Les meilleurs albums de Bruce Springsteen selon Kaptain-Kharma

Annotation :

Un poil répétitif et facile dans l'exercice mais je persiste à croire que le "boss" est quand même moins irritant quand il joue pas avec son vieux e-band de nullos. J'imagine tout l'effort que ça a du lui demander de ne pas rajouter tout les instruments sur chaque morceau tant on voit à chaque fois en quoi l'exercice serait facile. Chaque morceau ne pourrait être que l'introduction acoustique d'un truc beaucoup plus bourrin mais Bruce reste calme et ça feat bien avec le mood raisin de la colère.

Annotation :

Je crois que je me suis laissé avoir par Worlds Apart et son chant indien. Plutôt couillu en post 11 septembre où les américains se sont vite refermés sur eux-mêmes heureusement que le boss a envoyé un message de paix et on a vu que par la suite ça a super bien marché.

Annotation :

Les défauts inhérents à la bosse, c'est un peu la même chanson multiplié à la dizaine mais c'est mignon et j'imagine qu'écouté dans certains contextes c'est incroyable. Rien d'incroyable ou d'unique malheureusement et puis de toute façon depuis y a eu Bon Iver donc laissez moi tranquille.

Annotation :

Le boss revient et ce n'est certainement pas pour chambouler sa discographie. En pur terrain connu, le maintenant septuagénaire s'offre les services de Michelle Holme qui le suit depuis déjà quelques années. Et au programme, le bon gros cliché du cheval cabré, l'horizon des plaines désertiques au loin. La photo a beau être magnifique c'en est affolant de désuétude. On est aux USA et Bruce compte bien nous le rappeler.

Annotation :

Y a des morceaux régressifs qu'on a juste envie d'écouter un soir d'été en voiture et des morceaux dégressifs qu'on a envie de débrancher car ils vivent depuis trop longtemps.

Annotation :

Au début tu penses que ça peut être bien, après tu te dis que c'est un peu redondant, ensuite tu te rends compte qu'il reste 9 morceaux.

Annotation :

Only the strong can make an album of reprises chiantes, sans aucun apport, surannées et qui ne sortent pas de la zone de confort. Bordel y a un volume 2 à venir ?

Annotation :

Aussi chiont que de regarder la neige en attendant qu'elle fonde alors qu'il fait -20 (mais visiblement les ultra fans trouvent ça moderne et toujours aussi quali, CEST THE BOSSE QUOI)

Annotation :

Pour l'anecdote (oui parce que sinon c'est encore un album dont on se fout éperdument) sur Death To My Hometown il y a un sample des chœurs de Dublin pour les Derniers mots de Copernicus qui est beaucoup trop cool (je le sais parce que je l'utilise aussi pour l'une de mes musiques). Bien évidemment le "boss" il se fait saucer en studio mais en live y a juste des trompettes qui reprennent timidement la mélodie et sinon c'est un gros morceau de classic rock dont on se fout éperdument (oui je l'ai déjà dit) avec même Tom Morello à un moment qui fait... du Tom Morello. Les grands feignants se rencontrent et je me demande quand même le prix pour faire venir Bruce Springsteen avec ses 20 musiciens dont la moitié qu'on entendra jamais mais les américains tu leur fout 5 guitares en façade ils sont contents ROCKAINEROLE !

Annotation :

Le cauchemar de la musique c'est bien sur les années 80. Les saxophones étaient rutilants, les batteries avaient des reverbs de tarés et tout•e les chanteureuses en faisaient des caisses. Le boss plonge à fond les ballons dans cette recette rance, c'est épuisant et même les gros "tubes" sonnent dégueulasses maintenant. Les rares chansons calmes sont une bouffé d'air frais et je me fous de savoir le qui du quoi du message de Born in the usa puisqu'on est quand même face à un pur ricain. La guerre c'est mal mais les états unis c'est bien est pour moi le statment le plus con possible.