Les meilleurs films de 1982 selon Homdepaille

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À chaque film de Corey Yuen je trouve ça impressionnant et emmerdant. Là le scénario tient pas la route à un point exceptionnel. Bon je m'en fous mais y'a même pas le minimum syndical pour accepter la quête d'un personnage. Le plus grave c'est la dose de "comédie", ça blablate même pendant les combats et explique chaque partie du plan qu'on vient de voir.
Heureusement y'a ♫♪ https://youtu.be/9sGUMgSJFX0 qui doit bien être dans le top des thèmes les plus joués dans un film.

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Plutôt bien réalisé, mais je l'oublie déjà. Me souviens que loin des violeurs et amants lâches, une enseignante et son élève se réconfortent dans la piscine à la fin.

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1.85, le logo Nikkatsu apparaît dans une télévision : le développement massif de la VHS bouscule le Roman Porno en compétition avec les films vidéos pour adulte. Pour se distinguer, quelques nouveaux réalisateurs ramènent le genre à des films plus distingués que la médiocrité des années précédentes.

Tout est désormais plus propre et moins vulgaire et des scénarios romantiques remplacent ceux de tortures SM quasi-improvisés. Morita tente de communiquer avec son public avec un personnage de jeune adulte maladroit dans ses sentiments en l'incluant dans des histoires de Strip-teaseuses/prostituées proches de ce qu'on pu faire Tanaka et Kumashiro (avec beaucoup plus de talents visuel et narratif). Seulement l'imperméabilité sentimentale des personnages se répercute bêtement à l'écran sans rien d'autre. Un miroir de son spectateur, une image plate sans vie qu'il ne creuse pas.

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Moins psychédélique et métaphysique que le 1er film, on a un film d'action basique à base de méchant fou et revanchard.

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Petite originalité, l'on suit les fantasmes d'une jeune fille rêvant de son professeur. M'enfin la rondouillette Serina Nishikawa doit avoir quelques tendances homosexuelles car son imagination s'arrête plus sur les corps de lycéennes torturées que sur son professeur, et aussi des désirs d'inceste avec des fantasmes de viol par ses parents. Elle se cherche, c'est l'adolescence.
Y'a vraiment pas de budget, les décors sont vides, heureusement la réalisation tient à peu près debout. Fumihiko Katō fait ses débuts (comme l'actrice) après à peine 2 ans en assistant. Dommage que la fin tombe dans le Dan Oniroku classique avec séquestration et S.M pipi caca.

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Un empilement de fantasmes (de profession, sadique, saphique...) au détriment d'un scénario. La recherche du 1er violeur ne sert qu'a placer 3 phrases au début de chaque rencontre histoire de dire "on ne rentre pas dans le lard directement".
Au moins c'est bien filmé. Et petite originalité, le duo de kidnappeurs/sadiques comporte une femme ce qui permet des scènes à trois et plein de positions un peu plus rares.

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Un groupe de rock avec chanteur auto-destructeur en affaire avec des yakuzas. Plus classique que le précédent film de la nouvelle Directors company (Okami : running is sex), mais du coup moins ennuyeux (scénario de Kyoshi Kurosawa). Il y a une belle mise-en-scène des corps dans l'espace pour créer de l'émotion (surtout dans le trio d'amis).

Les trois premiers films érotiques de la Directors company sont très désabusés. Un peu dans la pose, peut-être une visée plus adolescente ce qui renoue avec l'envie de révolte qui s'est perdue dans ce genre de films en 10ans. En plus de dépeindre l'asocial il y a aussi une volonté esthétique pas désagréable.