Les meilleurs films de 1971 selon Adrast

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7,5. Bien bien bien mais j'ai eu du mal à fixer mon attention. Les touches d'épouvante sont cools mais malheureusement on voit quasi rien la moitié du temps [trop de nuit tue la nuit]. Globalement c'est un film très chargé avec beaucoup de détails et de péripéties, donc c'est clairement le haut du panier, surtout comparé à un film comme Dragon Inn par exemple, qui avait à la fois un ton plus drolatique et dont l'histoire semblait plus générique et mineure. Là clairement A Touch of Zen a l'aura du grand film. Faut juste aimer se coltiner 3 heures à un rythme de western spaghetti.

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6,5. De beaux moments et un humour sympathique plus prononcé mais on regrette le dépaysement du premier qui faisait tout son charme.

On s'éloigne du concept de base quitte à merder la recette mais au moins ça sonne plus juste que le 2 qui voulait trop coller au premier tout en en faisant trop pour se distinguer, quitte à friser le nanar.

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Vu au ciné en version restaurée en 2021. C'est super propre, tout semble fignolé malgré le manque de moyens criant. Décors, costumes, couleurs, l'atmosphère est très bonne, les actrices enamourachantes ["vous êtes charmantes mes'd'moiselles !"].

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6,5, "critique" à venir si j'arrive à me poser pour finaliser tout mon bordel de notes

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TDA : The movie the film the furoncle. Dupieux à côté c'est un agrégé en Lettres et fines herbes aromatiques. C'est un témoignage bourré à titre honorifique d'un alcoolique classé aux Invalides cinématographiques. 16h64 moins l'demi avant Jésus-Christ. C'est de l'essai pas transformé qui a pris le genre "film de vacances" au pied d'la lettre parce qu'il a bu tout son sou aux bois d'quat' sous comme des boient-sans-soif. Tout l'budget est parti dans la double tête d'affiche et l'reste c'est marre.

Bref, à mettre dans la catégorie des films nuls tellement tout schuss qu'ils en deviennent bien.

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6,5

Aïe aïe ouïe c'est mécha-giga cancelled tout ça aujourd'hui. Faire l'apologie du grooming soft c'est chaud un peu en 2025. Nous faire le coup de la légitimation du couple Trogneux-Macron sous l'angle de la libération des moeurs post-68 ça a mal vieilli. Parce qu'aujourd'hui ce serait vu comme de la pédophilie queuemême. Certes là au moins la proffe va pas chercher son amant au collège, elle se contente d'un lycéen, mais quand même... Enfin bon ça nous rappelle que tout ce qui passionne est polémique, au cinéma comme ailleurs.

J'aime la narration en voix off, j'aime le scénar qui a toujours quelque-chose à dire parce qu'elle couvre un large espace temps pour faire l'inventaire de cette relation interdite. J'aime la réal, assez dynamique pour ne jamais lasser, et globalement j'aime le ton badin, lâche, dans le sens relâché, mais pas léger pour autant. Tension tension, fais attention. Évidemment c'est d'époque donc c'est joué avec des pieds palmés un peu mais le vent en emporte le temps, comme on dirait aux Amériques.

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6,5

Ma foi bien mais très classique dans la forme