Les meilleurs animes de 2021 selon Transfohera

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Le fait que ce soit Mappa aux commandes n'enlève rien au fait que chaque épisode est un véritable régale. J'aime absolument tous dans SNK, et la direction que prends l'œuvre dans cette saison est génial. J'ai trop hâte de voir la suite.

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MHA est toujours un vrai plaisir à suivre. L'histoire semble aller vers des conflits moraux assez intéressants, la deuxième partie de cette saison est particulièrement anti-manichéisme. La frontière entre héros et vilain commence à ce brisé et c'est la chose la plus logique à faire dans une histoire de ce genre. Hâte de voir où Kohei Horikoshi va nous mener !

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Ne connaissant absolument pas "Le Dit des Heike", j'ai naturellement eu peine à suivre l'histoire. Mais c'était sans compter le talent de mise en scène de Naoko Yamada, qui, malgré la complexité de l'histoire arrive à nous accrocher au récit. C'est quand un personnage confère à l'épilogue avoir vécu là toutes les pires tragédies qu'un être humain puisse vivre, que l'on se rend compte de l'ampleur de ce que la narratrice nous a raconter.

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Ranking of Kings est une vraie claque.
Tous les personnages sont très bien développés et malgré un milieu de saison pas très bien rythmée, l'histoire n'en demeures pas moins captivantes. Evitant avec brio les travers classiques de ce genre d'histoire, ce petit conte devient sans crier gare une grande leçon de vie.

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Miroir total de la première saison dans sa bonne humeur, j'en veux plus pitié.

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Encore une fois, une démonstration graphique absolument exceptionnelle. Ufotable met la barre tellement haute en matière de mise en scène lors du combat de cette saison qui s'étale sur presque 6 épisodes. L'animation reste toujours un bonheur pour les yeux, comme pour la première saison et le film. Malgré ça, je n'ai pas retrouvé ce que j'avais vraiment apprécié sur la première saison. Le scenario n'avance que très peu, ça traine un peu en longueur. En espérant que la saison 3 sera un peu mieux à ce niveau !

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Je l'avais un peu sentie venir, cette première saison de Shadows House a été une très bonne surprise. L'univers est très attirant, un style européen particulièrement bien réussi sans en faire des caisses mélangées à un contexte intrigant et audacieux.

C'est particulièrement le synopsis qui m'avait fait de l'œil, ventant les interrogations existentielles d'une poupée à l'apparence humaine et ce point est très bien traité. Toujours sans en faire des caisses, le ton alterne entre le sinistre et le comique et développe bien tous ces personnages. J'ai juste peur que l'animé se cantonne à cette première saison sans adapter la suite, car malgré la fin bricolée on sent vraiment que ce n'est que le début de ce que l'auteur a voulu construire.

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Un animé passionnant à suivre dans cette saison assez pauvre en révélations. Vivy explore le concept de voyage temporel de façon très original et intelligent. Wit Studio délivre dans cette œuvre original tout son talent en livrant des scènes d'action extrêmement bien animé et de très jolie plans (notamment les yeux qui sont super bien faits).
Je regrette juste une fin pas vraiment en accord avec mes attentes étant un peu trop abruptes, quelques épisodes de plus pour développer le tout n'auraient pas été de refus.

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Après un premier épisode captivant, To Your Eternity livre une histoire riche en émotion. J'ai beaucoup aimé les relations entre Imm et les autres personnages, on sent que Imm apprend petit à petit ce que ça veut dire d'être humain par une succession de petits moments, ce qui est d'autant plus cohérent avec son ennemi naturel qui les lui enlève.

La seule grosse tache noire c'est la réalisation qui baisse un peu en qualité, l'animation et le soin du détail laisse à désirer sur certains épisodes et ça se ressent beaucoup.

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Sans jamais ne serait-ce qu'effleuré les qualités narratives des romans, cette "suite" c'est finalement révélé assez divertissante. Elle est aussi assez bien tombée car ayant juste fini les romans l'année dernière et étant en pleine lecture d'Umineko lors de sa diffusion j'ai pu pleinement apprécier toutes les références et j'avoue que le dernier épisode m'a bien ému !

