Les meilleurs albums de The Cure selon idlewoodarian

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Chef-d’œuvre d'épure. Hypnotique et fantomatique. A écouter sur une plage déserte un matin du mois d'octobre sous un ciel totalement gris.

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Un peu inégal car il contient mes deux morceaux préférés du groupe : "Cold" et "A Strange Day", absolument effroyables, mais aussi des morceaux plus quelconques. Mais ce son incroyable, bordel ! Les percussions sont quasiment industrielles.

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L'album PARFAIT à écouter en se complaisant dans son désespoir dans sa chambre. Il faut vraiment s'accorder à sa lenteur léthargique pour que ça marche.

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L'album le plus varié, pop et efficace du groupe, qui y signe une ribambelle de titres imparables, je ne m'en lasse pas.

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Même recette que Seventeen Seconds, malgré un ou deux titres plus pêchus. Contient deux de mes morceaux préférés du groupe : l'instrumental douillet "All Cats Are Grey" et le bien nommé "The Funeral Party".

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Un premier album qu'on a un peu tendance à oublier mais il contient déjà d'excellentes chansons, comme le morceau-titre et "10:15 Saturday Night". Son côté punk et new wave est rafraichissant.

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Une sorte de Disintegration un peu plus mordant et générique, qui passe très bien dans le paysage alt-rock du début des années 90. Toujours très bon et bien efficace, avec évidemment "Friday I'm in Love".

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Un double album qui oscille entre des titres plus post-punk assez sombres et un peu annonciateurs de Disintegration et des délires pop sucrés très fun. Contient leur mégatube "Just Like Heaven" mais il y a vraiment d'autres choses à se mettre sous la dent là dedans.

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Un album boudé par beaucoup mais que je trouve pourtant bien sympathique. Bon c'est sûr, Robert Smith y chante parfois très, très faux, mais son ambiance originale et un peu orientale et ses effusions psychédéliques sont très sympas.

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Les singles du groupe sortis entre 1979 et 1986. Tout y est forcément génial, mais ils fonctionnent mieux dans leurs albums respectifs, surtout pour la première moitié plus post-punk, alors que la seconde complètement pop en offre la facette new wave.

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Trois singles et leurs B-sides enregistrés après Pornography, préfigurant d'une orientation plus pop. C'est toujours un peu bancal, mais il y a toujours des trucs super. "Lament" est une perle cachée.

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Les singles de cette période du groupe fonctionnent mieux dans le format compile, même si ceux de Wild Mood Swings pâlissent en comparaison et que le nouveau morceau est tout simplement bidon.

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La première moitié est vraiment très sympa, surtout avec le tube "The End of the World", mais ça finit de manière assez quelconque.

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Une collection de remixes et de versions allongées qui peut faire office de best of alternatif. Le côté electro et alt-dance '90s est bien sympa même si ça vire parfois au désastre.

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J'ai vraiment de la sympathie pour cet album qui contient deux superbes titres : "This Is a Lie" et "Bare". Les singles sont de petites chansons pop un peu bancales mais plutôt réussi. Un album pas aussi fade qu'il en a l'air.

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Du réchauffé de l'album de 2004, à part deux ou trois morceaux, il n'y a vraiment rien de mémorable.

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Un album qui a la réputation d'être une sorte de suite de Disintegration, pourtant j'ai vraiment du mal à y trouver quoi que ce soit d'intéressant, à l'exception d'un morceau, mais je sais plus lequel. Très poussif.