Les meilleurs films coup de poing selon Skyler-m

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Le destin de ces femmes : amputé, détruit. Des femmes impuissantes, enfermés pour être femme, pour des raisons révoltantes, et qui se meurt à petit feu. Ou est l'espoir pour elles ? Je crois que ce qui met resté le plus en travers de la gorge c'est le texte de fin, qui explique que ce genre de "laverie-couvent" existait vraiment et que le dernier a fermé au début des années 90.
Je crois que je ne me remettrais jamais de ce film.

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Les bêtises, les erreurs d'un gamin. Un être mal aimé. Antoine Doinel, la fougue de la jeunnesse et la gravité qui apparaît parfois sur son visage. Ces moment de joie, de folie, d'enfance, entrecoupé par le poids qui s'accumule sur les épaules de ce jeune garçon.
Cette scène face à la psy... Cette dernière course, vers la mer...

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Face à ce que subit cette gamine, nous, spectateur impuissant. Révolté de ne pouvoir agir, de ne pouvoir rien faire pour elle. Ce n'est qu'un film. Mais un film qui évoque une réalité insoutenable.

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Un film qui met horriblement mal à l'aise. Comme un invité de cet anniversaire, on aimerait que ce qui est dit soit faux, on aimerait partir, mais on ne peut pas, on est mal, on se sent bizarre.

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Cet homme qui devient fou, ou qui ne devient pas fou. On ne sait pas. Il ne sait pas. Il doute et on comprends à un moment à quel point il a raison de s'inquiéter. Et cette paranoïa qui contamine tout... La paranoïa du monde d'aujourd'hui, la folie de chacun d''entre nous.

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Une musique qui perce le coeur, la beauté des images, le fond d'une histoire tragique, qui finit en demi teinte. Un message qui me touche, parce qu'il est noir mais qu'il a des lueurs d'espoir. Parce qu'il y a San et parce qu'il y a Ashitaka.

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J'ai rarement était autant cloué à mon siège, j'ai vécu la passion, l'acharnement, la lente folie destructrice d'Andrew, insufflé, rabâché, par ce tortionnaire, ce tyran, ce perfectionniste de Fletcher. La folie de la musique, de la perfection, du dépassement de soi, du brio. Et mon dieu ce final, qui m'a happé, duquel je ne pouvais plus sortir, avec les yeux en larme sans comprendre pourquoi. Trop touché par l'intensité surement. Je n'ai pas voulu me relever après ça, pas voulu parlé. J'avais juste envie d'être enfermé dans cette scène, en boucle infinie.

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Le destin de ce môme, de ce gamin, que la loi et la prison a brisé à jamais. Et ces matchs de baseball qu'il se rappel.
Il faut que je le revois encore une autre fois !

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Elis, ce gamin qui a envie de croire à l'amour, qui a envie de croire en cet homme. Sa vie part en vrille et il se raccroche en ce qu'il croit et il se donne corps et âme. Pour être finalement déçu ?

Annotation :

Le bonheur de cet homme, la vie de cet homme, qui vole en éclat. Il n'a plus rien à perdre, plus rien à quoi se raccrocher. Il sombre, tout entier.