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Slime s'est un peu mon péché mignon. L'histoire est simple, ça ne vole pas haut et pourtant j'ai toujours envie de voir le prochain épisode. Je sais pas, il y a un côté ultra satisfaisant à voir évoluer la ville Tempest et voir un pauvre slime gagné toujours plus de puissance. Aussi, cette saison laisse beaucoup plus de place à la parole, la politique devient vraiment un enjeu et c'est aussi très appréciable, ça change de l'action même si ça se coute par une certaine lenteur.

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Un univers super intéressant mais qui peine à exploiter son plein potentiel. Le contexte politique est assez mal exploité, ça manque de subtilité dans les messages transmit mais l'animé parvient à faire de l'excellent développement de personnage. Une chose que j'ai particulièrement bien aimé, et qui sauve beaucoup de passage, c'est la mise en scène qui accentue de manière extrêmement intelligente les relations entre les personnages.

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Très probablement ce qui restera ma plus grosse déception de l'année, Wonder Egg Priority est pleins de bonnes intentions mais vire à la surdose de thème jusqu'à en devenir imbitable. L'animation et la réalisation sont excellentes mais le scénario, malgré beaucoup de bonnes idées, part dans tous les sens et n'arrive pas à une conclusion satisfaisante.

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Une deuxième saison toujours aussi appréciable mais qui a un peu perdu du charme qu'avait la première saison. Le fait que l'intrigue se concentre plus sur la confrontation idéologique de Senkû et Tsukasa fait perdre beaucoup à l'animé selon moi. Pas que cette relation est ratée mais la confrontation ne s'inscrit pas dans l'esprit de l'animé et ça se ressent grandement par un ton dramatique forcé très peu convaincant.

J'ai malgré tous très hâte de voir la prochaine saison qui va, je l'espère, plus ce concentré sur ce qui fait sa force : la beauté de la science !

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Une réalisation exceptionnelle, des musiques de Yuki Kajiura et une animation très épurée et fluide. Tout cela mit au service d'un scénario classique saveur réchauffé avec comme unique but de divertir. La fin donne un sentiment d'inachever, tout va trop vite et pourtant l'onirisme de la réalisation suffit à en garder un bon souvenir.

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Malgré un fan-service à la limite du déraisonnable et un protagoniste insupportable, cet animé s'en sort plutôt bien par son animation excellente et en proposant un développement de personnage assez osé à certains moments de l'histoire. L'univers est crédible et l'atmosphère générale est vraiment très réussite.

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J'y croyais moyens et je ne me suis pas trop trompé car "Remake our Life !" ne va jamais plus loin que les codes qu'il respecte à la lettre. Il ne prend même pas la peine de nous expliquer l'inexplicable. Malgré tous, il y avait quand même quelques petites touches sympathiques, notamment sur la notion d'amitié, qui m'ont fait rester jusqu'à la fin. Peut-être pas au point de regarder la probable saison 2 en revanche.

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Attiré par un synopsis intéressant, je ressors de cette première saison quelque peu déçu. Le concept ne manque pourtant pas d'intérêt mais c'est tellement mal exécuté que s'en est tordant. On aurait pu croire à un contexte politique développé avec des enjeux palpitants, des sujets durs évoqués, des tensions politiques à l'image d'un "Les 12 royaumes". Au lieu de ça, on se tape un énième harem, qui le crie sur tous les toits car, vous comprenez, au moyenne âge s'est bien vu d'avoir plusieurs femmes quand on est roi.

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Agréable à regarder, "The World's Finest Assassin Gets Reincarnated in Another World as an Aristocrat" est un énième animé Isekai assez pauvre scénaristiquement mais très fun. Il aura le mérite d'aborder certains sujets assez durs, pas toujours dans la plus grande des finesses hélas.

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Après bien des luttes, j'ai finalement réussi à venir au bout des 12 épisodes de Bishounen Tanteidan. Le début était pourtant tellement prometteur, on retrouvait tout ce que j'adore dans la mise en scène de Shinbou Akiyuki et le côté théâtral m'avait convaincu. Seulement, passé les 3 premiers épisodes, l'intrigue peine à se renouveler et aucune mise en scène, aussi bien faite soit-elle, ne peut sauver l'ennui.