Les meilleurs films Astérix selon Aegus

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L'intelligence de cette adaptation est d'avoir perçu le potentiel dramatique, surréaliste et humain des BD, par delà l'humour et les références. De ce fait, le coup du menhir est probablement l'œuvre avec la proposition la plus radicale et, de mon point de vue, celle avec l'identité la plus marquée. Pourtant, j'ai retrouvé certains de mes passages humoristiques préférés du combat des chefs et du devin, mais dans un nouveau schéma narratif, ce qui donne le sentiment de voir un vrai film, ayant ingéré les albums et exploité leur potentiel!

A souligner le travail incroyable sur Prolix, en terme de d'animation, de mise en scène et de voix par le trop peu présent Julien Guiomar.

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A se tordre de rire, peu importe l'âge!!

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Superbe adaptation, tant du point de vue de l'animation que du doublage.

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Astier et Clichy aux manettes rendent enfin à Astérix ses lettres de noblesse. Une adaptation peut-être un rien moins ambitieuse narrativement que les précédentes mais avec une vraie personnalité, un propos de fond travaillé, de même qu'un sens du gag et de l'action qui donne véritablement l'impression de voir la BD prendre vie sous nos yeux. Que ce soit ce moment où le centurion traverse une tente, les Gaulois tenter la vie à la romaine ou le coup des "arbres express", tout témoigne d'une compréhension de l'Univers, dans un format permettant d'exploiter la pleine mesure de ses capacités.

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Très honnêtement, on est face à une véritable leçon cinématographique en terme d'adaptation! Chabat ne s'est pas contenté de suivre scrupuleusement le texte de Goscinny et les dessins d'Uderzo. Il a eu l'intelligence de réfléchir au moyen de retranscrire les émotions ressenties par le lecteur, , quitte à faire des entorses à l'histoire de base, avec pertinence et respect. Cela fait de "Mission Cléopâtre" un modèle en terme d'adaptations de BD en live, aux cotés du Spider-Man de Sam Raimi ou du Hellboy de Guillermo Del Toro. Pourquoi est-il si bas dans ce cas? Comme souvent avec Chabat, que ce soit en film ou à la TV, même en voyant toutes les bonnes intentions (notamment celle d'offrir un divertissement de bonne qualité en rendant hommage à la BD), reste une sentiment d'artificialité, un manque de cachet et de personnalité, comme si on était plus face à un enchainement de sketchs qu'une histoire avec sa dramaturgie. Cependant, bravo quand même, M. Chabat!

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Un film de son époque, qui ne vieillit pas extrêmement bien mais qu'on prend quand même énormément de plaisir à voir et à revoir pour la bonne humeur qui s'en dégage, notamment grâce à ses bons mots, son foisonnement d'idées visuelles (qui vire parfois au trop plein) et pour son doublage 5 étoiles. (Micheline Dax en Cléopâtre, excusez du peu!)

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Comme quoi, une fois mais pas deux. Un film que j'aime pour tout ce qu'il entreprend mais qui déçoit à l'arrivée. Pourtant, le méchant est génial (le travail sur la voix, le design et la mise en scène est incroyable), les multiples couches dans l'écriture rappelle un bon Pixar ou un bon Don Bluth. Malheureusement, trop d'ambitions qui ne parviennent pas à se frayer un chemin, peut être la faute à un foisonnement trop conséquent d'intrigues et de personnages. Dommage...

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Un vrai brouillon narratif, avec visiblement des velléités trop grandes pour l'animation française de l'époque. Néanmoins, le film est sauvé par quelques scènes de la BD fidèlement retranscrites, dont on voit que les frères Brizzi ont perçu le potentiel, de même que quelques changements bienvenus, notamment l'évasion de Tragicomix et Falbala du camps romain.

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Astérix c'est pas Disney! Hormis sa très bonne animation de même que la satisfaction d'entendre Laurent Deutsch sur Goudurix et Jacques Frantz sur Obélix, on a plus l'impression de voir un téléfilm disney channel qu'une aventure de notre gaulois favori... Et pourquoi appeler ce film "les vikings"? Avaient-ils peur que les "normands" soient pas assez bankable à l'international (tousse... Robert Egger... Tousse)?

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Si on n'omet une scène de danse malaisante et une intrigue amoureuse embarrassante, le film est regardable en tant que simple plaisir enfantin, tout comme l'album dont il est tiré. La prémisse est sympa, le concept se tient mieux que dans la BD et l'humour fonctionne.

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Je pourrais dire beaucoup de chose sur ce qui ne va pas dans cette adaptation, mais une phrase résume tout: JE SUIS UN MARCHAND DE BOEUF VRAIMENT TRES MALHEUREUX!!! (ceux qui l'ont vu savent que cette minute de chant fait vieillir de 30 ans!)

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Rien à sauver si ce n'est les décors et environnements, et surtout le casting très bien choisi et bon dans l'ensemble (hormis Christian Clavier, Michel Galabru et Roberto Benigny complètement perdus dans ce film) :Mention spécial à Claude Piéplu en Panoramix (parfait), Slim en Agecanonix, de même que Gottfried John né pour jouer César!

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Faire une superproduction, c'est pas donné à tout le monde visiblement! A croire qu'il faut d'abord penser à un script avant de "dépenser sans compter". Le film serait presque acceptable sans ce final INTERMINABLE!
Reste que, pour le temps qu'il est présent à l'écran, Cornillac est l'acteur parfait pour jouer Astérix (dommage qu'il soit un second rôle à sa propre histoire :/ )

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Laurent Tirard est l'illustration parfaite de ce problème du cinéma français à confondre "ambiance bon enfant" et "vision dépassée du monde". Il n'y a pas de mal à avoir un coup de nostalgie d'une époque où le monde était plus simple, plus "normé". Le problème est qu'à confondre "détente sans prise de tête" et véritable mesquinerie à l'encontre des jeunes, de mai 68, des anglais, etc... On a juste envie de balancer un bon gros: "OK Boomer!"

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La vache, mais c'est NUL!
-Qu'est-ce que j'vous disais?
-Non mais vous, vous m'disiez: c'est nul. D'accord mais là c'est affligeant: y'a RIEN!