SensCritique
Cover Les meilleurs films de 1968

Liste de

47 films

créee il y a environ 6 ans · modifiée il y a 9 jours

La Party
7.3
1.

La Party (1968)

The Party

1 h 39 min. Sortie : 13 août 1969 (France). Comédie

Film de Blake Edwards

Homdepaille a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Il était une fois dans l'Ouest
8.5
2.

Il était une fois dans l'Ouest (1968)

C'era una volta il West

2 h 55 min. Sortie : 27 août 1969 (France). Western

Film de Sergio Leone

Homdepaille a mis 8/10.

Kill, la forteresse des samouraïs
7.7
3.

Kill, la forteresse des samouraïs (1968)

Kiru

1 h 55 min. Sortie : 21 juin 1968 (Japon). Comédie, Drame, Arts martiaux

Film de Kihachi Okamoto

Homdepaille a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

L'Étrangleur de Boston
7.5
4.

L'Étrangleur de Boston (1968)

The Boston Strangler

1 h 56 min. Sortie : 30 octobre 1968 (France). Policier

Film de Richard Fleischer

Homdepaille a mis 8/10.

La Nuit des morts-vivants
7.4
5.

La Nuit des morts-vivants (1968)

Night of the Living Dead

1 h 36 min. Sortie : 21 janvier 1970 (France). Épouvante-Horreur

Film de George A. Romero

Homdepaille a mis 8/10.

La Mafia fait la loi
6.8
6.

La Mafia fait la loi (1968)

Il Giorno della civetta

1 h 52 min. Sortie : 7 mai 1969 (France). Thriller, Policier, Drame

Film de Damiano Damiani

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Contrairement à Petri dont j'ai bien aimé sur le coup son film de dénonciation politique mais que j'ai laissé sans suite, Damiani me passionne. Il a une folie qui fait se côtoyer un récit sec à l'absurde.
Comme la fin ici : les mafieux arrivent sur le balcon un par un comme un rappel sur scène pour se faire applaudir, mais le triomphe du chef se transforme en dégoût (sur une musique joyeuse) quand il comprend son appartenance aux minables, les quaquaraquà comme il les appelle, ceux qui rigolent en observant leur nouvel ennemi à l'air mollasson dans le commissariat face à eux.
https://youtu.be/WCfTcnLTl9k?feature=shared
Belle idée tout le long du film du face à face au milieu du village des mafieux truculents, loin du romantisme américain, au soleil et du policier retranché à l'ombre. Inversion Sicilienne des valeurs. Damiani exploite toutes les mécaniques d'intimidation et scrute le silence sicilien (bien alourdit par le soleil) surtout avec Cardinale victime d'une rumeur infondée pour la décrédibiliser, sans être trop démonstratif car on est sur du bon polar d'enquête. J'ai juste eu une frayeur sur la fin : que la résolution vienne d'une lettre anonyme - horrible contresens à la lutte du commissaire pour faire parler - c'est au contraire un bel enfumage.

Profond désir des dieux
7.5
7.

Profond désir des dieux (1968)

Kamigami no fukaki yokubō

2 h 53 min. Sortie : 21 mars 1990 (France). Drame

Film de Shôhei Imamura

Homdepaille a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Requiem pour un mas­sa­cre
7.6
8.

Requiem pour un mas­sa­cre (1968)

Minagoroshi no reika

1 h 30 min. Sortie : 13 avril 1968 (Japon). Drame, Film noir

Film de Tai Katō

Homdepaille a mis 8/10.

Annotation :

De l'exploitation bien sentie avec pleins d'idées peut-être gratuites, peut-être réfléchies (comme cette idée de tout filmer bord cadre voire à moitié en-dehors : purement stylistique ou état d'esprit des personnages ?).

Une inversion des genres spéciale, j'suis pas sûr que les fanatiques d'analyses sur le sujet y trouvent leur compte mais ça fait un bon suspens. La limite entre le rape and revenge et le tueur en série n'a pas trop d'importance, des gens se font dézinguer dans des séquences extrêmement travaillées. L'essentiel est là.
P'tit bémol sur la pointe de freudisme inutile à la fin.

