme en 2000. L'énergie du groupe est communicative, et les fans de Limp Bizkit et Reveille vont adorer !

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6.5/10
Un album correct et homogène, sans titre vraiment exceptionnel, mais avec moins de remplissage que d'habitude. La voix d'Eddy est incroyable pour un bonhomme de 82 ans. Boogie Bougon est drôle, et bien à l'image du bonhomme. Amoureux est d'une tendresse inouïe, et il fallait avoir l'idée d'écrire une chanson sur l'amour de vieux couples qui se sont connus dans leur jeunesse. De l'air déménage, et on retrouve l'éternel verbe sarcastique de Mister Eddy. Cette fois-ci, ce sont les huissiers qui en prennent pour leur grade ! Par contre, je suis légèrement déçu par L'aventure n'est jamais loin : la musique de WIlliam Sheller et le refrain sont top, mais le texte manque vraiment de simplicité. Mais dans l'ensemble, pour un premier album sans Pierre Papadiamandis, c'est largement supérieur à mes espérances.
Mes morceaux favoris : En décapotable Pontiac, Boogie Bougon, De l'air, Amoureux, Tu es son homme, Travailler

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6.5/10
Un disque dans la lignée du précédent, et qui me semble un poil meilleur. Quelques titres purement West Coast tabassent, et il y a un EP de 8 ou 9 titres formidable qui se cache dans cet album trop long. Le souci, c'est que ça part dans tous les sens : certains beats sont trop old school, et d'autres sont carrément médiocres.
Mes morceaux favoris : 5150, Facts, It's My Ego Break the Mirror (feat. Xzibit), I'mma Burn Rubber Let's Get Money Together (feat. B-Real), So Sensitive, She's Sanctified

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6.5/10
Sans surprise, Kerry King nous sort un disque sans aucune originalité dans la lignée de ce que proposait Slayer depuis 2001. Mark Oseguda nous fait une furieuse (mais un brin monotone) imitation de Tom Araya, et Phil Demmel, sans être éblouissant, fait globalement le job. Ça joue vite, parfois très vite (Everything I Hate About You), et ça et là, on entend des riffs qui nous rappellent à quel point Slayer fut un groupe marquant dans l'histoire du métal (ex : Schrapnel).
Bref, si vous aimez le Slayer de Kerry King, vous en aurez pour votre argent. Du métal comme ça, on n'en fait plus beaucoup de nos jours...
Mes morceaux favoris : Residue, Where I Reign, Shrapnel, Everything I Hate About You, Idle Hands, Toxic, Crucifixation

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6.5/10
Un disque furieux et moins mélodique que les précédents, donc forcément, ça me plait davantage ! En plus, Jamey Jasta a eu la bonne idée de ne nous proposer que 10 morceaux pour un total de 37 minutes, donc ça passe tout seul ou presque. Le début de The Phoenix Way ravira les fans de Slayer. Par contre, l'intro de They See Us As Prey fait vraiment Metallica du pauvre...
Dans l'ensemble, les morceaux ont toutefois tendance à se ressembler, et le frontman de Hatebreed aurait peut-être dû varier davantage les tempos sur 2-3 morceaux.
Néanmoins, il s'agit de loin de son meilleur album solo, aucun doute là-dessus, et le chanteur possède toujours cette faculté à écrire des refrains qui restent dans la tête.
Mes morceaux favoris : Armor Your Mind, Create the Now, They See Us as Prey, The Phoenix Way, Suicidality, R.M.P.C, Ring of Truth, No Dream is Free

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6.5/10
Un album qui va ravir les fans d'Alice in Chains, du moins sur une bonne moitié de ses morceaux. Le reste fait plutôt penser à Wolfmother, un peu comme si le groupe ne savait pas encore dans quelle direction aller. Le mélange est assez curieux, mais il va néanmoins falloir surveiller cette formation de près lors des années à venir...
Mes morceaux favoris : Black Road, Belly Up, When You Look at Me, About the World, Anyway I Die

