Les meilleurs albums de Bob Dylan selon Louuuuuuuis

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Pour un artiste toujours en quête de sons, ici il semble avoir trouvé quelque chose. Le dernier album de sa trilogie électrique, après lui sa musique changera profondément, il marque donc en beauté la fin d'une ère pour Dylan.

Pour moi, tout est doré sur cet album : ça commence par la pochette qui a beaucoup de charme, le titre bien évidement, le son métallique parfois accompagné d'orgue, et l'écriture mêlée d'émotions et toujours plus de mystère. Un album en or.

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Il n'a pas loupé le rendez-vous. C'est en chantant The Times They Are A-Changin que toute une génération sera portée.

Pour moi, un album avec un folk encore plus épuré. Je trouve sa voix toujours plus belle et en harmonie avec sa guitare. On ne s'en lasse pas ; à écouter en boucle, c'est magnifique.
PS : ne passez pas à côté de Boots of Spanish Leather qui pour moi crève l'album.

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Toujours électrique et 6 mois après le précédant, cet album est un incontournable de Dylan. Il commence par un Like a Rolling Stone bouillonnant, termine par un Desolation Row mystérieux, en passant par un Ballad of a Thin Man transparent de vérité. Bref, un album culte.

Pour moi, des textes aux arrangements, aucun argument ne vous retiens à l'écouter, c'est excellent alors foncez.
PS : une mention spéciale pour Ballad of a Thin Man.

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Il suffit d'écouter l'album pour sentir qu'il se passe quelque chose d'important chez Dylan, ou plutôt, chez Robert. Alors qu'il vient de quitter sa femme, c'est peut-être son album le plus sincère et où il se confie sur ses sentiments les plus profonds. Après avoir voyagé dans des albums un peu surprenant, ici on le retrouve plus vrai que jamais.
J'aime bien Meet Me in the Morning.

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Dans la belle lignée de Blood on the Tracks et juste après celui-ci, Desire est très bien accueillit et c'est normal il est excellent. On retrouve la voix de Joan Baez sur certains titres, ça ajoute un peu de douceur et c'est joli. Le titre Hurricane qui raconte l’histoire du boxeur Rubin Carter accusé de meurtre est à écouter, tout comme Oh, Sister que j'aime beaucoup ou Sara plus personnelle.

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Premier album presque entièrement écrit par Dylan lui-même, il marquera son temps car tout séduit : les sujets abordés (de légers, avec des chansons d'amour pour celle qui tient son bras sur la pochette, à des sujets engagés politiques et sociaux de la Protest-song, qui feront de lui le porte-parole d'une génération), son phrasé si particulier et sincère, sans oublier son harmonica. Bref, un perfect qui le propulsera.

Pour moi, du folk comme on l'attend, avec des morceaux devant lesquels il est difficile de rester indifférent : le magnifique Girl from the North Country ou le Masters of War indémodable. Un album qui se répète beaucoup dans le style folk je dois l'admettre (qu'attendre d'autre d'un album folk ?) mais qui vaut le détour.

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Dès les premières secondes, la claque du Subterranean Homesick Blues ou le virage électrique qui divisera. En effet, Dylan prend une guitare électrique pour la première face mais garde sa folk pour la seconde, faisant ainsi naître un des premiers albums folk-rock, et révélant un nouveau visage du personnage aux milles facettes.

Pour moi, une tournure en beauté. C'est vrai quoi, la mode est à l'électrique alors pourquoi pas essayer ? Bien joué Bob, que ce soit le Maggie's Farm électrique ou le Mr. Tambourine Man folk c'est un véritable succès et les deux te vont à merveille, au risque de perdre quelques fans puristes, m'enfin tant pis ...

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Une bande son efficace qui contient son morceau le plus célèbre sûrement, Knockin'On Heaven's Door, du grand Dylan.

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C'est blues, ça s'écoute super bien, parfois simple mais toujours efficace avec de belles balades. Le retour de Dylan dans les temps modernes qui prouve une fois de plus qu'il sait se réinventer alors qu'il fête ses 65ans.

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Une belle fin pour sa trilogie folk, cet album ouvre au changement de style à venir. On sent un Dylan plus rêveur, qui se confie et s'éloigne de la politique.

Pour moi, un album plus discret, et qui doit beaucoup à It Ain't Me Babe qui est juste magnifique. J'aime beaucoup My Back Pages aussi.

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On n'en parle pas assez mais cet album est vraiment bon, dans la belle lignée de New Morning. Avec des titres inoubliables comme Forever Young (la slow version s'il vous plaît).

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Sorti la même année que l'album Self Portait, celui-ci est beaucoup mieux accueillit et c'est mérité. Je retrouve la voix du Dylan que j'aime avec des nouvelles instru qui le rendent plus original. Ecoutez The Man in Me ou Sign on the Window.

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L'album retour après s'être éloigné des caméras pendant 3ans à la suite d'un accident de moto. Sa voix grave méconnaissable m'a frappé dès le premier titre, Girl from the North Country. Titre repris de ses premiers albums, cette version avec Johnny Cash est magnifique (même si je préfère la première version). Un album avec lequel je n'ai pas particulièrement accroché.

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Après un album remarqué, c'est un Dylan plus discret qui sort John Wesley Harding.
Il tente des choses mais pour moi ce n'est pas un album qui sort du lot. Notez tout de même la présence du morceau All Along the Watchtower rendu, par la suite, plus célèbre et plus électrique par Jimi Hendrix.

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Toujours sympa à écouter mais ça casse pas trois pattes à un canard.

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Un début principalement marqué par des reprises de la musique folk traditionnelle, puisque sur cet album, seuls 2 morceaux sont écrits par Dylan dont le fameux Song to Woody. Ce dernier est une belle image des idées qui traversent le jeune homme de 20 ans d'alors. Un début timide donc mais qui ne démarre pas comme il l'attendait, ce qui le poussera à chanter ses propres chansons sur son prochain album.

Pour moi, impossible de parler de Bob Dylan sans avoir écouter Song to Woody. Sinon ce sont des reprises toujours sympathiques à écouter.

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Le bonhomme se cherche et ça se sent ... bref on fait tous des bourdes.