Les meilleurs films avec Jean Dujardin selon QuentinBombarde

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Jean Dujardin ajoute un autre grand metteur en scène à sa filmographie. devant la caméra de Roman Polanski, où il incarne le Colonel Marie-Georges Picquart, pris dans l'engrenage d'une vérité qui révélera le vrai visage d'une administration étouffée sous les symboles.

Derrière la mise en scène brillamment écrasante de Roman Polanski, une vérité étouffée sous les symboles et les apparences respectables étouffantes.

La maestria de l'infinie simplicité du metteur en scène laisse briller des acteurs étouffés par leurs grades où leurs conditions qui étoufferont leur vraie nature pour qu'elle ne puisse se révéler que dans le sang et la violence. Un film implacable et prenant, virtuose de simplicité.

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Dujardin est l'alter-ego de Beigbeder aka Octave dans une adaptation fidèle qui dépasse même quelquefois le livre. Jan Kounen livre un film délirant, véritable déclaration de guerre à la publicité dans un brûlot jouissif ou Dujardin épate.

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Dujardin est Hubert Bonisseur de la Bath aka OSS 117 dans ce qui restera la prestation la plus mémorable de sa carrière. Imbécile heureux de luxe, ce second volet pousse le curseur plus loin à tous les niveaux et Dujardin trouve ici la place idéale pour rendre hommage à son modèle Bébel.

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Dujardin endosse le costume d'OSS 117 et l'évidence éclate. Génialissime, il croque la pellicule devant la caméra d'un Hazanavicius au pastiche très inspiré. Des répliques cultes, des dialogues aux petits oignons, un vrai régal d'humour et d'intelligence.

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Dupieux signe son film le plus modeste et le plus personnel. Dépouillé de la plupart de ses habits d'étrangeté, le film mêle humour absurde dans un auto-portrait noir et grinçant d'un artiste qui se regarde jusqu'à la déraison.

Et évoquer cette chose douloureuse qu'est la création et ces spectateurs qui se l'approprient jusqu'à la déraison.

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Dujardin retrouve Hazanavicius dans ce qui clôt leur apogée artistique de l'époque. Collaboration acclamée jusqu'aux Oscars, le duo, outre de signer un
objet cinéphile amoureux et parfaitement maîtrisé, nous peint le portrait d'un artiste qui n'entend que lui.

Au sommet de sa gloire ou perdu dans l'oubli, George Valentin devra aller aux tréfonds de son âme pour comprendre l'évolution d'un art qu'il ne reconnaît plus. Formidablement interprété par Jean Dujardin et Bérenice Béjo, l'amour du cinéma transpire dans ce film fétichiste à la gloire d'un cinéma immortel.

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Dujardin est Charles Faulque, un écrivain alcoolique dont le cancer, interprété par un Dupontel mordant et cruel, vient rendre visite. Dujardin/Blier, ça faisait rêver, et c'est chose faite, dans un film noir et mordant où le réalisateur renoue avec sa superbe.

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Si Gilles Lellouche a du mal à convaincre en Gaetan Zampa, Dujardin est investi et classieux en juge Michel, convaincant et touchant de bout en bout. Jimenez offre un film classique, travaillé et documenté, qui s'il ne marque pas vraiment, emporte par sa propreté et son professionnalisme.

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Dujardin, après sa collaboration avec Blier, rencontre Claude Lelouch. Si le film avait tout d'un mélo dégoulinant, il n'en est pas. Film sensible, où le duo paraît naturel, il propose, en plus d'un joli voyage, une jolie rencontre.

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Dujardin, après un retour à la comédie "populaire" dans son rôle de Brice et deux collaborations pas très mémorables avec Laurent Tirard, rencontre enfin Délépine et Kervern. Si le film est un de leurs plus faibles, Dujardin y excelle en Jacques Pora, cinquantenaire branleur se rêvant patron, jusqu'au boutiste et impliqué.

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Dujardin & Huth ; première. L'acteur incarne à l'écran un de ses personnages de one-man show dans un délire coloré et inattendu, qui deviendra plus tard un ovni culte et véritable coup de cœur chez l'adolescent de l'époque que j'étais. La musique de Bruno Coulais, ses répliques et ses personnages, Dujardin livre une prestation de crétin parfaitement réussie et jusqu'au boutiste.

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Deuxième collaboration avec Laurent Tirard où Dujardin aurait pu endosser le rôle d'un escroc magnifique, manipulateur et séducteur de première catégorie, et en costume s'il vous plaît. Il n'en est cependant rien, et Dujardin tente de retrouver sa superbe, dans un film fragile où tout ne fonctionne pas.

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Dujardin en homme de petite taille tombe sous le charme de Virginie Efira. Si le duo aurait pu créer des étincelles, ici ce n'est pas le cas, dans une comédie romantique banale où jamais rien n'étonne que son concept, qui s’essouffle vite à cause de son manque de surprise.

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Contre-Enquête est un policier télévisuel où la performance de Jean Dujardin paraît trop artificielle. Sous-dirigé, sous mis en scène, le film ne vaut que pour sa fin, froide et intéressante.