Les meilleurs films avec Jean Gabin selon abscondita
10 films
créee il y a plus de 2 ans · modifiée il y a 22 joursLes Misérables (1958)
3 h 37 min. Sortie : 12 mars 1958 (France). Drame
Film de Jean-Paul Le Chanois
abscondita a mis 8/10.
Mélodie en sous-sol (1963)
1 h 58 min. Sortie : 19 mars 1963. Policier, Drame, Romance
Film de Henri Verneuil
abscondita a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
La Traversée de Paris (1956)
1 h 20 min. Sortie : 26 octobre 1956. Comédie dramatique, Historique
Film de Claude Autant-Lara
abscondita a mis 8/10.
Archimède le clochard (1959)
1 h 25 min. Sortie : 8 avril 1959 (France). Comédie
Film de Gilles Grangier
abscondita a mis 8/10.
Le Clan des Siciliens (1969)
2 h 02 min. Sortie : 1 décembre 1969. Policier, Drame
Film de Henri Verneuil
abscondita a mis 8/10 et a écrit une critique.
Le cave se rebiffe (1961)
1 h 38 min. Sortie : 26 août 1961 (France). Comédie, Policier
Film de Gilles Grangier
abscondita a mis 8/10.
Annotation :
Jean Gabin, passé un certain âge, ne voulait plus quitter la Normandie où il avait sa principale résidence, sa ferme. Lorsqu'on lui annonce qu'il va devoir tourner des scènes du Cave se rebiffe en Amérique du Sud, l'acteur menace de quitter le projet. Le tournage a donc eu lieu en Normandie, où quelques plantes vertes font office de décor censé rappeler le pays des incas.
Touchez pas au grisbi (1954)
1 h 36 min. Sortie : 17 mars 1954. Drame, Film noir
Film de Jacques Becker
abscondita a mis 8/10.
Annotation :
C'est le film qui a relancé la carrière de Gabin après 15 ans d'éclipses. Il a initié le second âge d'or de l'acteur. Il a joué dans la carrière de l'acteur le même rôle que Pépé le Moko qui a lancé le premier âge d'or.
Deux hommes dans la ville (1973)
1 h 37 min. Sortie : 25 octobre 1973. Drame, Policier
Film de José Giovanni
abscondita a mis 8/10.
La Grande Illusion (1937)
1 h 53 min. Sortie : 4 juin 1937. Drame, Guerre
Film de Jean Renoir
abscondita a mis 8/10.
Annotation :
"Gabin était au maximum de sa forme. Il était heureux, épanoui, avec un magnifique instinct de son métier. Il exigeait dans les gros plans qu’un petit projecteur éclaire ses yeux pour qu’ils soient bien clairs.
C’était drôle de le voir en face de Fresnay. Gabin était chaleureux. Il tutoyait tout le monde. Fresnay était plutôt froid, distant, très protestant." (Françoise Giroud: scripte sur le tournage)
Elle raconte encore que Renoir disait toujours qu’il fallait « laisser la porte ouverte sur le plateau ». Il consultait son scénario d’un œil distrait pour mieux lui faire des infidélités. Ce qui est une très bonne manière de faire tourner Gabin, puisque l’improvisation le libère de scènes qui pourraient paraître artificielles.
Un singe en hiver (1962)
1 h 45 min. Sortie : 11 mai 1962 (France). Comédie dramatique
Film de Henri Verneuil
abscondita a mis 7/10.
Annotation :
"— (...) Dès que Belmondo est arrivé, Gabin et lui étaient tous les deux sur des fauteuils, l’un à côté de l’autre. Comme Gabin ne parlait pas, Jean-Paul respectait son silence et il ne parlait pas non plus. Gabin a dû lui adresser la parole une fois, à cause des répétitions. J’ai connu Belmondo sur d’autres films où il était plus extraverti, plus farceur. Sur celui-là, il était plus réservé, car il respectait infiniment Gabin qui l’impressionnait. Il mesurait la chance qu’il avait de jouer avec lui. Il avait le souci de faire le poids. Avec une telle personnalité, il pouvait craindre d’être estompé complètement par Gabin, de disparaître. Il était très motivé pour faire le mieux possible et, en même temps, avec une simplicité qui ressemble à Jean-Paul." (Jean-Claude Pinoteau, assistant de Verneuil)
Jusqu’au jour où Belmondo demande à Gabin s’il peut échanger son Paris-Turf contre son Équipe. La glace est brisée, et, à l’image de leurs personnages, ils nouent assez vite une relation d’amitié et d’admiration mutuelle.
"Brusquement, un jour, Gabin m’a parlé avec une chaleur retenue que j’ai prise pour celle de l’amitié et je ne me trompais pas. Visiblement, il m’aimait bien. Mieux que ça. Nous sommes devenus de grands copains. Il a déclaré à tous les journalistes de passage que j’étais son successeur et que j’aurais pu tenir ses rôles d’avant-guerre aussi bien que lui." (Belmondo)