Les meilleurs comics Green Lantern selon Titanium3819

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Pour tous ceux qui souhaitent entrer dans l'univers de Green Lantern, voici le meilleur point de départ possible. Ce sont les origines du personnage actualisées par Geoff Johns, l'auteur qui a fait de la franchise un best-seller et la locomotive de l'univers DC à la fin des années 2000. Beaucoup des éléments du film controversé avec Ryan Reynolds viennent de cette histoire, mais pour ceux qui n'ont pas aimé les film ça passe beaucoup mieux en version papier que sur grand écran.

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Geoff Johns a écrit un long run sur le personnage qui commence ici (si on compte GL: Rebirth à part puisque publié un peu en amont du bloc continu qui débute avec ce tome). C'est l'auteur idéal pour appréhender cet univers, puisque non seulement il l'a propulsé sur le devant de la scène, mais en plus il a largement développé toute la mythologie autour des anneaux et du spectre de couleur en créant les autres corps de Lantern. Indispensable pour tous les lecteurs de Green Lantern.

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Rien à voir avec les dernières séries en date de l'univers DC qui sont estampillées Rebirth aussi, Green Lantern Rebirth marque la renaissance d'Hal Jordan sous le masque de Green Lantern après avoir été longuement remplacé par Kyle Ryner et les autres. On peut le lire comme un point d'entrée sur le personnage, mais il fait référence à tout un historique de la vie éditoriale du personnage qu'il vaut mieux s'être approprié un minimum avant. Il faut le lire avant d'enchaîner sur le reste du run de Geoff Johns (exception faite de Secret Origins qui peut évidemment se lire avant).

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Je le met un peu à part du reste du run de Geoff Johns (alors qu'il en fait partie intégrante) pour la simple raison que Blackest Night a une portée bien plus vaste que l'univers de Green Lantern seul. C'est pratiquement une Crise à part entière de DC, comme on peut dire que Flashpoint - un événement porté par Flash - l'est aussi. Avec ce récit, l'éditeur a réussi à habilement conjuguer la mythologie du personnage avec la mode des Zombies qui faisait fureur à l'époque grâce à Walking Dead. Il vaut mieux le lire dans la continuité du reste de ce que l'auteur a fait, mais on peut s'en passer si vraiment on ne souhaite lire que Blackest Night. La suite directe (Brightest Day) est beaucoup plus centrée sur le reste de l'univers DC que sur Green Lantern donc je ne la fais pas figurer ici.

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Emerald Twilight est un passage indispensable de la carrière éditoriale de Hal Jordan, au même titre que la Mort de Superman ou Knightfall pour Batman. D'ailleurs il intervient à peu près à la même époque que ces derniers et est même une conséquence directe de la Mort de l'homme d'acier (dont on peut recommander la lecture au passage). Dans cette série, Hal Jordan pète les plombs et fusionne avec l'entité de la peur pour endosser l'identité de Parallax, un super-vilain surpuissant qui le conduira à la ruine. On y retrouve aussi New Dawn, le récit d'introduction de Kyle Rayner, le remplaçant de Hal sous le masque, ainsi que leur face à face se déroulant pendant Zero Hour (qu'il faut idéalement lire avec du coup).

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Déjà proposé dans mon top de la Justice League en tant que Crise majeure de l'univers DC, Zero Hour est en réalité d'autant plus indispensable pour ceux qui veulent suivre l'évolution d'Hal Jordan après Emerald Twilight. C'est dans cette série que l'opposition de Parallax avec le reste de l'univers DC est racontée.

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Puisque Zero Hour figure ici, il faut obligatoirement que Final Night y soit aussi. Toujours dans la logique de suivre l'évolution de Hal entre Emerald Twilight et Rebirth, Final Night est le récit de la rédemption du héros après sa folie meurtrière. Indispensable.

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Emerald Dawn a été un peu mis aux oubliettes par le passage de Geoff Johns sur la licence, comme Man of Steel de John Byrne a pu l'être de la même façon. C'est néanmoins le récit des origines de Green Lantern post-Crisis on Infinite Earths, et à ce titre il est toujours intéressant de le lire pour les amateurs du Modern Age de DC.

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Suite directe de Emerald Dawn, le deuxième volet de cette saga développe pas mal la relation entre Hal et Sinestro quand celui-ci faisait encore partie du Corps des Green Lantern. Il est donc intéressant - mais pas indispensable - de le lire pour compléter le run de Geoff Johns dans lequel Sinestro forme son corps de Yellow Lanterns renégats.

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Unis par la même couleur, Green Lantern et Green Arrow sillonnent l'Amérique dans un long road-trip visant à aller au contact des nombreux problèmes sociaux qui la rongent. Cette série culte fut l'une des premières à traiter de manière frontale de thèmes comme le racisme ou la drogue. Largement en avance sur son temps vis-à-vis de ses thématiques, alors que beaucoup ne voyaient les récits de super-héros que comme des intrigues débilitantes et bas-du-front. C'est ici que se trouve la première apparition du Green Lantern noir James Stewart.

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Bonus: Beaucoup de terriens ont porté l'anneau et le masque de Green Lantern: Alan Scott, Hal Jordan, James Stewart, Guy Gardner, Kyle Rayner et enfin le duo Simon Baz / Jessica Cruz. Cette série est un team-up entre les deux derniers qui doivent collaborer ensemble alors qu'ils partagent une même lanterne commune afin de démontrer à Hal Jordan qu'ils sont dignes de porter l'anneau. Les deux personnages sont vraiment attachants dans leurs faiblesses respectives et vivent des aventures dans la continuité du run de Geoff Johns sur Green Lantern en affrontant entre autre les Red Lantern ou Volthoom. Je me suis arrêté à la fin du run de Sam Humphries et c'était vraiment sympa comme lecture, surtout publié à petit prix dans des numéros kiosque (ça vaut peut-être moins la peine en relié à prix fort si ça sort un jour).