Les meilleurs albums de The Cure selon PeuXeu

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Les brumes d'automne durèrent toute l'année...

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... puis arriva l'hiver. Sombre au coin du feu...

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On imagine mal aujourd'hui la claque underground post-punk que reçu la Perfide Albion lorsque ce Three Imaginary Boys déferla dans les bacs : l'énergie de ce disque, sa cover, son titre ? Wahooo!!!
3 ans après sa sortie, à peine sorti de l'enfance, j'ai demandé à mes 2 meilleurs copains de me rejoindre pour que l'on forme "ces" Three Imaginary Boys, une version locale d'explorateurs de sons nouveaux, d'idées nouvelles, le regard perdu dans l'infini. Contexte : campagne, chemins de terre et la Loire silencieuse en face de nos foyers de bouseux...

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Le 1er disque de l'épique et glaciale trilogie. The Cure ouvre la décennie en allant de l'avant, abandonnant le post-punk pour un son mutant de cold wave écorchée, langoureux, sombre et atmosphérique. Ce disque a du être N°1 à un moment donné dans mon Top rien qu'à moi ! Les classements, ou la primauté de l'incertitude...

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La compile qui résume les premiers pas discographiques d'un jeune groupe post-punk avec une dynamique propre, qui enflamma la Perfide Albion. ESSENTiEL !!!

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Il y avait le Cure qu'on écoutait chez soi, seul où vraiment avec "ceux qui comprennent, tu vois?", et le Cure avec qui on aimait se défouler dehors, dans des boums dans les garages à la con, ce groupe hyper dada et foldingue, en pleine folie créative, mixant les influences, les visuels et les sons, pour redéfinir, innocemment la pop mid-80's.
Cette jolie compile réunit quelques-uns de plus beaux hits de la période - hits qui furent mis en clips et ça vaut vraiment encore le coup d'œil aujourd'hui !

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Grosse bombe à sa sortie, le brûlot a un peu perdu de sa saveur avec le temps. C'est le disque de passage pour The Cure, son entrée dans la cour des grands de l'Industrie (no comment). Après "The Head on The Door", grosse bombe à sa sortie, The Cure deviendra (réellement) mainstream. La définition même de la pop !

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Le paradoxe de la maturité
1989 : Robert Smith fête ses 30 berges, se marie (Mary ?)… et remet tout en question. Alors que le groupe est au sommet, le leader de The Cure entreprend «Desintegration» comme une œuvre totale, quintessence de ses obsessions, de ses angoisses, ses désirs, de sa vision mélancolique, romantique et tourmentée. Le résultat est à la hauteur des ambitions. Desintegration est l’album parfait, une transcendance pop, poétique et sensible.
Peut être un peu trop pour votre serviteur, qui n’a jamais autant aimé les Cure que lorsqu’ils assumaient d’être ce jaillissement, grave ou frivole, léger ou profond comme le temps qui passe. Si vous désirez mieux saisir ce disque-clé, je vous recommande la très belle chronique de Psychedeclic :
https://www.senscritique.com/album/disintegration/critique/9529016

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C'est la surprise de cette fin d'année 2024. Une ode crépusculaire et totalement "curesque" (pas certain du néologisme), qui échappe au temps. Le fait qu'elle sorte aujourd'hui, 47 ans (?) après les débuts du groupe, rend la chose monumentale. C'est comme si The Cure avait sorti "Songs Of a Lost World" juste après "Desintegration", comme le résume Dagrey dans cette superbe chronique :https://www.senscritique.com/album/songs_of_a_lost_world/critique/311933584

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Pas fana de Kiss Me, trop coloré, trop lisse... Cela reste pourtant les des albums des plus gros tubes de The Cure.

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faut pas prendre en compte les notes, hein ?