Les meilleurs albums de Pink Floyd selon Blank_Frank

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Quatre morceaux et demi, 42 minutes, perfection de "classic rock". Les trois pièces de résistance que sont "Dogs", "Pigs" et "Sheep" pourraient presque me faire chialer tellement c'est magique à écouter, tandis que la ballade de Roger Waters "Pigs On The Wings" est là aussi juste à l'heure. C'est selon moi le meilleur effort du Floyd jamais pressé sur disque.

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Véritable chef d'œuvre de classic rock là encore, j'aime "The Wall" pour l'alliage parfait de cinéma et de rock. Si bien sûr certains titres de ce double album freinent un peu le rythme, l'ensemble reste quand même explosif, un véritable plaisir à écouter et redécouvrir à chaque fois...

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De la même manière que pour "The Wall", "The Final Cut" est un excellent film mental, sur des sujets plus réalistes et plus durs certainement. Les tempos sont plus doux, la musique et les textes sont dominés par Waters au détriment des autres, ça n'empêche que c'est un album qui me fascine et me transcende, que j'ai découvert sur le tard après l'avoir (trop?) longtemps négligé.

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Certainement l'un des meilleurs albums du monde, ça pourrait surprendre certains de le voir en dessous de "The Final Cut", mais il se trouve que même si le charme de ce disque opère toujours sur moi, son pouvoir commence à faiblir à force d'écoutes, répétées depuis mes années lycées. Même si j'adore replonger dans des chefs d'œuvres, concernant Pink Floyd et leur discographie variée, je préfère m'attarder sur des disques moins reconnus qui vont in fine me plaire davantage.

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Je dois faire partie des rares personnes qui apprécient davantage la Face B de cet album que la Face A, certainement parce que j'adore quand le Floyd fait du blues/funk comme dans "Have A Cigar" et "Shine On You Crazy Diamond pt.VIII". Album mythique s'il en est, c'est là encore un disque que j'ai beaucoup (trop) écouté à une certaine époque, dont je respecte l'aura mais que je laisse un peu de côté au profit d'autres disques moins connus ou moins appréciés.

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Pour des raisons personnelles et nostalgiques, cet album assez unanimement mal aimé fait pourtant partie de mes préférés. C'est après tout avec ce disque que j'ai découvert la musique du groupe. Le côté 80's revendiqué me plaît assez, surtout que finalement la production évite quand même assez bien les plus gros écueils de cette décennie, écueils qu'on retrouve pourtant aussi bien dans les albums de Yes, Genesis et même le "Radio KAOS" de Roger Waters qui sont sortis la même année ou presque...

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Il m'a fallu un certain temps pour apprécier "Meddle", et en particulier la Face A, remplie de chansons un peu bancales à l'exception de l'instrumental "One Of These Days". Bien sûr, pour moi, rien ne vaut "Echoes", certainement l'un des meilleurs titres du groupe, et le tournant de leur carrière, qui les verra passer d'un son psychédélique à un son plus progressif.

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C'est cette collection de titres rares et/ou remaniés qui m'a permis d'entrer dans l'ère Syd Barrett du Floyd, une époque du groupe qui m'a longtemps repoussé. Finalement, même si "Relics" n'est pas un album à proprement parler, sa tracklist agencée avec goût pourrait presque faire passer le disque pour un album majeur de Pink Floyd.

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Parfois un peu brouillon, parfois un peu bancal, toujours aussi puissant. Malgré le fait qu'on pourrait presque lui reprocher d'être une sorte de coup d'essai du groupe avant de se lancer dans "Dark Side Of the Moon", "Obscured by Clouds", qui à la base reste la B.O d'un film, est aussi un excellent disque regorgeant de surprises et de titres trop méconnus.

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Certainement davantage un disque de Syd Barrett que de Pink Floyd, ce tout premier opus est extrêmement intéressant dans le sens ou il pose les bases du rock psychédélique. Impossible pour moi d'oublier des chefs d'œuvres comme "Astronomy Domine", "Interstellar Overdrive" ou même "Bike".

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Un autre album qui m'a pris du temps, "A Saucerful of Secrets" est selon moi le meilleur moment de l'ére psychédélique de Pink Floyd. J'ai réussi à approcher ce disque grâce aux références remâchées de cet album dans le travail de Psychic TV. Un titre comme "Set The Controls For The Heart Of The Sun" reste à mon sens un monument du rock des années 1960.

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J'ai un avis souvent ambivalent sur ce disque, dont une moitié des titres m'ennuie profondément tandis qu'une autre moitié me rends admiratif. C'est l'un des rares albums de Pink Floyd que je trouve trop long, en particulier certains titres qui s'éternisent quand ça n'a pas lieu d'être. Musicalement, ça reste passionnant, Waters ou pas.

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Le seul album solo de Roger Waters qui aurait presque pu sortir sous l'égide de Pink Floyd tellement le concept est poussé à son comble. Musicalement, c'est très réussi, et la présence de Jeff Beck n'y est certainement pas pour rien...

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Rick Wright était fasciné par les disques de Brian Eno et Talking Heads à l'époque. Inspiré, il tente un truc avec un Fairlight qui selon moi est finalement assez réussi mais va complètement décevoir les fans de Pink Floyd. En même temps, quand on fait un étrange mélange de Herbie Hancock, Peter Gabriel, Kate Bush et New Order, forcément ça peut choquer...

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Certainement le meilleur album solo de Gilmour à ce jour, assez court; avec une production fidèle à son propre son, sans trop de compressions. La présence de sa fille Romany au chant ajoute clairement une fraîcheur dans ce disque de l'ancien guitariste de Pink Floyd.

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Le premier opus solo de Gilmour est très intéressant dans la mesure ou il fait la synthèse de tous les travaux qu'il a proposé au sein de Pink Floyd entre 1973 et 1979. Certains titres rappellent furieusement le son "Animals", d'autres préfigurent "The Wall" et même "Division Bell". Malgré son côté un peu anecdotique, c'est selon moi l'un des meilleurs opus solo de Gilmour...

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25 ans après, Waters revient avec un nouvel album qui fait la jonction entre le son Pink Floyd 1975-1983 et l'époque glacée du XXIème siècle. Produit par Nigel Godrich, le disque est sympa sans plus, avec pas mal de longueurs. Certains morceaux sont cependant très réussis !