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Un album qui ne surprendra pas grand monde. Ça fait plaisir d'entendre un disque de rock aussi bien joué et produit en 2024, mais s'il y a quelques morceaux qui sortent du lot, il y a quand même un peu trop de remplissage parmi les 12 morceaux standard. Alors si on ajoute à ça le CD bonus, l'EP vinyle, et l'EP The Boy sorti à l'occasion du RSD, ça nous fait un total de 25 morceaux, dont une bonne moitié n'a quasiment aucun intérêt. Cela étant dit, parmi ces morceaux bonus, on trouve ce qui est pour moi l'un des 5 meilleurs morceaux de la carrière solo de Mark Knopfler : Nothing But Rain est en quelque sorte un Fade to Black 2.0, et je trouve que c'est un crime de ne pas l'avoir mise sur le disque principal.
Mes morceaux favoris : Nothing But Rain, Ahead of the Game, Watch Me Gone, Two Pairs of Hands, Fat Chance Dupree, Smart Money

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Michel Jonasz reprend 10 de ses chansons à la sauce soul des années 70. Musicalement, ça envoie du lourd, ça groove à mort, et je rêverais de le voir sortir de nouveaux titres avec cette excellente bande de musiciens. La seconde moitié de La FM qui s'est spécialisée Funky est un pur régal qui rappelle la grande heure de Jamiroquai. L'amour ça devient sérieux m'a plus touché que dans sa version originale. Dommage toutefois qu'il n'y ait que 10 reprises, et que 4 d'entre elles n'aient pas forcément un intérêt dingue. Pas trop fan non plus des touches de disco, ça et là.
Mes morceaux favoris : La FM qui s'est spécialisée Funky, L'amour ça devient sérieux, Minuit sonne, Lord Have Mercy, Les wagonnets, Groove Baby Groove.

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Part 2.
Un bon EP de 8 titres. La batterie est moins forte dans le mix, et le groupe innove sur Everyone Everywhere. Dommage qu'il y ait toujours autant d'autotune sur les voix, mais je ne vais pas cracher sur cet EP pour autant !
Mes morceaux favoris : No Fun, Every Other, All In My, Can't Go, Everyone Everywhere

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Ça aurait pu sortir après Meteora. Mike Shinoda est plus présent au micro, mais son flow est devenu bizarre, et sur Overflow, j'ai cru entendre Lil Dickie ! La nouvelle chanteuse n'est pas mauvaise, et la ressemblance avec Chester Bennington est frappante sur The Emptiness Machine. Mais il lui manque ce petit soupçon de génie, et ses trop nombreux hurlements sont plus irritants qu'autre chose.
Alors oui, c'est plutôt bien fait, et Linkin Park assume enfin d'être un groupe de néo-métal. Mais je ne peux malgré tout m'empêcher de trouver l'ensemble un peu fade. Et surtout, je me sens désorais bien trop vieux pour écouter ce genre de musique...
Mes morceaux favoris : The Emptiness Machine, Two Faced, Heavy Is the Crown, IGYEIH, Overflow

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Des faces B issues des sessions de A Sign of Things to Come. Quelques solos rappellent parfois les vieux albums, et l'ensemble est un poil moins formaté que les deux précédents disques. Mais aucun morceau ne me met une claque pour autant, et mine de rien, cela fait depuis 2012 que Sylosis fait les choses correctement sans pour autant parvenir à m'époustoufler.