Rosemary's Baby
7.6
9.

Rosemary's Baby (1968)

2 h 16 min. Sortie : 17 octobre 1968 (France). Drame, Épouvante-Horreur

Film de Roman Polanski

Homdepaille a mis 7/10.

La Planète des singes
7.7
10.

La Planète des singes (1968)

Planet of the Apes

1 h 52 min. Sortie : 25 avril 1968 (France). Aventure, Science-fiction

Film de Franklin J. Schaffner

Homdepaille a mis 8/10.

La Prisonnière
6.9
11.

La Prisonnière (1968)

1 h 46 min. Sortie : 20 novembre 1968 (France). Drame

Film de Henri-Georges Clouzot

Homdepaille a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Énorme plaisir et énorme déception. S'il veut faire sulfureux dans le SM, Clouzot se dégonfle plus vite que son héroïne. Tous les rapports entre l'agneau et le pervers tombent à l'eau, ne mènent nulle part ou sont soulignés lourdement aux dialogues.
Reste cette mise-en-scène sublime de l'art contemporain et quelques moments qui captent le changement de regard et de perception dans la mise en place du jeu SM entre Terzieff et Wiener.

The Vengeance of the Phoenix Sisters
6.1
12.

The Vengeance of the Phoenix Sisters (1968)

San feng zhen wu lin

1 h 28 min. Sortie : 1968 (Taïwan).

Film de Hung Min Chen

Homdepaille a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Série B comme bas du plafond mais sympathique. Une histoire prétexte mais qui nous épargne un trop plein de scènes dialoguées pour aller à la baston. La maladresse des combattants est rattrapée par le travail de caméra King Hu-esque. Original (sauf pour les musiques pompées) avec un beau travail de photo aux raies de lumières qui devancent a Touch of zen.
Ça s'épuise un peu vers la fin avec des enchaînements de combats dans la montagne alourdis par le décor qui ne permet pas beaucoup de folies.

The Sex Check
13.

The Sex Check (1968)

Daini no sei

1 h 29 min. Sortie : 1 juin 1968 (Japon). Drame

Film de Yasuzō Masumura

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Malheureusement après les très beaux Tatouage et L'Ange rouge, Masumura semble se désintéresser de l'aspect visuel de l'image. Le cadrage et montage sont toujours très étudiés mais plus question de clair-obscur ou de composition complexe. Sans ça, cette histoire tordue d'entraîneur sportif, au viol facile, qui prend sous son aile Ōkusu (la Chatte japonaise qui, ici, doit devenir loup), aurait été un de mes favoris. En plus, mes sous-titres fait main laissent trop de trous pour pleinement apprécier une histoire centrée sur les relations.

On est pleinement dans l'accomplissement d'un trait directeur de L'Ange rouge, où une infirmière revêtait l'uniforme de gradé, puis de La Chatte japonaise, où madame porte la culotte et la moustache en se passant une mèche sur les lèvres dans un plan marquant. The Sex check pousse encore plus loin l'idée de femmes adoptant des traits masculins pour s'imposer. Cette ouvrière, apprentie sprinteuse olympique, est poussée par son coach à développer son masculinisme (en se rasant le visage par ex) pour dépasser les records féminins. Mais tout en continuant à la frictionner/masser personnellement, comme tout bon coach (encore maintenant). Sauf que...
... la jeune fille est hermaphrodite et il va désormais falloir pousser sa féminité pour passer l'examen médical. Ça pourrait être une mauvaise comédie, c'est un drame. Le corps c'est sérieux pour Masumura. Il réutilise son montage de morcellement du corps pour une illustration parfaite de cette adolescente doutant encore plus que d'autres de sa personnalité.

La Fille au pistolet
6.3
14.

