Les meilleurs albums de Spirou selon Sonicvic

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Un classique parmi les classiques. Beau, drôle, prenant, angoissant, inventif (les nouvelles créatures)...
Le seul reproche que j'ai à lui faire, c'est que sa préquelle (La frousse aux trousses) était finalement assez mineure. Mais le tome 41 fait bel et bien un sans-faute !

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Une belle aventure en 3 actes bien rythmés, qui introduit le diabolique Zantafio ! Celui-ci connaîtra étrangement une rédemption à la fin de l'album, mais elle sera oubliée par la suite.

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Graphiquement, mon album préféré. Je ne suis pas fan de l'hommage permanent à Franquin, mais Yann & Tarrin apportent suffisamment d'idées originales pour que je passe outre, avec en particulier la romance avortée de Spirou et Seccotine (seul album avec Machine qui rêve où elle m'est sympathique d'ailleurs).

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Seul album de la série à ce jour qui exploite 2 méchants à la fois : Zorglub (qui trouve enfin sa rédemption) et Zantafio (dont c'est la dernière apparition sous la plume de Franquin).
On y retrouve aussi des thématiques de société, comme les méfaits de la publicité ou l'instabilité politique. Du très, très grand Franquin.

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A lire avant le tome 16, puisque ç'en est la préquelle directe. Zorglub est introduit comme un méchant un peu pathétique mais attachant, et le comte de Champignac occupe une grande place dans l'intrigue, c'est toujours cool.

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Pour beaucoup, le meilleur Spirou post-Tome & Janry. On y retrouve la patte que Bravo utilise dans les Aventures de Jules : un pré-ado subissant des aventures beaucoup trop complexes pour un gamin de cet âge, qui désire simplement découvrir les joies de l'amour. Drôle, touchant et instructif.

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Introduction du dernier personnage important de Tome & Janry : la volcanique Luna, fille de Vito Cortizone !
Une aventure qui aborde le thème de l'amour, tout en restant dans la continuité de Spirou à NY. Beaucoup d'action et de suspens dans ce dernier album "classique" de T&J (et j'aime beaucoup la couverture).

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L'album à l'ambiance la plus atypique de la série. Je l'ai longtemps détesté et n'ai pas compris l'intérêt d' un virage aussi sombre et réaliste. Aujourd'hui je l'adore, tout simplement.

Dommage que Tome et Janry se soient vus annuler leur Spirou à Cuba, et que depuis ils se complaisent dans le médiocre Petit Spirou.

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La meilleure parodie de régime totalitaire depuis "Le Dictateur" de Chaplin. J'aime beaucoup la résolution non-violente du conflit qui passe malgré tout par les armes.

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Création d'un personnage original et marquant, aventure dans un tout nouveau lieux, très peu de références au passé... Ouaip, T&J se sont bel et bien lâchés dans cet album 39 et réalisent le premier album majeur de leur carrière, qui connaîtra un quasi-sans faute jusqu'à la fin.

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Un très bon huis-clos qui fait de Fantasio la vedette ! C'est également l'album qui impose Vito Cortizone comme un méchant récurrent et charismatique de l'univers Spirou.

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Un album plein de rebondissements, dommage que la fin soit un peu bâclée.
A noter : dernière grande aventure de Franquin sans le Marsupilami. La petite bestiole viendra jouer les sauveurs et désamorcer toute tension dans tous les albums suivants.

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Introduction d'une excellente antagoniste au potentiel infini (surtout à une ère où on surutilise des appareils électroniques), mais qui n'est étrangement jamais réapparue depuis (en-dehors des oubliables jeux vidéo et de la 1ère série animée).
Très bon mix d'action et d'humour, bref, encore une fois du grand Tome & Janry !

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Le propos du racisme est traité de façon nettement moins lourdingue qu'on ne pourrait le craindre à première vue, c'est aussi un des rares albums qui mette autant en avant les Champignaciens. Dommage que l'intégration de Vito soit un peu forcée.

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Le chef-d'oeuvre de Fournier, qui aborde des thèmes encore d'actualité 40 ans après son écriture ! Le Breton était résolument anti-nucléaire et fier de ses origines, et il arrive à mêler ces deux sujets dans une histoire à la frontière du fantastique.

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La suite de Kodo le Tyran, la surpassant sur tous les points. Elle est très bavarde, mais chaque page est riche en événements. Et il est agréable de voir de temps à autres une aventure où Spirou et Fantasio sont complètement séparés.

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Début un peu confus, mais l'histoire devient franchement drôle une fois que tout le monde arrive au Bretzelburg.

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L'histoire manque un poil de fluidité (dû aux contraintes de la publication hebdomadaire), mais elle reste bien rythmée et comporte une chouette galerie de personnages. Franquin a les personnages bien en main !

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La première grande aventure du groom, découpée en 2 actes plutôt sympas. J'aime beaucoup voir le vieux Champignac défoncer leurs mères à des sportifs professionnels.

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Beaucoup d'humour et très bon trait (Tarrin s'est encore amélioré par rapport au Tombeau des Champignac). Quelques longueurs, mais rien que la partie sur le Goulag vaut le détour.

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Une suite originale aux deux Z de Franquin. La vision d'une société futuriste réglée au millimètre près est effrayante sur le papier mais hilarante dans la mise en oeuvre !

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Après un premier album où ils cherchent leurs marques, T&J trouvent vite la façon de s'approprier Spirou : des gags en arrière-plan et des aventures à l'échelle mondiale ! Tout cela s'affinera jusqu'à la perfection de leur style dans Spirou à NY.

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La première partie du diptyque "Kodo". Sympathique, elle pose bien les personnages et les enjeux, au détriment de l'action qui est assez rare.

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L'aventure souffre de quelques essoufflements, mais ça reste tout de même une chouette escapade à travers la savane africaine. Franquin a fait mieux, mais il a aussi fait bien pire.

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Un hommage fun et décomplexé à Franquin par un de mes auteurs préférés, qui s'est pris une shitstorm pas possible sur les internets. Triste.

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On retrouve un humour typique de Lewis Trondheim (quoiqu'un peu bridé) et le graphisme super propre de Parme dans ce huis-clos en haute mer. Rafraîchissant, dans tous les sens du terme.

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Si on peut reprocher à S&F d'être très effacés de l'histoire des Marsupilamis, elle n'en reste pas moins intéressante, et c'est plutôt drôle de voir l'histoire qui a lancé l'idée d'une série annexe. Le deuxième récit n'est pas franchement palpitant, d'autant que Gaston a la mauvaise idée de voler la vedette à notre groom...

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Plusieurs récits du jeune Franquin, d'un niveau vraiment bon pour un débutant. Mise à part la dernière histoire (trop longue et inintéressante), les deux premières sont bien rythmées avec de bons rebondissements, et la troisième a un style cartoonesque typique des Tex Avery.
La narration a franchement mieux vieilli que la plupart des Tintin de l'époque.

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Une jolie fable écologico-adolescente, 2 thèmes qui me plaisent tout particulièrement. L'idée d'un Spirou jeune retraité passe étonnement bien.