Les meilleurs albums de John Williams selon TheFreeMind

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Le thème du Graal ("The Penitent Man Will Pass") est une pure merveille.

Morceau préféré : The Penitent Man Will Pass

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Morceau préféré : You are the Pan

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8,5
Des cœurs irrésistibles

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8,5

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Tintin représente objectivement l'une des dernières (très) grandes réussites de Williams. C'est un film d'aventures, mais Williams ne s'inspire qu'assez peu de ses partitions pour Indiana Jones. Pour autant, le résultat est très entraînant et parfaitement maîtrisé. Entre les magnifiques morceaux utilisés pour mettre en lumière l'Histoire des Haddock au temps des pirates ("Sir Francis and the Unicorn", "Red Rackham’s Curse and the Treasure"), il y a de très bons morceaux d'aventure pure ("The Pursuit of the Falcon" & "The Adventure Continues" notamment). Les thèmes de Milou et de Dupond et Dupont dénotent un peu, Williams allant chercher des inspirations burlesques. Je ne suis pas un immense fan du premier morceau que l'on entend lors du générique de début, un peu trop jazzy pour moi, mais il faut avouer qu'il reste très original et efficace. Il serait si bon de retrouver Williams à l'ouvrage sur la suite du film, mais le temps joue contre nous.

Morceau préféré : Red Rackham’s Curse and the Treasure

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Derrière le fameux thème composé seulement des notes Mi et Fa (inspiré du Sacre du printemps d'Igor Stravinsky), Williams est parvenu à créer une bande originale très intéressante. Un modèle de tension qui renforce celle du film.

Morceau préféré : Main Title

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Williams intègre une ambiance indienne dépaysante, et parvient à renouveler les grands thèmes du film précédent.

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Schindler's List est sans aucun doute l'une des bandes originales les plus tristes que j'ai jamais écouté. Il n'y a pas que son thème déchirant, c'est une constante qui accompagne toute la partition. Les chants juifs sont particulièrement poignants.

Morceau préféré : Theme from Schindler's List

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Morceau préféré : Duel of the Fates

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The Witches of Eastwick est un nouvel exemple du formidable talent de John Williams pour mettre en musique la magie, entre enchantement et menaces. La bande originale est à l'image du film, une jolie joyeuseté avec laquelle Williams s'amuse.

Dès la présentation de la petite ville d'Eastwick ("The township of Eastwick"), le cadre est posé. La petite bourgade est tranquille, la musique se fait mélodique et légère. Ce n'est qu'avec le thème principal "The Dance of the Witches" qui introduit des motifs plus sombres mais toujours soulignés par un arrière-plan lyrique et enchanteur, que Williams annonce les futurs bouleversements que va subir Eastwick. Les maléfices ne sont pas loin, "Maleficio" et "Daryl Secret's" en sont l'illustration musicale.
Le burlesque de "The tennis game" accentue quant à lui le côté comique de la scène de tennis, symbole de l'ambiance légère du film.

Williams se fait quand même très romanesque par instants comme dans la conclusion de "The Seduction of Alex", magnifique de beauté. Ce morceau exprime d'ailleurs les étapes de la séduction amoureuse à merveille, un long travail de séduction de Darryl auquel Alex tente de résister avant le renoncement, une passion finale qui s'exprime au grand jour sous les violons. L'évocation des désirs s'exprime aussi dans "The Seduction of Suki and the Ballroom Scene", également très réussi. A se demander pourquoi le personnage de Jane n'a pas eu lui aussi son propre morceau de séduction?

7,5

Morceau préféré : The Township of Eastwick

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Morceau préféré : Resolution and End Title

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La conclusion de la trilogie est dans la droite lignée des deux opus précédents. C'est-à-dire une démonstration que Williams est toujours capable de développer de belles compositions qui sonnent Star Wars mais qu'il est assez peu inspiré. Alors pour combler le manque d'inventivité et pour appuyer les références nombreuses à la trilogie originelle, il puise dans ses thèmes mythiques, les transforme et les retravaille. Forcément, avec le talent du maître ça donne une symphonie très maîtrisée, dont beaucoup souhaiteraient composer ne serait-ce que le quart. Mais le résultat est clair : difficile de ressortir un vrai thème marquant de cette trilogie en dehors de celui de Rey. On appréciera l'ensemble mais difficile de citer des titres en particulier. Ici, il n'y a guère que le traitement des cœurs Siths ("Anthem of Evil", "Approaching the Throne") qui ressort vraiment des autres compositions. Et c'est aussi sur ce point qu'elle aura déçu cette trilogie, elle ne marquera pas les mémoires pour sa musique. Et vu que c'est la dernière de Williams pour la saga, c'est quand même un peu dommage.

Morceau préféré : Anthem of Evil

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The Fury est un travail d'ambiance particulièrement réussi. On retrouve une atmosphère inquiétante qui illustre à merveille les évènements paranormaux du film. La musique se fait par moments dérangeante (l'accident de manège sur "Death on the Carousel") et lorgne aussi du côté de la science-fiction, que Williams est à la même époque en train de magnifier avec sa grande œuvre Star Wars.

Morceau préféré : Gillian's Escape

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De la même manière que Spielberg livre un film en demi-teinte, Williams semble avoir été légèrement moins inspiré par cette suite tardive. Pourtant, l'alien est un thème récurent du cinéma de Spielberg que Williams a déjà maintes fois sublimé. En fait, c'est davantage dans la recherche d'un nouveau thème fédérateur que le bas blesse.