La Fille au pistolet (1968)

La ragazza con la pistola

1 h 40 min. Sortie : 22 août 1968 (Italie). Comédie dramatique

Film de Mario Monicelli

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Je ne sais pas si c'est parce que je l'ai regardé juste après un film d'auteur prétentieusement chiant mais cette comédie caricaturale et qui repose sur un schéma plus que classique m'a beaucoup amusé. C'est pourtant décousu, répétitif et platement réalisé. Je pense que le personnage de Monica Vitti, une sicilienne qui part venger sa vergogna en poursuivant son "agresseur" jusqu'à Londres, tout caricatural qu'il soit, est particulièrement réussi pour qui veut voir la belle actrice jurer en italien et en faire des tonnes sous ses perruques improbables.

Bandits à Milan
6.8
15.

Bandits à Milan (1968)

Banditi a Milano

1 h 38 min. Sortie : 12 juin 1968 (France). Policier, Drame

Film de Carlo Lizzani

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Ça commence fort en mêlant action du film (la fin sanglante), reportages TV de mise en contexte qui se brouille avec les reconstitutions filmées effectuées par la police. Le tout dans un rythme effréné. L'histoire tragique de Margaret Lee, seul personnage féminin, permet d'expliquer efficacement les méthodes de la mafia pour rabattre les ingénues de la campagne vers la prostitution en 1m30 sur une chanson. Bref Milan est sous tension.

J'ai un peu déchanté quand on suit de manière plus traditionnelle un gang et ses préparations de braquage. Des choses vues trop de fois, même si ce film à ses spécificités, comme l'arrogance du chef, qui non content d'un braquage, en commet 3 dans la même journée. Le léger ennui passe vite quand arrivent les folles scènes de fusillades à travers les rues (faut voir Volonté jubilant en mitraillant depuis le siège arrière d'une Fiat).

La Torpille humaine
7.4
16.

La Torpille humaine (1968)

Nikudan

1 h 56 min. Sortie : 22 octobre 1968 (Japon). Drame

Film de Kihachi Okamoto

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Un peu rigide pour que sa démonstration par l'absurde soit vraiment drôle. Okamoto a un peu de retard sur d'autres confrères. Le film a l'air de beaucoup reposer sur la théorie de la chair, un truc bien dépassé maintenant et avec déjà 10 ans de retard à l'époque.
Il n'empêche que c'est tout de même réussi et fort.

Premier amour, version infernale
6.8
17.

Premier amour, version infernale (1968)

Hatsukoi Jigokuhen

1 h 48 min. Sortie : septembre 1970 (France). Comédie dramatique

Film de Susumu Hani

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Une version "nouvelle vague" du Pornographe d'Imamura vu du point de vue d'une modèle de nue. Pêchu, osé et plein de bonnes idées comme ce combat seins à l'air de nazie et de japonaise traditionnelle. J'adore les tournages sauvages dans la rue, aux milieux de passants interloqués. Comme dit Marker "En école de cinéma on apprend qu'il ne faut jamais regarder la caméra. Quelle bêtise !"
Étrangeté de la censure japonaise qui refuse le moindre poil pubien mais accepte les longues expositions de sexes d'enfants dans un contexte de pédophilie. Si le parcours de la jeune fille dans l'underground du sexe est intéressant le couple qu'elle forme avec un adolescent aux tendances pédophile n'est pas particulièrement touchant, ni sa mort, conclusion trop usée.

One Day at Summer's End
18.

One Day at Summer's End (1968)

Nureta futari

1 h 22 min. Sortie : 30 novembre 1968 (Japon). Drame

Film de Yasuzō Masumura

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Une femme délaissée par son mari se jette dans les bras d'un jeune enragé. Un rôle dans lequel Wakao (35 ans) se fond avec aisance. En tout cas plus que dans ses derniers rôles de jeune fille ou de bourgeoise corsetée. Ce pourrait être l'évolution des jeunes femmes aux mœurs plus libres que Wakao interprétait à la fin des années 50.
Ses habits font le moine. Elle change ses robes légères pour mettre un kimono et se coiffe avec le chignon traditionnel quand elle veut résister à la tentation, et se parfume et s'habille (pour les retirer assez vite) à l'occidentale pour séduire.

