Les meilleurs films brésiliens selon CORPS-ANTI

Annotation :

C'est l'histoire du Brasil, et le Brasil forcé à prendre le chemin de l'Histoire — et c'est aussi une histoire ignorée du cinéma, de sa violence, du montage, de sa mise en scène, etc.

Annotation :

En docu, la trilogie de V. Carelli, c'est tout pour moi : Corumbiara, Martírio & Adeus, Capitão : si tu t'intéresses un peu aux peuples autochtones, à leur survivance aux attaques perpétuelles des blancs, à la transmission de leurs savoirs, etc.
Son projet Vídeo nas Aldeias commencé dans les années 80 d'aller donner aux peuples autochtones caméras et moyens de montage pour faire leurs propres films est phénoménal

Annotation :

Elle est trop parfaite regardez tous ses films (VOD, etc.). Il y a des portraits fascinants, des films plus intimes, des docs visuellement hyper-inventifs et ce film, là, qui est un peu un Lav Diaz brésilien en mieux.

Annotation :

La Dolce vita, mais à la brésilienne (avec un acteur principal noir dans un pays raciste).
[Ce que je veux dire c'est que c'est très brésilien, mais qu'il y a toutes ces déambulations/rencontres, comme dans le Felloche.]

Annotation :

Je recommande au moins les onze premières minutes du film — pas forcément plus, parce qu'il y a une histoire qui s'impose et traîne un peu en longueur — ; on dirait Il est difficile d'être un Dieu, mais dans le sertão, avec une touche d'expérimentations formelles bien kiffantes.

Annotation :

Continuation du projet Vídeo nas Aldeias.

Annotation :

E. Scola & P. P. Pasolini fellinibrasilianisés.

Annotation :

L'accomplissement de beaucoup — sujets brésiliens, questionnés brasiliennement — avec des moyens qui semblent minimaux ; ce qu'il faut d'effets pour faire exploser la réalisation en huis-clos.

Annotation :

Documentaire sur la condition raciale au Brasil, avec l'acteur principal de Compasso de Espera à la réalisation.

Annotation :

Vivre sa vie, version Brasil.

Annotation :

Film de pandémie : début, suite et fin.

Annotation :

Les documentaires sur les Brésils de G. Sarno ; ici, un documentaire en train de se faire, un film à réfléchir. Là (Iaô) la survivance afro-brésilienne de traditions ancestrales, ou encore (Dramática Popular) les traditions du Nordeste.

Annotation :

Paroles de putes. Ce serait bien que tout le monde entende ça.

Annotation :

Très chaos. Pas loin de la première vague R. Sganzerla.

Annotation :

La justesse de l'adaptation d'une des plus grandes autrices mondiales. Pas pour tous les cœurs.
Clarice Lispector a quelque chose de M. Blanchot et de T. Bernhard…

Annotation :

Film le plus coloré du monde, à égalité ave Lola Montès. (Ça donne une idée du déluge de spectacle qui se déroule une fois par an et que les images, croyez-moi, peuvent difficilement retranscrire : https://youtu.be/uD4yOu4j1jU )

Annotation :

Genre de film : pré-&-post-metaverse

Annotation :

Cas d'école.

Annotation :

Genre : film d'artiste.

Annotation :

Des films comme ça on en voit pas tous les jours, hein.

Annotation :

Man with the Wild

Annotation :

C'est bon, vous le connaissez déjà. Il représente très bien ce qu'il représente (un réalisateur blanc filmant les brésilien'nes de l'une des villes le splus riches du Brasil).

Annotation :

Dans la périphérie, la réalité dépasse la fiction — mais le film ne s'arrête pas.

Annotation :

Linn da Quebrada, déjà-personnage, mais que le documentaire parvient à suivre ne extrême promiscuité.

Annotation :

Genre : docu stylisé.

Annotation :

Sur le mouvement des sans toit (MTST — un des grands mouvements sociaux du Brasil).

Annotation :

non-monogamie ♥