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L'album aurait pu sortir vers 2006. Les beats de Luis Resto rappellent la période Encore, et cela fait plaisir d'entendre le flow nasillard de Slim Shady après toutes ces années. Malheureusement, le rappeur quinquagénaire ne va pas au bout de son concept : l'album n'est pas assez cinématographique et il n'est pas assez centré sur la mort de son alter ego. Il y avait d'autres thèmes à explorer, et au bout d'un moment, entendre Marshall sur la défensive dès que Slim Shady joue la provocation sur les mêmes thèmes sulfureux finit par lasser.
Il faut dire aussi que l'album manque de tubes évidents par rapport à ceux sortis entre 1999 et 2004. J'ai ainsi trouvé que l'intérêt du disque baissait drastiquement après l'excellente Guilty Conscience 2.
Enfin, pour que ce disque puisse être comparé à ceux de l'âge d'or d'Eminem, il aurait fallu faire revenir des rappeurs étant apparus sur lesdits disques (Dr. Dre, Xzibit, Snoop Dogg ou 50 Cent).
Pour ce qui est des beats, la présence de Jeff Bass aurait également fait un bien fou à l'album, mais la page semble définitivement tournée depuis longtemps.
Dommage !

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Ça sonne comme du Static-X de 1999-2001, il y a peu de choses à jeter, et je devrais logiquement m'éclater avec ces 14 nouveaux titres. Mais pour une raison que je ne m'explique pas, je n'arrive pas à être emballé par ce que j'entends. Une chose est sûre, Z0mbie ne me plaît pas du tout avec sa prise de voix intégralement enregistrée par Xer0.
Mes morceaux favoris : Stay Alive, Kamikaze, Jic Boi, Take Control, Run For Your Life, Tone

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Après plusieurs albums ratés, P.O.D. propose enfin un disque digne de leur glorieux passé. Il n'y a rien de bien dingue, mais avec seulement 11 morceaux en 35 minutes, le groupe n'a pas le temps de nous ennuyer. I Got That aurait presque pu figurer sur Satellite, c'est dire s'ils reviennent de loin...
Mes morceaux favoris : I Got That, I Won't Bow Down, We Are One (Our Struggle), Dead Right

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5.5/10
La production d'Elvis Baskette est pire que jamais, et Myles Kennedy chante avec tous les tics vocaux que je déteste depuis qu'il collabore avec Slash (son fameux twang nasal). Il y a aussi beaucoup de transitions bâclées, comme sur la plupart des albums d'Alter Bridge ou Tremonti.
Bref, tout ça ne me donne pas très envie d'appuyer sur Play pour redonner sa chance à l'album, alors que j'adorais la voix du bonhomme de 1998 à 2004.
Hormis un titre qui fait penser à la période Mayfield Four (Miss You When You're Gone) et un autre qui ressemble un peu trop à No One Knows des QOTSA, il n'y a pas grand chose de passionnant.
Au final, c'est à peu près aussi médiocre que son dernier album avec Slash, et je n'ai aucun espoir pour la suite, vu qu'il continuera à bosser avec le même producteur, encore et encore...

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5.5/10
Un de ses albums les moins intéressants. Les beats ne sont pas au niveau de ce qu'il propose habituellement, et le flow de Masta Ace est juste monotone à souhait.
Peut mieux faire !

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Un album dans la lignée de ceux de 2009 et 2012. J'adore Norah Jones quand elle fait du jazz vocal au piano, mais dès qu'il commence à y avoir de la guitare et de la batterie, sa musique m'intéresse beaucoup moins. On a ici quelques morceaux qui démarrent pas mal (ex : Paradise, That's Life), et soudain, d'autres instruments qui n'ont rien à faire là se font entendre, et je n'ai alors qu'une envie : cliquer sur Next. Tout n'est pas à jeter, mais elle peut largement mieux faire.
Mes morceaux favoris : Alone with my Thoughts, I'm Awake, All This Time, I Just Wanna Dance, On my Way

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Générique, inoffensif, surproduit et formaté. Ce disque, enregistré avec la même équipe que celle de 2019, a un petit côté désespéré : Stapp tente de moderniser sa musique, mais au final, il ne fait qu'adopter les codes de tous ces groupes d'Active Rock aussi ennuyeux les uns que les autres. Pas un titre ne sort du lot, et les paroles ne sont qu'une énième redite de toutes celles qu'il a écrites depuis 2013. Quant aux solos de guitare, ils sont techniquement bien joués, mais ils donnent un côté 80's un peu ringard à la musique de Stapp.
Bref, c'est un ratage.