Ici encore, la pression de l'opinion extérieure combat ce désir d'émancipation. Étonnamment ce n'est pas elle, trentenaire assurée, qui vacille mais le jeune homme finalement pas si rebelle et enragé. La pression se fait si forte que même l'ancienne servante et hôtesse de la bourgeoise lui fait la leçon, se permettant d'inverser le rapport de classe, persuadée de son bon droit moral.
Beaucoup de belles scènes. La symbolique limitée de l'enfermement par le surcadrage est ici très dynamique et se multiplie/modifie au fur et à mesure de l'évolution d'une scène. Masumura oblige, l'alternance de plans entre l'actrice et sa doublure nue est astucieuse se servant de cheveux mouillés à essorer pour masquer le visage, de positionnement de vêtement... Et une parade nuptiale marquante où le motard fait des cercles en faisant vrombir son moteur autour de la femme prête à repartir avec son mari.

2001 : L'Odyssée de l'espace
8
19.

2001 : L'Odyssée de l'espace (1968)

2001: A Space Odyssey

2 h 40 min. Sortie : 27 septembre 1968 (France). Aventure, Science-fiction

Film de Stanley Kubrick

Homdepaille a mis 7/10.

La Lanterne pivoine
6.9
20.

La Lanterne pivoine (1968)

Botan-dôrô

1 h 29 min. Sortie : 15 juin 1968 (Japon). Épouvante-Horreur

Film de Satsuo Yamamoto

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Sympathique film. Une histoire un peu trop vue mais ok.
On a les beaux éclairages typiques de la Daiei (pas les meilleurs, dur à juger sans une bonne copie mais je ne trouve pas le contraste parfaitement défini, ni d'ailleurs la profondeur de champ un peu aléatoire). Il reprend le rythme et l'esthétique d'un film des années 50 mais avec 10 ans de bond technique pour le sublimer de superbes fantômes volants et sans pieds. Y'a juste les apparitions en surimpression qui sont parfois mal calées.

Signes de vie
6.9
21.

Signes de vie (1968)

Lebenszeichen

1 h 30 min. Sortie : 5 juillet 1968 (Allemagne). Drame

Film de Werner Herzog

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

ça fait un peu trop film des années 60 à mon goût avec ses petits moments de vie ennuyeuse qui s'enchaînent de façon décousue. Mais il y a beaucoup d'idées étrange qui mène à la folie : un mariage haletant, un obsession du soldat allemand pour l'élimination des cafards et l'hypnose d'être inférieur (le poulet), un champ de moulin et un beau feu d'artifice final d'un fou qui veut enflammer le soleil laissant sur une étrange impression mêlant côté festif et tristesse pour l'homme.

The Silver Fox
22.

The Silver Fox (1968)

Yu mian fei hu

1 h 30 min. Sortie : 13 mars 1968 (Hong Kong). Arts martiaux

Film de Hsu Tseng-hung

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Un sympathique film de temple piégé qui joue à fond la carte du tragique (des yeux crevés à l'épingle) avec sa famille séparée qui s'affrontera des années plus tard sans connaître leurs liens. Aucune des filles à épée ne se fait voler la vedette par un falot chevalier de passage comme chez King Hu et d'autres grossiers Taïwanais. Lily Ho est d'ailleurs bien plus jolie que dans les années 70 sans que je me l'explique trop (maquillage ou mauvaise chirurgie esthétique).
Du drame à rebondissement dans les larmes, des combats solides sans folie, des temples piégés rigolos.

Quand les aigles attaquent
6.9
23.

Quand les aigles attaquent (1968)

Where Eagles Dare

2 h 38 min. Sortie : 12 mars 1969 (France). Aventure, Guerre, Action

Film de Brian G. Hutton

Homdepaille a mis 7/10.

Kuroneko
7.6
24.

Kuroneko (1968)

Yabu no naka no kuroneko

1 h 39 min. Sortie : 24 février 1968 (Japon). Épouvante-Horreur

Film de Kaneto Shindō

Homdepaille a mis 7/10.

La Pendaison
7.2
25.

