Les meilleurs albums de rock progressif selon Laughing Stock

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"I get up !!!!!! I get dowwwwwwwn !"

C'est l'Album qui représente le rock progressif, surtout le titre "Close to the edge", épique, groovy, émouvant, lyrique. C'est un canon du rock progressif

Close to the edge était mon album préféré, et je l'ai trop écouté...
Mais l'émotion d'origine, lorsque je l'ai découvert, en 1994. est toujours intacte dans ma tête. C'est un album qui m'accompagna dans mes premiers questionnements existentiels, lorsque j'eus 22 ans.

Je me rappelle déjà de l'ouverture de Close to the edge, chaotique, démentielle, improbable. Il faut s'accrocher. En général, une introduction est douce, avant que tout s'emballe. Yes, eux, non, ils ne font rien comme les autres : même s'il y a ce son d'ouverture, entre son de nature et bruitages, rapidement, cela cède à un déchaînement de notes, comme une sorte de bataille. Un truc à peine écoutable, un bordel incroyable. Tout le monde s'énerve, joue vite. C'est certain, ils ne vont pas en faire un tube - pas avant 2048 - de cette intro. Evidemment, ce n'est pas le titre que je ferais écouter en premier à ma grand mère, bien qu'elle soit déjà morte, non je lui choisirais plutôt "Turn of the century", qui n'est pas sur cet album.

Vois-tu, je peux à chaque instant de ma vie te dire quel age a cet album, car cet album est né aussi la même année que moi. Et ça compte dans un classement...

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Finalement l'ultime album prog, passionné, exubérant et cathartique

"Still life", le titre, c'est sûr, Peter Gabriel l'a écouté (à partir de 2'45)

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Un album qui a compté, et qui reste un classique

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Le classique, entre "Heart of the sunrise"

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Double-album noir et urbain de Genesis.
D'une musicalité incroyable, avec des titres très originaux, denses, incroyablement travaillés au niveau des arrangements, mais aussi du son. Et la voix de Peter Gabriel est émouvante

A noter la version live dans Archives 68-75, beaucoup plus intense

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Comment décrire cet album....c'est un voyage transcendantal, c'est un son aussi.

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Enfin les remasters de 2007 redonnent de la puissance et des couleurs à ces indispensables classiques de Genesis : Supper's ready et Watcher of the skies

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"Awaken" est le summum du groupe, et du rock progressif. A masterpiece

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C'est le mystère de la vie-même, vital, essentiel, sauvage.
Une transe terrible et insensée, des tripes à l'esprit

"Haï" and "Zombie", 22 minutes finally recorded in a perfect studio version.
A must have from Magma, featuring a heavy trance and frenetic bass / rhythm section, and a wonderful choir. Everything in this record is balanced, perfectly composed. This music is out of time.

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Sous l'influence de Miles Davis et de Coltrane, Robert Fripp s'entoure de musiciens jazz pour confectionner cet album intemporel

A noter le titre "Islands", 12 minutes lentes méditatives, avec piano, harmonium, haut-bois, flute basse, cornet, mellotron, violons...dans un long crescendo exaltant.

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A must have. Unique.
It's intensive, trance, live and musically amazingly mastered.

LA trilogie de Theusz Hammtaahk de Magma :
I - Theusz Hammtaahk, enfin enregistré, avec un son et une puissance magistrale
II - Wurdah Ïtah
III - Mëkanïk Dëstruktïw Kömmandöh, le mythique

Ce live est à considérer comme un album studio.

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On touche à des contrées inexplorées, noires, puissantes et modales, entre musique contemporaine et rock.
Avec un son plus numérique, ce KC s'entoure de technologie, de la batterie, la basse, les guitares aux voix, et sonne plus électronique.
Ils poursuivent en quatuor avec Gunn Belew Fripp et Mastelotto l'entreprise de destruction entamée avec Thrak, et ils se réapproprient et pulvérisent l'oeuvre de Lark's tongue in Aspic, pour finir avec une coda très émouvante.

Mais le morceau le plus incroyable reste "The construcktion of light". Un nouveau classique de KC

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La pochette est horrible (il a corrigé ça avec les nouvelles éditions), mais la musique, elle, est drivée par des vibraphones comme une pulse minimaliste, et c'est cette incantation rituelle de Mike Olfield qui me plait le plus.
Violons, flutes, voix, vibraphones, et bien sûr la guitare de Mike oldfield.

L'oeuvre est placée sous le cycle des quintes, ce qui rend l'oeuvre encore plus cohérente.
Pour moi, c'est un hymne à la vie

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Gentle giant, les grands oubliés du prog des 70's.
Je crois qu'une des raisons est : ils étaient trop pointus...on s'aperçoit aussi que la qualité ne paie pas toujours...

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Moi je garderais "The revealing science of god" et "Ritual"

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Le frère jumeau de "In the court of the Crimson King", son complément naturel et indispensable
Avec ces deux albums, tu as l'essentiel du premier King Crimson. Après c'est une autre histoire...