La Pendaison (1968)

Kôshikei

1 h 58 min. Sortie : 24 septembre 1969 (France). Drame, Comédie

Film de Nagisa Ōshima

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Un Oshima, période petit malin, qui ne me rebute pas.
Humoristique (sans réussir à être drôle). Contre la peine de mort, un peu. Mais il s'agit surtout de dépeindre l'homme comme un tueur et violeur naturel en retournant le cas du condamné à mort aux gardiens qui s'empressent de rejouer les actes du pendu ou de discuter racisme et actes de guerre. La mise-en-scène théâtre d'avant-garde et ses textes très bavards fatiguent un peu même si Oshima tente de casser le huis-clos.

The Pistol That Sprouted Hair
26.

The Pistol That Sprouted Hair (1968)

Ke no haeta kenju

1 h 10 min. Sortie : mai 1968 (Japon). Érotique, Thriller

Film de Atsushi Yamatoya

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Yamatoya a une lubie : faire des tueurs à gages de grands enfants et s'amuser avec le double fantasme du cul et du pistolet. Ici deux tueurs à gages qui rêvassent le gamin qu'ils pourchassent en grand héros et finissent par accomplir sa mission eux-même.
Délire visuel inventif. Marque des production Wakamatsu, une pellicule couleur utilisée avec beaucoup de rouge pour les scènes les plus dénudées.

Necronomicon
5.4
27.

Necronomicon (1968)

Necronomicon - Geträumte Sünden

1 h 24 min. Sortie : 31 mai 1972 (France). Épouvante-Horreur, Érotique

Film de Jesús Franco

Homdepaille a mis 5/10.

Annotation :

Trop onirique pour moi. C'est incompréhensible à la 1ère vision. Enfin le déroulé de l'action ça va, là où Franco veut en venir moins. Ce qui ne serait pas dérangeant et m'inciterai à un second visionnage si je trouvais un intérêt au film mais malgré quelques très beaux plans (dont un magnifique sur des arbres traversés par un étrange reflet coloré qui avec la mise au point s'avère être la chevelure d'une femme derrière une vitre de voiture) bof. Dans un film érotique, ma non-attirance pour l'actrice dit aussi beaucoup jouer sur mon appréciation.

Horus, prince du soleil
6.2
28.

Horus, prince du soleil (1968)

Taiyo no oji: Horusu no daiboken

1 h 22 min. Sortie : 4 février 2004 (France). Animation, Action, Aventure

Long-métrage d'animation de Isao Takahata

Homdepaille a mis 6/10.

Lady Yakuza : La Règle du jeu
7
29.

Lady Yakuza : La Règle du jeu (1968)

Hibotan bakuto : isshuku ippan

1 h 35 min. Sortie : 22 novembre 1968 (Japon). Arts martiaux

Film de Norifumi Suzuki

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Réalisation plus dynamique que le 1er volet.
Par contre, même genre d'histoire revancharde où le grand méchant développe tout un stratagème pour qu'une jeune naïve lui donne son titre de propriété, alors qu'il lui aurait suffit de lui arracher des mains vu qu'il la violente de toute façon ensuite.
Et l'héroïne est toujours aussi décevante. Jolie tête rondouillette bien maquillée mais aucune agilité au combat rapproché. Elle doit se servir d'une arme à feu qui paraît lâche face aux hommes à l'arme blanche et une fois encore un homme doit venir assurer le spectacle en faisant le travail pour elle.

Le Grand salaud
30.

Le Grand salaud (1968)

Dai akutô

1 h 33 min. Sortie : 24 février 1968 (Japon). Drame, Thriller

Film de Yasuzō Masumura

Homdepaille a mis 5/10.

Annotation :

Une histoire de viol et de chantage au début, l'ennui pointe lors du dernier tiers en procès sans intérêt. Ce n'est pas Confessions d'une épouse : l'on sait qui est coupable et c'est une actrice moins talentueuse à la barre. Morale un peu rapide à la fin car pas vraiment amenée, la blanche brebis plusieurs fois souillée a retenu la leçon : manger ou être mangée.

Homdepaille

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